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sur 182 notes
"Silver Spoon" est un manga de type « school life », plein de bonne volonté, plein de bonne humeur, mais surtout d'une réjouissante fraîcheur en plus d'être une ode à l'amitié et à la solidarité !

C'est avec beaucoup d'humour qu'on nous présente Yûgo Hachiken, un adolescent qui pour rompre avec sa famille et la compétition scolaire a choisi un établissement où il compte briller sans trop se fouler… Au lycée agricole Ohezo il se retrouve sans aucune expérience de la ruralité dans une classe peuplée d'enfants de paysans qui comptent bien devenir paysans à leur tour, et alors que chacun a un destin déjà tracé lui n'a strictement aucune idée de ce qu'il veut faire de sa vie, ce qui accentue son malaise avant qu'en travaux pratiques il ne soit obligé de manipuler volailles, porcins et bovins dans le cadre de la section « production animal »… C'est le choc culturel pour le personnage principal tant que pour le lecteur, volontiers citadins voire tokyoite, et nous découvrons le monde merveilleux de la campagne à travers les yeux ! ^^
Si on croise à l'occasion les élèves des sections sciences de l'agriculture, recherche agroalimentaire et ingénierie agricole et forestière, c'est les camarades de classe de Yûgo qui se taillent la part du lion : Aki Mikage, amoureuse des chevaux condamnée à reprendre la ferme de ses parents ; Ichiro Komaba, amoureux du base-ball, voisin d'Aki, qui a déjà plus ou moins repris la ferme de ses parents depuis la mort de son père ; Shinnosuke Aikawa, qui veut devenir vétérinaire mais qui ne gère pas spécialement bien ses relations à la vie et à la mort ; Tamako Inada, adoratrice du Veau d'Or qui ne jure que par l'argent et la loi du plus fort, et qui se voit déjà comme une actrice majeure de la guerre agricole mondiale (et qui perd et prend du poids à volonté, dans l'ordre de plusieurs dizaines de kilos ^^) ; l'espiègle Mayumi Yoshino qui compte bien ouvrir une fromagerie pour bonifier le lait produit par ses parents, Keiji Tokiwa, un bétin qui ne comprend rien à rien mais qui est prédestiné à reprendre l'élevage de volailles de ses parents ; Nishikawa Hajime, un paysan complètement otaku qui n'hésite pas à tuner tracteurs et chariots…
On nous décrit les petites exploitations familiales qui se battent pour survivre, les coopératives qui luttent pour presque autant pour exister que pour se développer, et les grosses boîtes productivistes qui mettent le pognon au-dessus de l'homme et de l'environnement… Pendant ce temps, on construit autour du personnage de Yûgo qui se prend d'affection pour Noisette le cheval, Côtelette le cochon et Vice-président le chiot tout une réflexion sur les relations entre hommes et animaux… Et ce dernier exclut d'emblée le végétarisme, car il comprend immédiatement qu'en s'engageant dans cette voie il condamne à l'extinction les animaux d'exploitation dont il veut améliorer la condition : inutile de dire que c'est autrement plus fin et autrement plus convaincant qu'Aymeric Caron dans "Antispéciste". Pourquoi ? Parce que la mangaka Hiromu Arakawa est native d'Hokkaido, issue d'une famille de paysans et est passée par les bancs d'un lycée agricole parce que ses parents ne pouvaient lui offrir mieux à l'image de nombreux personnages de son manga, et que donc elle connaît son sujet niveau ruralité et agriculture (dans tous les cas, mieux que les journalistes bobos hipsters qui s'aventurent guère au-delà du périphérique de Paris).


Il s'agit d'un tome 1 particulièrement riche puisqu'il présent tous les personnages et tous les thèmes de la série en moins de 200 pages…
Pour son premier jour, Yûgo à la poursuite d'un veau se perd dans la campagne d'Hokkaido et entre les portables qui ne captent pas et les panneaux « attention, ours méchants » il flippe à mort avant d'être ramené au bercail par la jolie Aki montée sur Black King, homonyme et sosie de Kokuo le monstrueux étalon de Raoh dans "Hokuto no Ken" ! le ton est donné : on est dans la grosse déconne !!! ^^
Entre les poules, les cochons, les vaches et les tracteurs, il découvre ses camarades de classe de la section « production animale » : il est incapable de décider s'ils sont idiots ou géniaux, et s'il est de loin le meilleur élève de sa classe, il enrage de n'être le premier dans aucune des disciplines enseignée… Nous faisons aussi connaissance avec quelques membre du corps enseignant : Mr Nakajima (= Monsieur Cheval), bouddha incarné qui professe l'amour et l'harmonie entre hommes et animaux, mais qui souffre d'addiction au jeu et a monté un atelier clandestin d'affinage de fromages, Mr Todoroki le professeur d'EPS sosie Alexander-Louis Armstrong de "Fullmetal Alchemist", ou les terribles professeurs de TP tous en treillis militaire et menés par un sosie de Lara Croft ! ^^
Mais en dehors de l'école, il également de plus haut un monde nouveau, celui des chevaux, avec le club d'équitation et les courses de chevaux ban-ei spécifique au Nord du Japon (Hokkaido et Tohoku, régions plus rurales que celle de le mégalopole centrée sur les plaines hyper urbanisées du Kantô et du Kansai)
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/66/Early_Morning_Training.jpg

