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Coline et Jessica sont jumelles. Elles ont 6 ans, et ce soir de juillet, un peu fâchées.
Coline a été punie de feu d'artifice après que sa soeur l'ait dénoncé à leur maman. C'est donc seule avec sa mère que Jessica ira assister aux feux d'artifice ce soir.
C'était la dernière fois que Coline voyait sa soeur. Celle-ci va disparaître, sans aucune trace, et sa famille restera de longues années sans savoir ce qu'il a bien pu se passer ce soir la.

Il se passe peu de choses dans ce roman finalement.
On assiste, impuissants, à l'effondrement de cette famille suite à la disparition de Jessica.
Le père et la mère se déchirent, incapables de surmonter leur chagrin.
Coline sombre peu à peu elle aussi. Devenue l'ombre de sa soeur disparue.

J'ai plusieurs fois eu les larmes aux yeux à la lecture de ce roman. L'autrice a su décrire une détresse qui est insoutenable. Et il est difficile de lâcher ce roman car on attend qu'une seule chose, que Coline s'en sorte! Qu'elle reprenne goût à la vie et qu'elle surmonte ce qu'elle a vécu comme un abandon.

Et ce twist final, mon Dieu, je n'avais rien vu venir!

Très agréable surprise que ce roman que j'ai lu par le plus grand des hasards via mon abonnement Prime.

Une seconde version est également disponible : Avec elle.
Et si Jessica n'avait pas disparu cette nuit la? Comment aurait évolué cette même famille?
Je trouve l'idée très intéressante, très novatrice, et il est très probable que je lise cet autre roman prochainement.
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Un livre magnifique. L'auteur sait mener l'intrigue et décrit brillamment le désarroi d'une famille après la disparition d'un enfant. Les personnages sont touchants, forts. La difficulté de se reconstruire après ce drame est racontée sans pathos. Un vrai talent, et je n'ai qu'une envie lire d'autres ouvrages de cette écrivaine.
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J'avais été moyennement séduite par la première partie de ce diptyque qui nous présentait Coline et Jessica, ensemble, la première complètement écrasée par la seconde. J'ai de loin préféré cette version où toute la famille est écrasée par la disparition de Jessica. Ici, Jessica disparait du roman dès les premières pages et nous suivons ensuite la tentative de la famille pour continuer... Si Thierry, le mari, s'en sort plutôt bien (au final beaucoup mieux que dans la première version), Patricia vit écrasée par la culpabilité d'avoir perdu de vue sa fille pendant quelques minutes. Quand à Coline, avec ou sans Jessica, elle est toujours aussi malheureuse et en retrait. le ton est plus grave dans ce tome et , si les personnages sont les mêmes, les relations sont complétement différentes (par exemple, Patricia n'est jamais infidèle mais elle reste une mère absente...) J'ai particulièrement aimé la fin surprenante et très triste (beaucoup plus que celle du premier)


Ce que j'aime : le ton plus grave du roman, les personnages plus crédibles, la fin (géniale) et la manière dont Patricia est dépeinte


Ce que j'aime moins : j'aurais aimé savoir ce qui est arrivé à Jessica


En bref : Un roman bien écrit qui change complètement de l'histoire lue dans Avec elle


Ma note


7,5/10
Lien : http://jessswann.blogspot.co..
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Nous découvrons la famille Simoëns : Patricia et Thierry, les parents; Jessica et Coline, leurs jumelles de 6 ans. le soir du 14 juillet, Patricia conduit Jessica aux feux d'artifice. Coline reste à la maison avec son père, car elle est punie. Jessica disparaît durant le spectacle pyrotechnique. Elle reste introuvable, la gendarmerie est appelée... Les jours passent, les semaines, les mois... La famille sombre, minée par cette perte inexplicable. Très vite, les parents se déchirent. Coline peine à trouver sa place : celle qui reste, celle qui n'est pas sa soeur disparue, celle qu'on néglige, celle qui se fait alors oublier...


Durant plusieurs années, on assiste à la destruction de cette famille et de chacun de ses membres. L'ambiance est morose. le suspense reste entier durant tout le récit : l'enquête autour de la disparition de Jessica comporte plusieurs rebondissements. J'ai bien aimé ce livre, il est très bien écrit. Cependant, le dénouement est assez frustrant pour moi. Je n'en dis pas plus pour ne pas faire de spoil.

Lien : http://leslecturesdangelique..
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C'est l'histoire d'un projet un peu fou : 2 écrivains, Amélie Antoine et Solène Bakowski décident d'écrire chacune un livre en partant d'un même point de départ, l'histoire de jumelles, Coline et Jessica. Toutes deux doivent se rendre au feu d'artifice du 14 juillet mais l'une a fait une bêtise et en sera privée. La mère, Patricia, n'emmènera que Jessica.
Près de l'étang où les festivités ont lieu, Patricia constatera qu'un lacet de chaussure de sa fille est défait.
A partir de là, les histoires changent :
Chez Amélie, le lacet sera refait
Chez Solène, il ne le sera pas
et de ce tout petit détail vont naitre deux histoires radicalement différentes.

