Laurent Kropst, élève de mathématiques spéciales à Louis-le-Grand, prépare les plus grands concours scientifiques, dont Polytechnique et les ENS, tout en tombant amoureux d'une charmante touriste polonaise dans les Jardins de Luxembourg ; il passe par de grands moment de doute – ce qu'il voudrait, c'est avoir le don lui permettant comme à certains de ses condisciples de voir la solution des exercices par une sorte d'intuition géniale au lieu d'être obligé de « bougner » (trimer comme un tâcheron) – mais c'est peut-être sa ruse et son don pour la comédie qui va l'aider à s'en sortir. ● J'avais beaucoup aimé
le Théorème de Kropst (2012), qui racontait de façon très subtile les débuts de Laurent en maths sup à Louis-le-Grand, mais moins
Topologie de l'amour (2014). Malheureusement, je n'ai pas retrouvé dans
Comment on devient bon en maths les fulgurances du premier volet des aventures de Kropst. C'est un peu une redite en moins bien de ce premier tome (tous les tomes peuvent se lire indépendamment). Si j'ai beaucoup aimé le dernier quart où l'élève se transforme en candidat et passe les concours, ceux-ci étant racontés avec beaucoup d'humour, ce qui précède m'a déçu.
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