Par contre les douches et les cantines militaires, les semi-marathons avant de commencer les cours, les clubs de sports obligatoires pour terminer les cours, les travaux physiques à toutes les heures de la journée, les manuels de statistiques à apprendre par coeur… C'est over-abusé, donc envoyons les pédagogues qui s'étranglent de rage rien qu'aux mots « travail » et « contrainte » aller faire un stage là-bas ! ^^
Nous savons tous que le système scolaire japonais est impitoyable, avec élitisme, compétition et sélection, mais démarrer la journée à 4 heures pour finir à plus de 22 heures, trop c'est trop ! C'est même contre productif puisque le corps ne peut plus se régénérer et l'esprit ne peut plus rien assimiler à part du bourrage de crâne… Exagération ou réalité ? Les chiffres de suicides et de crises de surmenage parmi les adolescents sont assez affolants au Japon… (encore que le taux de suicide des jeunes le plus inquiétant est celui de la Finlande, dont le système scolaire est réputé cool, fun et bienveillant : il faudra un jour que tous ceux qui en ont font une référence m'explique le pourquoi du comment)
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La particularité des shonen japonais est de constituer une structure narrative adaptable à des sujets très variés. C'est bien le schéma qui importe : un héros naïf, jeune, avec un objectif à réaliser et qui y sera aidé par des compagnons rencontrés au fur et à mesure du chemin, des embûches qui ne le rendent que de plus en plus fort. le thème choisi ici est vraiment original et peut se voir dès la couverture : la progression d'un héros venant de la ville au sein d'un lycée agricole.

Cela peut paraître d'un intérêt a priori limité, mais le récit est vraiment drôle et très bien mené. L'auteur déconstruit de nombreux clichés, s'en amuse, joue de la confrontation du citadin avec la réalité de la campagne. La confrontation physique avec les animaux est forcément sujette à de nombreux gags, mais c'est surtout la différence de vie entre les citadins et les gens issus du monde agricole qui est le plus souligné. Au delà des moments d'humour, il s'agit le plus souvent de belles leçons d'humanité qui permettent un regard plus profond sur la confrontation de ces deux mondes.

Tout en parvenant à rendre des moments loufoques, le dessin est plutôt plus réaliste que celui des mangas habituels, notamment dans le rendu des animaux. On évite ainsi la caricature et c'est l'outrance passe plus, comme souvent dans les shonen, par la retranscription des émotions des personnages. La précision dans le rendu des installations agricoles est également impressionnant et plonge dans un réalisme assez rare dans le genre.

Le mystère entretenu sur les réelles motivations du héros à ce changement de vie et les ambitions variés des différents autres personnages maintient vraiment un intéret tout au long du tome et donne particulièrement envie de continuer la découverte. Une lecture tentée un peu comme un pari par hasard et qui se révèle une vraie réussite, c'est toujours bien plaisant.
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Un nouvel élève arrive dans un lycée agricole au Japon. Epuisé par le stress induit par les études, il choisit cette voie en passant qu'elle sera plus facile. Mais il n'a aucun projet professionnel si ce n'est d'éviter ainsi d'être broyé par la pression du système éducatif japonais. Nous suivons ses premiers pas dans cet univers où il a tout à apprendre (et nous aussi !). Si ce manga évoque les différents animaux de la ferme, il fait la part belle aux chevaux et à leur relation avec l'homme. Entre humour et aventure agricole, le lecteur a l'impression de réaliser lui aussi un stage pratique à la ferme. Allez, haut les coeurs, réveil à quatre heures du matin...


Un manga contre les préjugés. Les personnages ont tous des raisons différentes de se trouver là : passion, devoir familial, héritage... On apprend beaucoup sur la gestion d'une ferme et sur les animaux, mais on est aussi amené à réfléchir sur la relation de l'homme avec eux. Pour tous les passionnés d'animaux de la ferme et les curieux.

Lien : http://cdilumiere.over-blog...
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Hiromu Arakawa est la mangaka qui a créé Fullmetal Alchemist, je n'ai pas lu ce manga, il est dans ma PAL depuis un moment. Par contre, les genres sont totalement différents, Fullmetal Alchemist touche tout ce qui concerne l'alchimie, là, on se retrouve dans un lycée agricole qui est un sujet peu commun. J'avoue que je voulais découvrir ce manga par rapport à l'histoire.