"En un claquement de doigts, tout peut chavirer, irréversiblement"


Dans la dernière interview d'Amélie Antoine, elle répondait à cette question posée par Nicolas Elie
Q : Qu'est ce que tu en penses de l'académisme ? Des auteurs qui finissent par écrire le même livre à chaque fois ? Mettre les mots dans une cage ?
R : Je pense qu'on vit dans une société où il faut à tout prix coller des étiquettes aux artistes, pour pouvoir ensuite les ranger bien sagement dans une boîte. Tout est fait pour qu'un artiste fasse toujours la même chose, pour qu'il devienne une marque, quelque chose de sécurisant, de rassurant, tiens je vais acheter le dernier roman d'Untel, parce que je sais à l'avance ce qu'il y aura à l'intérieur.
Tout est fait pour ça.
Je crois qu'il faut tout faire pour lutter contre.(...)
Il faut se battre pour lutter contre, sans se soucier d'entrer dans un moule (...), écrire ce dont on a envie ou besoin et pas ce que d'autres attendent.

J'ai presque envie de dire : tout est dit ! Amélie n'est jamais où on l'attend, c'est à mon sens ce qui fait sa force. Elle ne s'embarrasse pas non plus de savoir si un éditeur va la publier, elle écrit, et elle trouve ensuite une solution pour combler ses lecteurs.
A la lecture de ce livre, j'ai cogité "mais où veut-elle en venir Amélie ? Quand va donc arriver le twist que j'attends (celui auquel je suis habituée, celui qui rentre dans la case "Amélie" ?)".
Et ça m'a justement fait penser à cette réponse qu'elle avait faite à Nicolas :
"Je ne suis pas là où on m'attend "
J'attendais.
Elle n'y était pas.

Et pourtant ! Quel bouquin !!!

Tout d'abord, j'ai été séduite par la profondeur psychologique des personnages principaux :
La mère, Patricia, dure, froide, difficile à attendrir et pourtant terriblement humaine quand le sort s'acharne sur elle.
Le père, Thierry, démissionnaire, silencieux, presque déficient, soumis à l'autorité de sa femme.
Les Jumelles :
Jessica, la meneuse, tenace et énergique, celle qui suscite l'admiration et l'attention.
Coline, la résignée, celle qui trinque, qui subit, qui souffre en silence, qui passe à côté de sa vie en vivant par procuration

Puis, j'ai vraiment aimé la construction du roman.
La première partie évoque la déflagration liée au choc d'un événement qui vous tombe dessus inopinément : basculer, paniquer, comprendre, chercher, s'acharner, soupçonner, ruminer, tenir.
La seconde partie rappelle les grandes étapes du deuil : se souvenir, se détruire, stagner, oublier, jalouser, détester, surmonter, accepter, en finir.

Plusieurs thèmes sont également décortiqués en profondeur, dont certains brillamment: la gémellité bien sûr mais aussi le naufrage du couple, l'éclatement familial, la préférence filiale, la toxicité maternelle.


Je connais très peu d'écrivains capables d'explorer si précisément les émotions humaines et d'en parler avec autant de justesse et ceci en 396 pages !
C'est un exercice périlleux, redoutable, de haute voltige dont peu possèdent la dextérité.
Ce livre est une plongée au royaume des émotions : chaque chapitre provoque un frisson différent et renvoie à des émotions que nous avons tous vécues.
Amélie n'est pas l'écrivain d'un "genre littéraire"
On ne peut pas la mettre dans une case.
Amélie va où son coeur la porte et sa plume nous emmène dans les tréfonds de sa créativité littéraire.
Elle sait tout dire, tout écrire et le fait magistralement.

Lien vers la chronique écrite pour "Avec elle" de Solène Bakowski
https://audebouquine.blogspot.com/2017/11/avec-elle-solene-bakowski.html

Lien : https://audebouquine.blogspo..
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Pas plus emballé que pour le livre "miroir" de Solène Bakowski... Vraiment long
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Il y a de ces livres salement verbeux, atrocement rébarbatifs, impoliment superfétatoires… Ceux que vous n'avez même pas besoin de chasser de votre esprit tellement ils sprintent. Ils s'échappent seuls sans crier gare ! Il y a ceux qui suscitent un engouement éphémère, ceux qui vous procurent un plaisir effervescent, furtif, volatile. Que vous oubliez aussi vite que l'éjaculateur précoce que vous êtes dégainez. Aussitôt lu, aussitôt épongé. Puis il y a ceux qui vous marquent au fer rouge, ceux qui laissent une empreinte indélébile dans votre coeur – si coeur il y a ( y a tellement mieux comme organe) – , dans votre tête, dans votre esprit, dans votre subconscient même. Ceux dont la douce mélodie ou le cri strident résonne encore des heures, des jours, des semaines après lecture. « Sans elle » fait partie de quelle catégorie ? Sherlock mène l'enquête.

