Library wars, tome 1

Une armée pour défendre les livres !
Ce manga m'a beaucoup plu, autant par son thème que par le traitement de l'histoire, pas trop mièvre pour un shojo. de l'action, de l'humour, une idée de départ intéressante (les bibliothèques s'arment, pour lutter contre la censure du gouvernement).

Aux armes citoyens, les livres sont en danger. Beaucoup de livres sont jugés inadaptés et doivent finir au bucher. Mais une "armée" résiste encore pour la liberté des livres et les protège dans des bibliothèque. Ces miliciens font partis de l'excellence et se battent pour le droit de tous les mots.

Au début de l'ère Seika (ère fictive), le gouvernement a voté une loi pour un contrôle renforcé de la culture. Ainsi l'armée à le pouvoir de censurer et détruire tous les ouvrages susceptibles de troubler l'ordre public, ou de porter atteinte aux valeurs de la patrie. Afin de pouvoir lutter des bibliothécaires se mobilisent pour créer un corps d'agents spécialisés pour protéger les livres et les lecteurs. D'ailleurs, un jour une lectrice, Iku Kasahara, a été sauvé et depuis elle rêve d'intégrer cette équipe hors du commun. Elle va tout donner pour faire parti des meilleures et devenir à son tour une protectrice des mots et de la liberté. le quotidien ne va pas être toujours facile mais son supérieur, Dojo, ne l'a laisse pas totalement indifférente. Il est dur avec elle tout en la protégeant. Une idylle amoureuse commence t'elle à se créer?

Ce manga est l'adaptation du roman japonais à succès “La guerre des bibliothèques” d'Hiro Arikawa. L'histoire m'a rappelé Fahrenheit 451 et aussi cette possibilité que cela peut se produire dans n'importe quelle société moderne. Une idée de récit qui m'a tout de suite plu même si c'est un shôjo. Une histoire d'amour en toile de fond d'une unité qui se bat pour la liberté d'expression, je dis banco. La midinette qui vit en moi cohabite très bien avec l'amoureuse des livres. Alors j'ai hâte de lire la suite pour savoir comment Iku va se débrouiller parmi l'élite des agents de protection et savoir si elle va se laisser séduire par son responsable Dojo. En tout cas, c'est une battante et elle va tout faire pour réussir qu'importe les critiques. Vivement le tome 2 pour de nouvelles aventures palpitantes.

Envie d'aller à la rencontre d'une équipe de choc qui se prépare à tout pour sauver les livres? Envie de voir des femmes pleines de courage et de passion pour soutenir les mots? Alors partez à la rencontre de Library Wars.
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Dans ce titre, le lecteur entre dans un univers où une loi impose une censure aux oeuvres littéraires qui sont considérées comme des titres litigieux. En réponse à cela, des agents de défense ont vu le jour parmi le corps des bibliothécaires dans le but de préserver la liberté intellectuelle. Iku Kasahara est une nouvelle recrue en période de formation. le lecteur la suit dans son entraînement et dans ses relations avec ses instructeurs...

Avis : un shojo drôle et touchant ! L'histoire est prenante et fait voyager le lecteur en bibliothèque et en librairies. Les personnages sont attachants en raison de la détermination de l'héroïne et du côté tsundere du lieutenant Dojo comme disent les japonais. Ils forment un duo touchant dont il est possible d'imaginer l'évolution. C'est pourquoi j'ai hâte de pouvoir découvrir la suite !

Dans un Japon imaginaire, au temps de l'ère Seika, Iku Kasahara rêve de devenir membre du corps des bibliothécaires depuis qu'un mystérieux inspecteur a sauvé le livre qu'elle voulait à tout prix acquérir avant qu'il ne soit confisqué.
A cette époque là la loi « d'amélioration des médias » a été proclamée, et certains ouvrages ‘sensibles' sont soumis à une censure en étant confisqués et gardés précieusement par une armée.

