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EAN : 9782290391754
384 pages
J'ai lu (03/05/2023)
3.62/5   4593 notes
Résumé :
Maëlle, directrice financière d'une start-up en pleine expansion, n'a tout simplement pas le temps pour les rêves. Mais quand sa meilleure amie, Romane, lui demande un immense service - question de vie ou de mort -, elle accepte malgré elle de rejoindre le Népal. Elle ignore que l'ascension des Annapurnas qu'elle s'apprête à faire sera aussi le début d'un véritable parcours initiatique. Au cours d'expériences et de rencontres bouleversantes, Maëlle va apprendre les ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (483) Voir plus Ajouter une critique
3,62

sur 4593 notes
Un roman de la veine des "feel good", qui, comme les autres livres de ce type, ne présente que peu d'intérêt. On peut prendre du plaisir à lire ce genre de livres car il nous encourage à être plus positif, voir la vie du meilleur côté, dire non au stress et aux "exigences" quotidiennes. Je suis assez d'accord car c'est aussi ma façon de voir la vie. Quel est l'intérêt de courir pour prendre un métro parisien alors qu'il y en a un toutes les 2 minutes en moyenne ? En revanche, ma méthodologie suivie par ces livres, et particulièrement celui-ci, me gêne énormément, d'autant plus qu'il n'a aucun recul sur ce qui est avancé. Premièrement, quel est l'intérêt de situer l'action au Népal, ou tout autre lieu loin de l'Occident, pour avancer des préceptes bien occidentaux (retour aux sources et compagnie) ? Tout simplement pour vanter les "valeurs ancestrales et religieuses" (dixit p.120). Ah bon ? C'était mieux avant ? Juste pour rappel, si ces valeurs ancestrales et traditionnelles sont si merveilleuses, on devrait alors enlever le droit de s'exprimer en société aux femmes, les marier de force à 10 ans pour respecter la tradition, ne les autoriser qu'à faire le ménage et la cuisine, et à enfanter. Pas sûre que l'auteure dirait la même chose si elle avait pris dur recul sur ce qu'elle dit. Aucune des personnes de ces fameuses sociétés "exotiques", régie par des lois religieuses et traditionnelles, n'est heureuse. Elles ont appris à cultiver une forme de bonheur quotidien car elles n'ont pas le choix, sinon leur quotidien, écrasé par ses us et coutumes, serait un enfer. C'est très différent de ce qu'avance l'auteure, ou de qu'elle a cru voir superficiellement avec ses yeux d'occidentale partie à la rencontre des peuples autochtones. Et un discours qui rappelle furieusement le discours du "bon sauvage" (Diderot et compagnie). Les "enseignements" de ce livre relève de la foi (on y croit ou pas). Cela ne me dérange pas. Mais je suis dérangé quand on essaye de justifier des croyances ou qu'on prône des comportements insensés. Dire qu'on peut éviter un rhume juste parce qu'on a décidé d'être en bonne santé, c'est tout simplement dangereux car, non seulement c'est complètement faux, mais en plus nombre de personnes vont se dire que c'est vrai avec toutes les maladies. Essayer d'expliquer l'effet placebo "je vais mieux car je suis positif" (qui existe, c'est scientifiquement prouvé, mais c'est aussi scientifiquement non expliqué) par des arguments scientifiques mal compris est une aberration. Cela rejoint le créationnisme. Alors non, les atomes ne sont pas composés de vide. L'auteure n'a à priori pas du tout compris la notion d'orbitales électroniques: les électrons sont en mouvement perpétuel autour du noyau, ce qui fait qu'à un temps t, ils sont à une position précise, mais sur une durée, ils occupent tout l'espace. Il n'y a donc pas de vide dans un atome. Loin de là. Et non, la théorie des cordes n'a jamais été prouvée (elle est même remise en cause): d'après l'étude de la lumière, il a été supposé que d'autres corps seraient ondes et particules (et non pas que ondes, contrairement à ce que suppose l'auteure), mais cela n'a jamais été prouvée. Partir de ce postulat pour dire, en s'appuyant faussement et de façon honteuse sur des données scientifiques, que tout est onde et que les humains doivent vibrer en harmonie avec les ondes de la nature pour être heureux est l'exemple même d'une utilisation fausse et déformée de la science. Cette affirmation relève de la foi, inutile de s'appuyer faussement sur des données scientifiques pour inciter les gens à y adhérer. Dire qu'on est seul responsable de son bonheur n'est pas nouveau. Sartre l'a très bien expliqué avec sa philosophie existentialiste. Mais il est faux de dire qu'on est pleinement responsable de son bonheur et de ses actes. Les actes des autres et l'environnement social et économique peuvent nous empêcher d'atteindre le bonheur et nous empêcher d'agir. Ce qui rejoint la thèse de l'auteure disant qu'on est responsable de sa victimisation. Souvent, peut-être. Je dirai même oui, souvent. Mais nier qu'on peut être victime est une aberration (quid des attentats ? des meurtres ? des viols ? Les victimes choisissent rarement d'être heurtées par ces actes; elles sont victimes, elles ne se victimisent pas !) Dire qu'on doit tous être égaux, honnir les conflits, , ne pas être en colère, etc, est une utopie, qu'on retrouve dans certains discours politiques d'extrême gauche. Cela n'existe pas et n'existera jamais. L'homme est avant tout un animal social et il n'existe aucune société animale (ou végétale puisque c'est aussi à la mode), sans lutte, sans conflit, sans inégalités. J'insiste: il n'en existe pas une ! Et pour finir l'auteure n'est pas à un paradoxe près: Shanti, un des héros, incite l'héroïne Maêlle à aller voir le couple raciste car il faut être positif, ne pas être dans le conflit et aller vers ceux qui ne pensent pas comme nous, mais cela ne le gêne pas, deux jours après, de bouder et fuir Maêlle en refusant de lui parler car elle est en colère contre lui et qu'il ne veut pas perdre son temps.
Bref, une très longue critique pour inciter les lecteurs à prendre énormément de recul avec ces lectures "feel good" très à la mode, qui finalement sont des croyances du même type qu'une croyance religieuse, mais plus perfides car elles se donnent une belle image exotique et détournent des données scientifiques pour justifier ce qu'elles avancent.
Pour moi, "kilomètre zéro" est sans intérêt. Il y a des méthodes d'introspection qui sont nettement plus intéressantes (l'ikigaï par exemple).
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D'ordinaire j'ai comme qui dirait un sixième sens pour détecter les livres qui ne vont pas me plaire.