J'ai sauté sur l'occasion de faire l'amour avec Amélie Antoine avec ce livre. Puis, apparemment, il y avait Solène Bakowski à la clé. TOUJOURS DIRE OUI À UN PLAN À TROIS, TOUJOURS. Il me tardait de découvrir ces auteures et leur projet commun m'a paru être une bonne occasion. Deux histoires, deux destins, un même point de départ, un seul événement qui cloisonne les deux.

J'ai commencé sans elle pour la retrouver plus tard et jouer au prince charmant, au grand chevalier salvateur. J'arrive chérie, minute. Il s'agit d'une histoire de manque, de deuil, d'amitié, de fraternité et bien plus qui soulève des questions qui pousseront le lecteur à une profonde introspection, mais je vous rassure tout de suite, on est très très loin des conseils du manitou « routinologue » (Niark Niark). On se demandera à quel point un petit detail peut se répercuter infiniment dans le futur. Une petite seconde de distraction, un regard trop appuyé, un lacet défait, un cunilingus mal fait… À quel point un petit événement d'un rien du tout peut tout chambouler.

Ce soir du 14 Juillet, Coline, 6 ans, est punie. Elle doit rester dans sa chambre à compter les moutons pendant que Jessica, sa soeur jumelle, profite du feu d'artifice, s'abreuve des couleurs chatoyantes, de l'excitation de la foule, du spectacle qu'elle imagine grandiose. Elle le sait. Ce qu'elle ignore, c'est que l'espace d'une seconde, Jessica a été séparée de sa mère et qu'elle demeurera portée disparue jusqu'àààààààà… Coline pourrait pourtant s'estimer chanceuse d'être celle qui a été punie ce soir, d'être celle qui est toujours LÀ. Mais à quel prix ?

Sans elle, c'est le combat d'une famille dont l'harmonie a été brisée, dont la beauté a été ternie, dont le charme a été rompu. le combat d'un couple qui s'étiole, se désagrège au rythme des schproums quotidiens. La lutte infernale d'une mère avachie, pusillanime, obnubilée par l'idée de retrouver sa petite fille portée disparue quitte à s'éloigner de celle toujours présente, de celle qui a toujours vécu dans l'ombre de l'autre, de celle qui ne demande qu'à être aimée, REGARDÉE. le questionnement, l'inquiétude et la frustration d'une enfant obligée de grandir plus vite que prévu. Il y a le manque viscéral, la culpabilité, la dépression, le déni, la crainte de sombrer dans l'oubli. S'accrocher aux souvenirs, à des bribes d'espoir, rien que ça.

A-t-on conscience, lorsqu'on vit quelque chose, que ce moment se transformera en un souvenir qu'on chérira de toutes nos forces plus tard ?

Si le projet, en soi, est assez originale, l'idée directrice de ce livre – à savoir la disparition d'une mineur – n'en reste pas moins banale à première vue. le lecteur lambda pourrait facilement zapper. Il va sans dire qu'il commettrait là une erreur monumentale du genre qui nuit à la sécurité nationale.

Amélie Antoine livre, dans ce bouquin, un récit d'une grande qualité. de sa plume incisive et mélodieuse à la limite de l'élégie, elle entraine le lecteur dans les profondeurs d'une famille des truites (oups), le pousse dans ses retranchements. Un récit saisissant, percutant, d'une justesse aiguë qui dénote une maîtrise linguistique remarquable. La syntaxe, les tournures des phrases, les substantifs, que d'éléments parfaitement maîtrisés pour un délicieux cocktail linguistique. Il y a cette sorte de fourberie subtile dans sa façon d'écrire, un genre de manipulation déguisée, un espèce de tripatouillage mesquin qui lui permet de mener le lecteur à la baguette à tel point qu'il ne souhaite aucunement perdre une miette de l'histoire. Si elle n'y va pas par le dos de la cuillère, elle sait néanmoins chatouiller habilement son lecteur, le caresser dans le sens du poil. Désolé, je suis difficile mais pas quand on me caresse. Donc, excusez mon manque d'objectivité. Euh en fait, non, je m'en branle comme de l'an 40.