Iku Kasahara est une jeune fille athlétique, qui subit un entraînement intense afin de réaliser son rêve. Sportive, les autres matières plus théoriques ne sont pas spécialement sont fort.
Elle est très souvent rabrouée et mise en difficulté par le lieutenant Dojo, et la rivalité entre les deux est comique et bien rendue par la mangaka qui ne ménage pas son héroïne !
Mais sous ses aspects durs, Dojo peut aussi faire preuve de sensibilité et d'amitié, et le lieutenant Komaki son coéquipier se joue souvent de lui en le taquinant, surtout au sujet de Kasahara…
On a aussi Tezuka, le rival de Kasahara, celui qu'elle va devoir supporter puisqu'ils vont se retrouver équipier dans « l'équipe Dojo »…

Bon, vous l'aurez compris, on est dans un manga de type shojo, où le mystérieux « Prince Charmant » est l'objet de toutes les pensées de Kasahara et à l'origine de sa volonté.
On nous explique cependant bien ce qu'est le corps des bibliothécaires et son action. On a donc quand même de l'action, ce n'est pas qu'une simple histoire d'amour. Et l'humour est très présent, vu le caractère exubérant de l'héroïne et sa façon de se mettre dans le pétrin, on n'est pas prêts de pleurer !

Le gouvernement japonais a vôté "la loi d'amélioration des médias" qui vise à contrôler et interdire les livres contraire à sa politique. L'armée est réquisitionnée pour contrôler et interdire ces livres, les bibliothèques ont donc décidé de créer une unité d'élite afin de protéger les lecteurs de ces rafles. Etant plus jeune, Iku Kasahara a vécu une de ces rafles et a été "sauvé" par un des membres de cette unité. Depuis elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour retrouver son prince charmant, quitte à vouloir rentrer dans cette unité spéciale !


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Sujet innovateur et méconnu que l'univers des bibliothèques...
Heureusement, que c'est une fiction... En tout cas, on retrouve tous les ingrédients du shojo : romanesque, humour, scénario, et dessins soignés.

Bibliothécaire et guerrière : un shojo de science-fiction prometteur

Iku, une jeune femme athlétique et passionnée, intègre le Corps des Bibliothécaires. Dans un monde où les livres sont traqués par les ASA, ces soldats dévoués protègent la connaissance et l'espoir.

Dotée d'un caractère bien trempé et d'un humour malicieux, Iku découvre l'identité de son "prince charmant", une figure adulée depuis l'enfance. Tous les ingrédients d'un bon shojo sont réunis pour une aventure palpitante dans une atmosphère guerrière.

L'adaptation du roman d'Hiro Arikawa est réussie. le dessin, typique du genre shojo, est mignon et expressif. le personnage masculin, ambivalent et attachant, contraste avec l'héroïne, touchante par sa maladresse.

Ce premier tome pose les bases d'une série prometteuse. L'intrigue captivante et les personnages charismatiques donnent envie de poursuivre la découverte de cet univers fascinant.

Adapté d'une série de romans de Hiro Arikawa qui a connu un vrai succès au pays du soleil levant, Library Wars est un manga dont le thème avait attiré mon attention il y a de cela un bon moment. Publié en français chez Glenat, je me suis récemment laissée tenter par la lecture des premiers tomes et je dois dire que je n'ai pas été déçue !

Kiiro Yumi nous entraîne dans un futur alternatif où la liberté d'expression est devenue un notion fragile pour laquelle il faut se battre. En effet, le gouvernement japonais a émis une loi d'amélioration des médias qui donne le plein pouvoir à un comité de censure officiel pouvant contrôler, retirer ou même interdire n'importe quel ouvrage jugé beaucoup trop dangereux pour l'équilibre du système et de la société. Révoltés par cette prohibition de publication, les bibliothécaires se rassemblent et forment une unité paramilitaire visant à protéger les livres et leurs lecteurs. Nous retrouvant donc Iku Kasahara, une jeune fille qui s'apprête à acheter le dernier tome de sa série préférée. Mais, juste avant de se faire arrêtée par les agents du comité, un mystérieux sauveur vient à sa rescousse. C'est alors qu'Iku décide elle aussi d'intégrer le corps des Bibliothécaires, une conviction toutefois motivée par l'espoir secret de retrouver son preux chevalier.