Sur ce coup-là d'ailleurs j'étais à deux doigts de me méfier, et puis Marie-Lolo me l'a collé sous le nez.

Marie-Lolo c'est quasi comme ma soeur et je ne peux rien lui refuser.

Par amitié pour Marie-Lolo donc, j'ai entamé "Kilomètre zéro".

Par respect pour Marie-Lolo je me suis ensuite farci l'intégralité de "Kilomètre zéro".


Bon.


Comment dire…


Pour faire court, si tu éludes le premier mot de son titre il te reste un indice assez précis concernant le niveau de ce bouquin.

Pour faire un peu plus long, sache déjà que "Kilomètre zéro" s'assimile à un guide de développement personnel sous forme de roman.
Alleeeez… un de plus, observeras-tu, avec raison.

Nonobstant je rejoins globalement le système de pensée qui a inspiré ce récit, ainsi que le message spirituel qu'il entend véhiculer. Mais bon sang de bonsoir de saperlipopette de p(biiip) de b(biiip) de m(biiiiip), Madame Ankaoua, était-il vraiment nécessaire de noyer vos préceptes de sagesse universelle dans cette inexorable daube ? Je pose la question.

Le style plus que besogneux, l'intrigue définitivement niaise, les clichés grotesques... j'ignore encore ce qui m'a le plus affligée.

Quoi que j'ai ma petite idée.

Les trois ?

C'est ça.

Et quand, par exemple, tu t'esclaffes au beau milieu d'une étreinte torride entre Maëlle-super-godiche et son bogoss-aventurier-transalpin, tu te dis comme ça qu'il y a peut-être un léger souci d'adéquation quant à l'effet recherché.
En passant je te suggère la lecture des quelques lignes en question (page 306 de l'édition poche, ne me remercie pas), tu y découvriras une scène de cu[ parmi les plus indigentes de toute l'histoire de la littérature de gare :
« Mon bas-ventre hurlait de désir » nous confie, entre autres, l'héroïne en un gracieux élan de lyrisme tantrique.
Reconnais que là, ça touche au mystique.


Alors des fois que tu poserais la question, Marie-Lolo et moi on se dit tout, donc oui, je lui ai avoué ma consternation quant à ce bouquin, ainsi que tout le bien que je n'en ai pas pensé.

Et aussi oui, promis, on n'est pas fâchées.


Lien : HTTP://MINIMALYKS.TUMBLR.COM/
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Vous trouverez dans cet ouvrage une véritable bulle d'oxygène à savourer dans notre vie tumultueuse/stressante/chargée… (choisir le terme approprié !).
On assiste à un voyage initiatique, prétexte pour nous donner des pistes de réflexion pour améliorer notre mode de vie.
Les conseils énoncés nous semblent évidents. Toutefois on se rend vite compte que notre vie quotidienne nous en éloigne.
Comme Maëlle, on s'interroge sur nous-mêmes, nos désirs et le moyen de les atteindre. Je pense sincèrement que ce roman change notre perception de la vie.

