« Bienheureux les stériles » n’est pas à mettre dans toutes les têtes, mais seulement dans celles de ceux qui ne croient pas plus en Dieux qu’au progrès.
À l’instar de Diogène, de Caraco ou de Cioran, ils savent que rien ne peut justifier l’existence.
Comme Schopenhaueer, ils ont réalisé que dans le bilan de toute vie, les profits sont loin de couvrir les pertes.