![]() | rkhettaoui 04 avril 2017
Sous prétexte de s’intéresser à son travail d’étudiante, Umberto venait se pencher sur son épaule, s’appuyait contre elle, essayait de frotter son bas-ventre contre n’importe quelle partie d’elle-même. Contre ses reins, son dos, son bras et elle avait l’impression que c’était un de ces chiens vicieux qui essayait de se masturber contre elle. À chaque étape de son enquête elle se heurtait forcément à ce genre d’hommes, même parmi les intellectuels qui paraissaient les plus absorbés par leurs recherches. Tous ces hommes sentaient qu’elle avait besoin d’eux et essayaient de monnayer leur savoir pour obtenir d’elle une compensation sexuelle. Umberto était peut-être le plus visqueux mais les autres lui paraissaient encore plus hypocrites. + Lire la suite |