Yûgo s'est inscrit dans ce lycée pour être le premier de la classe. Même qu'il a épluché tous les livres pendant l'été comme ça, il aura pris de l'avance sur les autres élèves. Mais voilà, il faut se lever tous les matins à 5 heures, aller ramasser les oeufs, nettoyer les écuries…

J'ai trouvé ce lycée agricole très beau et complet. C'est le lycée qui s'occupe de tout, du foin, de la nourriture… de plus, le sujet agriculture peut-être un sujet pas très intéressant mais Hiromu amène une touche d'humour sur certaines scènes qui font sourire. J'ai beaucoup apprécié la scène sur les oeufs.
Yûgo est un personnage que j'ai bien apprécié, on voit son évolution petit à petit. Je me demande surtout ce qu'il s'est passé avec ses parents…
C'est vrai qu'avec un tome, on ne peut pas connaître les personnages, mais j'ai beaucoup envie de continuer ce manga pour apprendre à mieux les connaître.

Un univers agricole bien représenté, on voit que le travail est très dur et qu'il faut de la motivation pour faire ce travail. Même si beaucoup de ses collègues ont un avenir déjà tracé, Yûgo doit redoubler d'effort car il ne sait pas ce qu'il veut faire plus tard. de plus, Yûgo a été admis par candidature alors que les autres ont été admis de suite.
Lien : http://livres-films-series.b..
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C'est tellement rare de lire une histoire pour jeunes où le lieu d'action est un lycée agricole, et où les métiers de l'agriculture sont valorisés, que Silver Spoon vaut le détour, ne serait-ce que par cette originalité. D'ailleurs, le monde rural n'est pas du tout idéalisé ici, ni vu sous son angle le plus avantageux, au contraire.
Lien : http://pulco-suivezlepapillo..
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Je remercie Babelio et les editions Kurokawa d'avoir proposé ce manga pour la dernière édition BD de Masse Critique, et de m'avoir sélectionnée !

J'avais déjà lu des avis positifs sur ce manga, et ayant beaucoup apprécié la série Full Metal Alchemist de la même mangaka, j'avais très envie de lire ce premier tome.
On est quand même dans un univers totalement différent de son précédent manga. Dans Silver Spoon on se retrouve dans le lycée agricole d'Ohezo, où Yûgo Hachiken fait sa rentrée dans la section « production animale », après avoir passé les examens d'entrée.
Chose assez surprenante, contrairement à la (quasi ?) totalité de ses camarades de classe, Yûgo n'a pas de famille travaillant dans le domaine agricole, et il n'a jamais mis les pieds dans une ferme avant cela !

On va vite apprendre que Yûgo a « atterri » dans ce lycée car il voulait être le meilleur élève partout.
Sauf qu'il va apprendre à ses dépens que si les matières traditionnelles (maths, français etc) sont importantes, les matières plus techniques concernant l'agriculture le sont encore plus !

Il y a beaucoup d'humour, à la fois dans le trait de la mangaka et dans les dialogues, et l'on sourit ou rit souvent des situations cocasses dans lesquelles se trouve Yûgo.
J'ai beaucoup aimé la découverte de Yûgo sur la provenance des oeufs de poule… C'est traité de manière très drôle mais sans en faire trop non plus. On sent qu'on se moque un peu du héros… mais finalement c'est surtout pour caractériser son côté très citadin.

On se rend aussi vite compte des difficultés du monde agricole : il faut se lever tôt, même pendant les vacances il faut s'occuper des champs et des bêtes, et il faut aussi faire face aux difficultés financières.
Ce manga est vraiment très intéressant pour ça, si on ne sait pas grand-chose de la vie dans les champs, on apprend des choses.
Je pense que ce manga est accessible aux enfants à partir de 9/10 ans et ça peut leur permettre de mieux connaître le travail dans ce domaine aussi.

Pour ceux qui ont aimé FMA, je dirai qu'ils ne seront pas déçus car on retrouve vraiment le même coup de crayon, et on voit que des personnages de Silver Spoon nous en rappellent certains de FMA (petit coup de nostalgie…), et on retrouve vraiment l'humour mais aussi le côté plus sérieux de certains sujets.

En bref, j'ai été conquise par ce premier tome, et je me languis de lire la suite !
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On dit qu'il y a un début à tout... Et bien, ça y est, je viens de finir mon premier manga. Bon, je ne vais pas sabrer le champagne puisque j'en ai déjà bu hier mais là je m'éloigne du sujet... :-)

Donc premier manga fini, 1ère impression : pas mal même si ce n'est pas particulièrement mon genre de lecture. Je viens d'arriver en section jeunesse dans une médiathèque et comme nous avons un fonds importants en mangas enfants et ados et que je ne connaissais pas vraiment ce genre, il fallait bien quand même s'y mettre un minimum.

