Il y a une légèreté, une gaieté du mode de vie cuiva, mais il s’agit aussi d’en montrer la profondeur, de révéler progressivement, dans le portrait de groupe, la mosaïque des individus. Bernard Arcand ne fabrique pas de fétiche. Il regarde, il raconte, il restitue la réalité la plus difficile, la plus précieuse à saisir : la liberté d’un peuple.
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Bernard Arcand est décédé il y a dix ans. Il faisait partie de cette cohorte d’anthropologues qui se questionnaient sur les causes de la pauvreté et des inégalités sociales tout en voulant changer le monde.
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