Au-delà de ça, c'est une mine d'information sur des sujets comme le bouddhisme ou la méditation. Les descriptions et les explications sont certes peut-être un trop présentes par moments.
De plus, j'adhère assez au postulat de départ, qui est de contourner l'industrie pharmaceutique par le biais d'une approche plus naturelle.

Moi qui suis plutôt du genre boulimique en termes de lecture, j'ai eu besoin de faire une petite pause livresque après celui-ci afin de le savourer plus longtemps et de m'imprégner des conseils donnés.
Je conseille donc ce roman, pour soi-même ou pour offrir à qui l'on veut du bien : chacun retiendra ce qui l'intéressera, quoi qu'il en soit c'est une lecture agréable et apaisante.
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Dès le premier chapitre, on entre dans le vif du sujet, les bases de l'histoire sont posées. Et dès le deuxième chapitre, nous avons décollé et atterris à l'autre bout du monde.
Ce livre n'est pas un guide touristique, mais une ode au voyage. Un voyage intérieur et personnel pour se retrouver, s'ouvrir au monde qui nous entoure, changer notre vision et notre rapport au monde qui nous entoure.
C'est un roman que j'ai beaucoup aimé, j'ai d'ailleurs noté quelques passages qui m'ont beaucoup plus. de simples phrases ou un passage un peu plus long, mais que je relirais dès que le besoin se fera ressentir.
Une histoire que je recommande fortement, et d'autant plus si l'on se pose des questions sur notre vie, si des choix doivent être pris.. Il se pourrait que des éléments de réponse s'y trouve.
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En commençant le livre, je ne savais pas trop bien dans quoi je m'aventurais.
Maëlle, la narratrice vit une vie trépidante à Paris. Directrice financière, elle n'a pas beaucoup de temps pour penser à elle mais tout roule.
Romane, sa grande amie, médecin, l'appelle urgemment. Elle lui donne rendez-vous à l'institut Pasteur. Jusque là, rien d'anormal pour un médecin.
C'est là que Mäelle va recevoir un énorme choc. Elle a un grand sens de l'amitié et va écouter la requête de son amie. Celle-ci lui demande de se rendre au Népal et de lui ramener un livret qui va changer le sens de sa vie.
Maëlle, bien que réticente s'envole pour le Népal. Alors qu'elle croit y rester quelques jours, elle va y vivre la plus grande aventure de sa vie : la quête de sa personne , de la vérité de sa personne.
La question est de savoir si elle va réussir à ramener à son amie ce qu'elle lui a demandé et si cela va se vérifier efficace.
Les rencontres tout au long du livre sont bouleversantes, les épreuves physiques dans les montagnes des Anapurnas sont éprouvantes.
Ce qui m'a dérangée, c'est la théorie, les leçons données tout au long de ma lecture. Je suis d'ailleurs passée en lecture rapide dans certains extraits. Je crois qu'avec vingt ans de moins, j'aurais accordé beaucoup plus d'importance à cette lecture car ma vie quotidienne me fatiguait un peu.
Arrivée à la quarantaine, je lisais beaucoup d'ouvrages sur le boudhisme. J'étais bien convaincue par cette philosophie au début et puis je n'en ai gardé que quelques bribes. J'ai préféré garder ma spontanéité dans mes rapports avec les autres. le film que j'avais vu avec un enfant qui serait prédestiné à devenir moine boudhiste m'avait fait prendre des distances.
J'ai ressenti le livre comme une suite de leçons données au lecteur ou à la lectrice et cela m'a bien dérangée même si le rappel à la recherche de sa vraie personne est essentielle.
Les vrais acteurs de notre vie, c'est nous mais bien sûr avec une ouverture d'esprit et une réflexion nécessaires que le livre de Maud Ankaoua peut apporter.
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Citations et extraits (369) Voir plus Ajouter une citation
Une femme de peau blanche vient de terminer ses courses. Au comptoir du self, elle achète un bol de soupe. va s'installer à une table, y dépose son plateau et s'aperçoit qu'elle a oublié de prendre une cuillère. Elle repart en direction du bar.
Revenant à sa place, elle trouve un homme à peau noire au-dessus du bol, trempant sa cuillère dans le bouillon. "Quel sans-gêne ! Mais il n'a pas l'air méchant... Ne le brusquons pas !"
"Vous permettez", lui dit-elle en tirant le bol de son côté. Son interlocuteur ne répond que par un large sourire. Elle commence à manger. L'homme retire un peu le bol vers lui et le positionne au centre de la table. A son tour, il plonge sa cuillère et avale le breuvage. ...
La soupe terminée, l'homme lui fait signe de ne pas bouger et revient avec une abondante portion de frites, qu'il pose au milieu de la table. Il l'invite à se servir. Elle accepte et ils les partagent. Puis il se lève pour prendre congé .... Elle reste un moment pensive et songe à s'en aller. Elle cherche son sac à main qu'elle avait accroché au dossier de la chaise. Plus de sac ! "Quelle imbécile je fais ! Cet homme noir n'était qu'un voleur évidemment !"
Elle s'apprête à demander qu'on le poursuive, lorsque ses yeux tombent sur un bol de soupe, intacte et froide, posée sur un table voisine, devant la chaise où pend son sac. Il manque une cuillère sur le plateau...
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Le respect est fonction de la taille de votre compte en banque. Vous vivez dans la peur de perdre le peu amassé puisque l'amour n'est pas dissocié de l'argent. C'est pareil dans vos relations sentimentales, vous ne rêvez qu'à travers les projets matériels : la maison, la voiture, les achats. Vous ne prenez plus le temps pour apprendre de vos aînés, enseigner la confiance à vos enfants, partager avec vos amis plutôt que de vous comparer les uns aux autres ! Votre système de valeurs est fondé sur votre patrimoine. Vous ne savez plus donner sans imaginer d'intérêts en retour. Pire encore : vous confondez ce que vous êtes avec vos conditions de vie. Vous vous associez à votre titre, votre quartier, vos biens, vos origines, votre nom, votre travail, vos relations et n'existez qu'à travers eux. Vous ne concevez plus d'être aimé pour ce que vous êtes : un simple être humain. Dans l'Himalaya, nous sommes dans l'excès inverse. A défaut d'argent, nous vivons dans la misère. Pour survivre, ces peuples se sont accrochés à des valeurs ancestrales et religieuses qui donnent un sens à leur vie. Ils n'ont pas l'occasion de se perdre dans l'opulence, ils sont confrontés à leurs besoins primaires. L'ego ne trouve rien pour s'engraisser, ce qui favorise la compassion, la solidarité, l'optimisme, l'attention, les plaisirs simples, quoi !
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Nous sommes seuls responsables de l'état d'esprit dans lequel nous décidons de vivre à chaque instant. [...]
-Non, Maelle, tu n'es pas responsable de ses actes, mais de tes émotions et de ton mal-être. J'ai ressenti, comme toi, la peur de l'accident, puis j'ai cherché à contrôler mes pensées pour ne pas me laisser submerger par des sentiments négatifs qui se retourneraient contre moi. C'est ainsi que j'ai retrouvé mon équilibre. Si nous admettons que le bonheur prend naissance en nous et que rien ne peut le déséquilibré, nous verrouillons l'accès aux situations extérieures toxiques. Nous observons sans y ajouter de pensées polluantes.
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Modifier ses habitudes :