L'atmosphère est austère et pesante. le questionnement demeure en filigrane tout le long du récit : que s'est-il donc passé ce soir du 14 Juillet 2004 ? Qu'est-il arrivé à cette pauvre fille pleine de vie ? Progressivement, le questionnement laisse place au doute, à la frustration – les pires scénarios sont imaginés -, à l'abdiquation pour certains et j'en passe. L'auteure sait placer le lecteur au coeur de l'action et l'immerger graduellement dans les abysses du cerveau de ses personnages qu'elle a pris le temps d'esquisser, de fignoler pour un résultat plus humain qu'humain. L'humanité des différents protagonistes rajoute une note positive à cette mélodie rythmée et enivrante. le brillant étalage de leurs différents points de vues permet, quant à lui, de dresser le profil psychologique de chacun d'eux. Imagé, est ce récit, à souhait. Je la verrais bien en scénariste (passez à mon bureau, m'dame).

Bon, écoutez, on va couper court. Vous l'aurez compris, ou pas, parce que d'après certaines mauvaises langues, avec mes chroniques, on ne sait jamais si c'est du lard ou du cochon. Vous y croyez, vous ? Pourquoi tant de haine sur cette planète ! À ce rythme, je vais finir par prendre mon inscription pour Poudlard. Donc voilà, Amélie Antoine nous a pondu un magnifique roman psychologique. Un livre secouant, du genre qui vous met les tripes en vrac. Sortir indemne de cette lecture ? Never. Elle sait y faire. Sautez tout de suite dessus. Je précise, sur le livre, pas sur l'auteure. Laissez la moi. Vous ne serez pas déçu, parole de sex-symbo. Verdict : Excellentissimo ! Et Dieu sait que je n'emploie que très rarement ce mot. Donc, miss Amélia, vous pouvez sortir le champagne.
Lien : https://uncomptantpourriende..
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Très émouvant mais trop lent ou trop long à mes yeux; moins surprenant que Fidèle au poste, moins original que Quand on n'a que l'humour. le projet d'écriture n'est pas si original que çà; jaurai une idée plus claire quand j'aurai lu Avec elle.
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Après avoir lu le roman Avec elle de Solène Bakowski, j'ai enchainé avec celui d'Amélie Antoine, Sans elle, qui repart exactement au même endroit mais ce déroule totalement différemment.
Nous sommes de nouveau le 14 juillet 2004, et Coline est toujours punie par sa maman et ne pourra pas aller regarder le feu d'artifice avec sa soeur jumelle Jessica. Les mêmes scènes se retrouvent, il y a toujours l'homme qui donne des bracelets lumineux et l'envie de Jessica d'aller en chercher deux. Il y a cet instant où le destin change la donne et fait disparaitre Jessica.
Jessica en effet disparait totalement après avoir été chercher les bracelets, commence alors l'attente, l'horreur et l'absence.
Dans ce roman, Coline va devoir vivre avec le vide de sa jumelle, va devoir grandir en se forgeant sa propre personnalité, va devoir aussi remplir l'absence laissée par sa soeur et tout ceci va la conduire vers son destin.
La disparition dans ces conditions de Jessica rappelle bien sur les disparitions d'enfants dont les photos jaunissent dans les commissariats. On imagine sans peine l'horreur de ne pas savoir ce qu'il est arrivé à l'enfant, de ne pas savoir qui l'a fait disparaitre, On peut également imaginer l'intensité de la culpabilité, les reproches et le rejet de la faute et la famille qui éclate par trop de douleurs.

Dans cette histoire Coline, celle qui reste va se trouver confrontée non seulement à l'absence de sa jumelle mais aussi au vide que celle-ci laisse dans la famille et au fait de trouver sa place sans prendre celle de sa soeur car rien ni personne ne peut remplacer ce vide.
Coline doit aussi grandir dans le culte de cette soeur qui était beaucoup lumineuse qu'elle et qui attirait tous les regards et il est difficile de se forger une personnalité quand l'absence ronge les relations.
Ce roman est poignant, autant si ce n'est plus que celui de Solène Bakowski car on ressent toute la détresse (même cachée) de Coline.
L'écriture est très agréable et donne beaucoup de profondeur à cette lecture.
Je ne connaissais pas Amélie Antoine mais je sais que je lirai d'autres romans de cette auteure dès que possible.

En tous les cas, ce fut une super expérience de lire ces deux romans et je remercie la plateforme NetGalley pour m'avoir permis de me régaler avec ces deux histoires.

Lien : http://delcyfaro.blogspot.fr..
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Amélie Antoine fait partie de mes auteurs préférés depuis que j'ai lu " fidèle au poste" et " quand on n'a que l'humour"
Ce roman psychologique est aussi une réussite.
Les thèmes comme la gémellité , la culpabilité sont abordés avec justesse dans une ambiance pesante , sombre.
L'écriture est sensible , addictive et la fin est ... inimaginable , inattendue !
Maintenant faut que je lise la version " avec elle" de Solène Bakowski
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