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EAN : 9782213705392
688 pages
Fayard (17/04/2019)
4.18/5   69 notes
Résumé :
Dans l’Unidad Modelo, quartier trépidant du Mexico des années 1960, la violence est une affaire de la vie quotidienne. Pour Juan Guillermo, elle est
une présence obsédante, qui l’a privé de ce qu’il avait de plus précieux : son frère aîné, Carlos, aussi habile trafiquant que fervent lecteur, assassiné par les « bons garçons », une bande de religieux fanatiques protégés par les hommes du très corruptible commandant de police Zurita. Anéantis par le chagrin, se... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Un jeune garçon dans la jungle d' un quartier populaire de Mexico. Guerre des gangs, trafiques et corruption. A dix-sept ans, Il est l' unique survivant de sa famille. Marqué par la mort violente de son frère aîné adoré ,Juan Guillermo ne pense qu'à se venger, une quête sauvage et impossible. " Si tu cherches la vengeance creuse deux tombes", cette citation de Confucius chuchotée à son oreille par Chelo sa douce fiancée font vaciller ses certitudes. Mais où trouver la paix, comment survivre à de telles épreuves??
Comme un miroir à la tragédie vécue par Juan Guillermo, nous suivons les traces d' Amaruk, un trappeur Inuit lancé à la poursuite d' un grand loup gris au milieu des forêts enneigées du grand Nord Canadien. Comment ses deux récits si éloignés vont-ils se fondre?
De la grande métropole mexicaine aux étendues glacées du Yukon, le sauvage qui sommeille en chacun de nous est toujours prêt à se réveiller.
Saga familiale, vendetta mexicaine, récit d' apprentissage, roman historique et épique, conte philosophique, histoire d' amour d' un romantisme absolu et légende indienne du grand Nord, mais aussi, apartés socratiques, littéraires, légendaires et même musicales. Guillermo Arriaga embrasse une époque, la fin des années soixante, et le continent américain pour nous offrir un roman éblouissant au souffle rare.
Sept cents pages qui se lisent d' une traite. Cet été sur la plage , offrez vous cet énorme pavé.


Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Guillermo Arriaga semblait avoir tiré un trait sur sa carrière de romancier depuis la parution de le bison de la nuit (1999 au Mexique, 2005 en France), tout aussi bon, sinon meilleur que ses deux premiers livres. Depuis près de 20 ans, hormis pour un recueil de nouvelles, le mexicain s'était consacré pleinement au cinéma en tant que producteur, scénariste (21 grammes, Babel, Trois enterrements) et réalisateur (Loin de la terre brûlée). L'annonce de son retour en littérature a donc été une bonne nouvelle et la lecture de le sauvage rien de moins qu'une déflagration, tant ce roman fleuve possède une puissance hors normes, tout en charriant une multitude d'alluvions, inévitables dans un livre aussi touffu, chargé et flamboyant. le sauvage est le livre de la violence mexicaine, nourrie à la corruption des politiques et de la police, bénie par les autorités religieuses. Dès la deuxième page, la messe est dite, si l'on ose dire, le narrateur, Juan Guillermo, annonçant froidement que l'ensemble de sa famille, parents, frère, grand-mère et même chien et perruches allaient mourir dans un laps de temps de 4 ans. Dès lors, Guillermo Arriaga va nous raconter l'histoire de ces disparitions en passant sans cesse d'une temporalité à une autre, comme des vagues successives arrivant sur la plage des souvenirs, au risque de perdre son lecteur. Il y a malgré tout une ligne narrative forte, qui est celle de l'assassinat du frère de Guillermo, pour lequel ce dernier se sent coupable et a surtout décidé de se venger. Mais en parallèle, un autre récit se développe et prend de l'ampleur : celui de la traque d'un loup par un trappeur, au nord du Canada. A cela s'ajoutent des coquetteries typographiques sur certaines pages, de courts chapitres consacrés à Newton, von Clausewitz, Socrate ou Jimi Hendrix, l'évocation d'un certain nombre de curiosités historiques ou ethnologiques, sans oublier l'établissement de listes plus ou moins en rapport avec les thématiques du livre. Il y a bien parfois une impression de trop plein et de luxuriance, avec une multitude de digressions, et le roman n'aurait sans doute pas été moins efficace en étant raccourci mais l'intensité et la force du style d'Arriaga finissent par annihiler toute résistance. Il y a dans le sauvage des scènes d'une incroyable magnitude (9 sur l'échelle de Richter), notamment celles qui opposent Juan Guillermo à un loup qui n'a connu que la captivité mais qui n'a jamais renoncé à une férocité atavique. C'est bien là que se situe l'acmé du livre : L'homme est un loup pour l'homme et l'apaisement ne viendra qu'en toute fin de roman quand les aliénations morales et physiques auront disparu. Il y a sans doute dans le sauvage de quoi écrire 3 à 4 romans distincts. le livre n'est pas captivant à tous les instants mais quand il l'est, ce qui est assez fréquent, c'est avec une vigueur et une splendeur que l'on retrouve rarement dans la littérature contemporaine. On en sort lessivé et tout surpris d'être indemne.
Lien : https://cin-phile-m-----tait..
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Années 60, Unidad Modelo, quartier populaire de Mexico.
Juan Guillermo Valdes y est notre guide. Et à l'image du labyrinthe que constituent les ruelles de ce territoire que ses enfants parcourent en passant de toit-terrasses en toits-terrasses, la visite qu'il en propose se prête aux rebroussements, aux errements, aux traversées clandestines.