pendant les prochaines vingt-quatre heures, concentre-toi sur les trois idées suivantes :
1- Observe tes pensées, tes intentions et tes volontés et tente d’établie si elles viennent du cœur ou de l’ego.
2- Donne aux autres ce que tu veux recevoir, des sourires, de douces pensées, du temps, de l’écoute, de la compréhension et partage ce que tu aimes.
3- Observe que tout ce que tu donnes à l’autre, tu te le donne à toi-même, car nous sommes interconnectés.
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L’amour est partout. Dans chaque chose, dans chaque être, en chacun de nous. Notre peur vient du fait que nous l’ignorons. Le monde paraît incertain et nous nous sentons attaqués. Pourtant durant ces milliards d’années la terre évolue dans l’Univers sans se heurter à d’autres planètes. Comment expliques-tu que durant tout ce temps, nous survivons ? Une intelligence organisée nous protège. Comprendre que malgré toutes les menaces qui nous entourent, les espèces vivantes perdurent, c’est déjà le début de la conscience. Accepter que l’on fait partie d’un tout et que rien d’autre que de vivre la perfection ne peut nous arriver, c’est intégrer que nous sommes en totale sécurité et profondément aimés. Nous n’avons aucune raison de nous inquiéter.
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Videos de Maud Ankaoua (11) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Maud Ankaoua
Un petit aperçu de ce qui se cache dans l'édition collector de « Kilomètre zéro »
Découvrez les coulisses de l'incroyable voyage qui a inspiré à Maud Ankaoua son 1er roman et les photos qu'elle a prises sur la route Une magnifique manière de (re)découvrir un livre bouleversant et/ou d'offrir à ses proches un bout de voyage et de sagesse
À retrouver en librairie aujourd'hui
#eyrollesromans #kilomètrezero #maudankaoua #roman #editioncollector
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