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Critique de Diabolau


Nous voilà donc en la bonne ville d'Angoulême, à la cour des comtes de Lusignan, pour une petite intrigue urbaine. La saga nous a habitués par le passé à bien maîtriser ce type de scénario, aussi nous partons plein d'espoir que le niveau se rehausse par rapport au médiocre tome précédent, et en effet c'est le cas.
Sigwald, le jeune écuyer et héritier de Crozenc, nouveau centre d'attention de la saga, va donner toute l'ampleur de son tempérament, où l'on voit qu'il est bien sans conteste le fils de sa mère... et le fils de son père.
Bien entendu, par ses excès, il va se mettre dans de beaux draps, et risque fort d'être victime de la résurgence pieuse du roi Louis IX qui a sérieusement durci le ton religieux depuis son retour de la septième croisade (ce qui est historiquement tout à fait authentique).
Mais, on le sentait venir, Hughes n'était pas mort comme tout le monde le croyait, et il veillait secrètement au grain pour éviter un funeste sort à sa progéniture.
Par contre, je l'ai déjà dit il y a quelques tomes, le coup de la sorcellerie est assez moyen dans une saga au parti pris aussi réaliste, surtout que là elle est utilisée de manière radicale et spectaculaire. Monsieur Arnoux, par pitié, je vous demande de vous arrêter. Si je vois des boules de feu jaillir des mains de vos personnages, vous me perdrez définitivement.
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