J’éprouvais une espèce de colère de ce que toutes les personnes féminines de la maison avaient le droit d’entrer dans la salle de bain même quand j’y étais, tandis que je n’avais pas ce droit. Et je trouvais absolument abusif qu’on
m’en interdit l’entrée même lorsqu’on baignait seulement ma sœur Élisabeth, car je ne voyais pas pourquoi, malgré qu’elle affectât des airs de demoiselle, on la traitât différemment de nous.
Dégoûtant ? Pourquoi donc ? Pourquoi donc deux sexes ont-ils été créés [...] ? Tu ne peux pas croire comme ça fait du bien, beaucoup plus de bien que quand on le fait tout seul.
Je brûlai de savoir ce que les femmes portaient sous les jupes de si précieux, qu'elles se crussent obligées de le tenir si soigneusement caché.
Je remarquai, dans la suite, que l'onanisme ressemblait à la boisson, car plus on boit, plus on a soif...
Et je l'embrassai sur sa jolie bouche, rouge comme une cerise et ouverte sur de belles dents saines et appétissantes.
Elle se tourna. J'avais maintenant son cul devant les yeux. Elle se pencha et prit mon vit dans la bouche. Je fis comme elle, ma langue pénétra dans son con. Je léchai le sperme féminin, qui avait le goût d'oeuf cru. Le jeu de sa langue contre mon gland devenait toujours plus fort, une de ses mains me chatouillait les couilles et le cul, tandis que l'autre me serrait le vit.
Le plaisir devint si grand que je me raidis tout entier. Elle enfonça mon vit dans sa bouche autant qu'il était possible. Ses parties les plus secrètes étaient devant mes yeux. J'empoignai ses cuisses et ma langue se plongea dans son trou du cul. Je perdis les sens et déchargeai dans sa bouche.
Elle serra les cuisses et se pencha un peu en avant. Je pris un téton dans la bouche et je le suçai, tandis que mon doigt jouait avec son clitoris, que je découvris dans un état aussi excitant que possible. Bientôt ma main se glissa entre les cuisses et un, deux, trois doigts pénétrèrent dans le con.
Elle voulait s'en aller, mais je la poussai contre la muraille. Je sentais tout son corps frémir sous son léger vêtement. Vite je sortis mon vit et le poussai dans le con. La position était incommode, et comme la jeune fille était grande et forte, je n'aurais pas pu la baiser si elle n'y avais mis du sien. Je la baisai ainsi debout. Elle devait être très chaude, car ça lui vint très vite.
Au-dessous du cul colossal, entre les cuisses, apparaissait le con gras et juteux dans lequel je fouillai d'un doigt rigoleur.
Sa peau était blanche comme du lait et douce comme du satin.
Nous ne pouvions pas comprendre ces façons d'agir qui tenaient à ce que la puberté avait fait son apparition chez Elisabeth. Ses hanches s'étaient arrondies, ses tétons commençaient à se gonfler et les premiers poils avaient fait leur apparition sur sa motte, comme je l'appris plus tard.