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Critique de FleurDuBien
Je suis bien embêtée... et en colère.
Il est d'usage, et c'est bien normal, de remercier Babélio, Masse critique et les éditions Moires pour m'avoir fait parvenir ce roman, Paul et Tristan. Mais j'ai des difficultés à le faire.
Roman d'une ultra violence impressionnante, mis à part Américan psycho que je n'ai pas voulu terminer tant la violence était monstrueuse.
Alors, j'entends certains me sussurer à l'oreille pourquoi j'ai coché ce livre dans Masse critique. Tout simplement parce que le résumé ne dévoile pas explicitement l'horreur de cet ouvrage que je ne tiens que d'un seul doigt de peur de me salir.
Oui, je suis quelque peu ultra mais je vous assure qu'il y a de quoi !
L'ultra ultra ultra violence ne me plaît pas, ceux qui me connaissent le savent bien.
J'ai été servi.
Des scènes hallucinantes, du sadisme, du sexe mêlé à des massacres, des viols et j'en passe.
Un exemple parmi tant d'autres : se masturber sur un cadavre le crâne fracassé.
Il y a quelque chose qui me tarabuste; pourquoi lire ces horreurs alors qu'il y a tant de beaux livres à découvrir, de belles choses à apprécier ?
Ce livre est immonde, rien à dire de plus à part que je l'ai fini avec une nausée progressive et un dégoût rare par respect pour Masse Critique et Babelio.
Pourtant, je ne suis pas fan de Barbara Cartland ni de la collection Harlequin, mais ce livre est abject.
Par contre, ceux qui apprécient l'ultra violence seront servis.
Je m'interroge sur la destinée de ce ramassis d'horreurs.
Je n'ai JAMAIS jeté un livre à la poubelle, c'est contre mes principes, mais la, il me semble que c'est la meilleure solution. Je ne veux pas "polluer" ma bibliothèque.
Une poubelle que ce "livre" n'aurait jamais dû quitter.
Il est d'usage, et c'est bien normal, de remercier Babélio, Masse critique et les éditions Moires pour m'avoir fait parvenir ce roman, Paul et Tristan. Mais j'ai des difficultés à le faire.
Roman d'une ultra violence impressionnante, mis à part Américan psycho que je n'ai pas voulu terminer tant la violence était monstrueuse.
Alors, j'entends certains me sussurer à l'oreille pourquoi j'ai coché ce livre dans Masse critique. Tout simplement parce que le résumé ne dévoile pas explicitement l'horreur de cet ouvrage que je ne tiens que d'un seul doigt de peur de me salir.
Oui, je suis quelque peu ultra mais je vous assure qu'il y a de quoi !
L'ultra ultra ultra violence ne me plaît pas, ceux qui me connaissent le savent bien.
J'ai été servi.
Des scènes hallucinantes, du sadisme, du sexe mêlé à des massacres, des viols et j'en passe.
Un exemple parmi tant d'autres : se masturber sur un cadavre le crâne fracassé.
Il y a quelque chose qui me tarabuste; pourquoi lire ces horreurs alors qu'il y a tant de beaux livres à découvrir, de belles choses à apprécier ?
Ce livre est immonde, rien à dire de plus à part que je l'ai fini avec une nausée progressive et un dégoût rare par respect pour Masse Critique et Babelio.
Pourtant, je ne suis pas fan de Barbara Cartland ni de la collection Harlequin, mais ce livre est abject.
Par contre, ceux qui apprécient l'ultra violence seront servis.
Je m'interroge sur la destinée de ce ramassis d'horreurs.
Je n'ai JAMAIS jeté un livre à la poubelle, c'est contre mes principes, mais la, il me semble que c'est la meilleure solution. Je ne veux pas "polluer" ma bibliothèque.
Une poubelle que ce "livre" n'aurait jamais dû quitter.