Malgré ce que peut laisser croire son synopsis, Library wars est bien catalogué dans la case shojo. Plus que les intrigues politiques et les scènes d'action, c'est avant tout la romance qui semble mise en avant. Je dois dire que ce premier tome ne va pas encore en profondeur pour ce qui est du scénario d'anticipation mais il donne quelques bribes d'explications concernant le vote de cette loi d'amélioration des médias ainsi que la création du corps des Bibliothécaires. L'idée d'un monde opprimé par la censure n'est pas nouvelle et si l'on peut y voir une critique des gouvernements autoritaires, Library Wars fait aussi écho aux grands classiques de la littérature SF. On peut évidemment penser au 1984 de George Orwell ou encore à Fahrenheit 451 de Ray Bradbury. Nous suivons par ailleurs, la formation d'Iku au sein de cette organisation ce qui nous en apprend un peu plus sur sa mission et l'organisation de sa hiérarchie. Je m'attends en tout cas à ce que les prochains tomes soient plus approfondis. Ce qui m'a plu également c'est le fait qu'on se retrouve directement plongés dans l'intrigue, ne laissant aucune place au temps mort. La narration est très rythmée et l'humour présent apporte une bonne dose de légèreté à l'ensemble. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. Visuellement parlant, le trait graphique de la mangaka est agréable et soigné. Les dessins sont assez fins et présentent des personnages expressifs. On notera tout de même un coup de crayon parfois plus marqué déviant un peu d'un style typé shojo.

Dès la première page, nous faisons la connaissance d'Iku, un personnage au caractère bien trempé. Loin des héroïnes naïves et gnangnan que l'ont peut retrouver dans ce genre de mangas, Iku est assez garçon manqué avec une personnalité explosive et franche. Bien que son côté maladroit et sa tendance à foncer sans réfléchir entraînent quelques catastrophes sur son passage, on ne peut que saluer sa détermination sans faille qui la rend d'autant plus attachante. D'un autre côté il y a Dojo, l'autre personnage principal de ce premier tome et accessoirement l'instructeur d'Iku. Il peut paraître austère et sévère de prime abord mais il se révèle plus nuancé par la suite, révélant un homme sur lequel on peut compter. Sa relation avec Iku est surtout faite de prises de bec et autres piques cinglantes mais je n'ai aucun doute quant à l'évolution favorable de leurs rapports. Pour ce qui est des autres personnages, ils semblent assez discrets pour le moment mais ils devraient prendre davantage d'importance dans les prochaines tomes.

En bref, Library Wars est un titre original où se mélange action, politique, humour et amour. Ce premier opus s'est révélé très agréable à lire avec un univers riche mais tout en restant léger et divertissant. Il pose efficacement les bases d'une intrigue qui ne demande qu'à être plus exploitée par la suite.
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Imaginer un tel monde me fait mal au coeur, surtout avec le métier de relieur que je veux exercer. Iku est un peu une super femme. Elle est spontanée, attachante, totalement amoureuse des livres et très bonne aux combats. L'oubli du visage de son sauveur m'a semblé un peu convenu. le lecteur se doute rapidement de son identité, alors qu'Iku ne voit rien. C'est un manga originel et prometteur. Donc à suivre…

Dans une société où des brigades interviennent pour censurer les livres au profit d'autres médias, une police des bibliothèques a été créée chargée de défendre le patrimoine écrit et les ouvrages au moins en ce qui concerne les établissements de prêt. La jeune héroïne se destine à intégrer ce corps de métier en souvenir d'un « prince charmant » qui a sauvé pour elle un ouvrage qu'elle voulait acheter en librairie et que la brigade voulait détruire comme « déviant ».
Elle en bave à l'entraînement où le lieutenant ne lui passe rien... Mais pourquoi lui porte-t-il autant d'intérêt ?
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