L'histoire : Yûgo Hachiken, élève doué et venant d'une banlieue aisée, entre dans un lycée agricole. Les autres élèves viennent plutôt d'un milieu rural et se demandent bien ce que Yûgo vient faire dans ce bahut. Surtout qu'il n'a pas de projet professionnel particulier, encore moins de rêves, comme en ont déjà certains élèves (devenir vétérinaire, reprendre l'exploitation agricole des parents...).
Yûgo pense, lui, que l'année va se passer comme sur des roulettes étant donné qu'il est qu'avec des fils de « bouseux » (excusez les stéréotypes mais il s'agit bien de cela) qui ne savent pas combien font 2+2.
Le problème étant que rapidement après la rentrée, notre petit génie se rend bien compte que ça va pas être gagné : la gestion agricole, les cours d'élevage et surtout : il est obligatoire de s'inscrire dans un club sportif de l'école et Yûgo aime autant le sport que Churchill ! Aie aie aie !!!

L'intrigue, qui se déroule sur je ne sais combien de tomes, se laisse suivre. Evidemment, cela produit toujours un effet bizarre de lire un livre dans le sens de lecture japonais et ne comptez pas sur les numéros de pages pour vous repérer, y en a pas ! Certaines écritures, en gros l'équivalent des didascalies au théâtre, ne sont pas très lisibles. Par contre, Les dessins sont fins et j'ai apprécié l'humour de l'auteur. La prochaine fois, place à un manga d'action...
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En lisant le résumé, froncement de sourcils... Pas que je sois réfractaire à une histoire se passant dans un lycée agricole, m'enfin le sujet ne fait pas franchement rêver. Et puis, je me dis que zut, l'ouverture d'esprit ça existe autant s'en servir et puis que malgré mon absence de culture manga je connais quand même le nom de Hiromu Arakawa (merci FMA) et que ça si c'est pas un signe je ne m'y connais pas...

J'ouvre le livre, il me faut quand même quelques pages pour me repérer dans le sens de lecture... me familiariser avec les personnages, vaguement retenir les noms. Et apprécier. le cadre est sympathique (finalement), le décalage entre le personnage principal et son environnement est un bon engrais pour l'humour du manga. Les préjugés sont abordés avec lourdeur mais humour. Et les personnages se découvrent petit à petit, plus complexes qu'au premier abord. Bref, la lecture est très agréable.

Arrivé à la fin, c'est la surprise. J'ai envie de lire la suite. Sans m'avoir ébloui (ce que je n'attendais pas non plus), Silver Spoon se lit vite et facilement.

Adieu veau, vache, cochon, couvée, à la prochaine !
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Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio ainsi que les éditions Kurokawa pour ce partenariat.

Cela faisait quelques temps que ce manga me tentait. J'en avais lu plusieurs avis positifs et je pensais me lancer très prochainement. La Masse Critique de Babelio tombait donc à pic et j'ai eu la chance d'être sélectionnée.

Nous suivons les aventures de Yûgo, fraîchement débarqué dans une école agricole. Au vu de ses excellents résultats, il n'a, a priori, rien à y faire... C'est un mystère qui persiste à la fin de ce premier tome. le sujet de ce manga est très original. Je n'ai pas souvenance d'avoir déjà croisé un manga avec le monde agricole et ses métiers pour sujet. le tout est traité de manière à la fois éducative et drôle. Yûgo ne connaît rien à ce monde et se retrouve souvent dans des situations cocasses ! J'ai beaucoup ri pendant ma lecture !

Le graphisme est superbe, j'ai adoré le design des animaux (surtout le petit veau ! Kawaii !). Les personnages sont tous travaillés et on sent bien qu'ils ont leur personnalité propre.

Je n'avais rien lu de cette mangaka (et non, même pas Full Metal Alchemist !) et c'est une belle découverte pour moi ! Je vais sans aucun doute continuer la série, j'ai hâte de connaître la suite des (més)aventures de Yûgo !
Lien : http://le-marque-page-de-pop..
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Silver Spoon, la cuillère d'argent (2011) est un manga de Hiromu Arakawa.
Yûgo Hachiken, qui vient d'un collège prestigieux, pense facilement devenir le meilleur élève du lycée agricole Ôezo, sur l'île d'Hokkaidô. Mais c'était sans compter sur les travaux pratiques qu'il ne maîtrise pas contrairement à tous les autres élèves ! Un manga original et plaisant sur le monde agricole japonais.
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