Citations sur Troubled hearts, tome 1 : Juste un défi entre nous (14)
Je me retrouve dans la rue alors que l’aube pointe à peine. Il pleut. Je lève mon visage et laisse la pluie me laver de toutes mes faiblesses, de mes peurs et de ma souffrance. J’ai envie de hurler, juste comme ça, pour soulager ma peine. Quand tout cela se terminera-t-il ?
- Tu es vraiment très con parfois. Je ne vais rien te dire sur ses performances sexuelles. Tu cherches quoi, là? Tu te crois dans un combat de coqs? Tu veux jouer au mec qui pisse le plus loin ? Tu veux peut-être comparer ta queue à la sienne ? Prouver à tous que tu es le grand Nick, le seul et unique qui fait jouir les femmes juste en les regardant ?
On chérit davantage nos disparus dont il ne reste plus que les souvenirs heureux. C'est comme ça ! Parfois même on les idéalise.
Une poignée de main tout comme un regard vous renseignent immédiatement sur le tempérament d'une personne. Des études prouvent qu'un regard fuyant et vers la gauche signifie que quelqu'un ment.
"Petit con, la vie est devant toi. Il ne sert à rien de ressasser le passé, alors va tirer un coup avec la première nana que tu croiseras sur le palier et ça ira mieux ensuite. La vie c'est ici, et maintenant."
Certains pensent que je suis un connard prétentieux. Connard certainement. Je le concède. Prétentieux ? Non! Je ne cherche pas les filles, elles me trouvent.
Je ne suis pas Flo qui nous aurait joué sa carte « je remue du popotin », et c’est le mec qui se serait cassé la figure.
- Je sais me défendre contre le grand méchant loup, ajoutai-je, fixant intensément Nick tout en affichant mon plus beau sourire.
Ce sourire hypocrite que l’on affiche pour ne pas montrer nos blessures devant des propos grinçants, voire offensants de certaines personnes. Un sourire « à la Gaëlle », celle qui m’a enseigné à me protéger, à mettre ce masque parfois nécessaire.
Je suis convaincu que nous portons tous un masque pour camoufler certaines facettes de nous-mêmes. Côté sombre, vulnérabilité, que sais-je ? À chacun ses raisons ! Je connais les miennes.
J’aime le bruit des vagues, doux clapotis ou fracas sur les rochers. J’aime entendre les coques des bateaux s’entrechoquer, le bruissement du vent dans les voiles. J’aime m’asseoir sur le sable au creux des dunes, été comme hiver, m’imprégner des odeurs, des bruits et des couleurs changeantes selon les saisons, tous ces bleus différents. J’aime cette immensité. J’aime la mer.