Le contexte est exposé d'emblée, marqué par la mort et une inextinguible soif de vengeance. Juan Guillermo est hanté des pertes successives qui ont ponctué sa vie. Et cela a commencé très tôt, avec la mort de son frère jumeau dans l'utérus maternel ; il en a hérité un sentiment d'abandon et le besoin de combler un vide émotionnel qui l'a précocement amené à convoiter les filles, désirant ardemment leur proximité, leur regard, leur nudité… puis il y a eu la mort de son grand frère Carlos, assassiné avec le soutien de l'église et de la police par des chrétiens fanatiques, celle de ses parents, dans un accident faisant opportunément suite eu décès de leur fils aîné, de sa grand-mère… entre autres.

Juan Guillermo n'a plus qu'une obsession : venger Carlos. Et pendant qu'il rumine et organise les conditions de cette vengeance, un incessant va-et-vient entre présent et passé explicite les événements à l'origine de cette situation, en même temps qu'il nous replonge dans l'enfance et la jeunesse du héros.

Pour lui, les dés semblaient jetés. Que peut devenir un gamin né dans quartier où l'état de droit n'a pas cours, où règnent la corruption et la cruauté diabolique d'une police entretenant des accointances avec les criminels qu'elle est censée punir ? Dont le frère aîné s'adonne à divers trafics illégaux, auxquels il le fait, à l'occasion, participer ? Mais même dans cet univers écrasé par le poids du déterminisme social et de l'iniquité institutionnalisée, tout n'est pas si simple… Elevés par des parents cultivés, convaincus que l'enseignement est la meilleure façon de changer le monde, Juan Guillermo et Carlos ont grandi dans un foyer peuplé de livres, fréquentant Aristote, Kafka, Faulkner, Juan Rulfo, Stendhal, Zola

Et c'est cette complexité du personnage principal qui fait en grande partie la richesse de ce roman, en lui conférant une tonalité singulière, osmose de rage et poésie, de gouaille, de crudité et de digressions philosophiques.

Le contexte se prête par ailleurs aux rebondissements, épisodes cocasses mais aussi tragiques qui ponctuent le récit de moments marquants, parmi lesquels l'apprivoisement par Juan Guillermo d'un incontrôlable et féroce chien-loup qu'il a sauvé de l'euthanasie ; le scandale provoqué par son initiation sexuelle précoce avec une camarade d'école primaire joyeusement consentante ; les déboires que valent à la famille Valdes la traque de Carlos par l'ignoble policier Zurita ; les atrocités commises par la clandestine milice des Bons Garçons, extrémistes chrétiens dirigés par le fanatique Humberto, qui voue à sa dépravée de mère une haine confinant à la démence… Autant d'occasions pour Juan Guillermo d'exprimer son impulsivité et sa dureté, mais aussi sa détresse et son besoin éperdu d'amour, qu'il trouve en la personne de Chelo, jeune fille elle aussi cabossée, avec laquelle il entretient une relation aussi passionnée que compliquée.

Son histoire laisse par intermittences la place à celle d'Amaruq, métis inuit que nous accompagnons dans sa traque solitaire et interminable d'un loup, qu'il a surnommé Nujuaqtutuq –"le Sauvage"- au coeur des immensités glacées des forêts du Yukon.

Il faudra de la patience pour relier les deux pans a priori complètement décorrélés de l'intrigue. Tout autant qu'en requiert la manière dont le narrateur reconstitue, avec minutie et apparente anarchie, le puzzle de son récit. Mais peu importe. Si le rythme du roman peut sembler par moments inégal, les épisodes d'une tension extrême succédant à des périodes de morne marasme, je ne me suis jamais ennuyée en compagnie de Juan Guillermo, portée par sa spontanéité, sa combativité, et ce curieux mélange d'humour et de désespoir qui le rend aussi drôle que bouleversant.

Et puis Guillermo Arriaga livre, dans ce récit où celle du monde animal et celle de la société des hommes se répondent, un bel hommage à la sauvagerie comme expression d'une liberté et d'une force qui permettent de survivre, d'un élan naturel et sans concession à tout ce qui nous bride et tente de nous anéantir.

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Je crois que c'est la première fois que je lis un auteur mexicain. Pour une première, c'est une réussite, et une sacrée belle découverte. Ce mélange de temps, d'histoire, et l'imagination étaient beaucoup trop bien maniés pour ne pas l'apprécier, malgré le fait que ça soit un gros pavé.

Nous allons donc suivre l'histoire d'un loup chassé et capturé à travers les étendues blanches et forestières du Canada, et de celle de Guillermo Juan et de sa famille au Mexique. L'histoire prépondérante est la dernière, l'histoire triste de Guillermo. Histoire triste certes, mais pas dénuée pour autant de questionnement, d'évènement, de passion, de haine, de rebondissement, de force et de courage, qui va permettre d'aborder tout un tas de sujet, dont trois principalement.

Tout d'abord la corruption. Beaucoup de corruption. Mais la corruption meurtrière, celle qui tue avant de punir par la prison. Et pour avoir refusé de verser une part de ses butins au chef de la police, c'est ce qui perdra Carlos, le frère de Guillermo.
Qui dit corruption, dit aussi collusion entre gang et pouvoir. Se battre contre l'un c'est se battre contre l'autre, c'est aussi redessiner des règles. Ce qui n'inquiète pas Guillermo qui veut venger ses morts, mais qui va cependant réveiller tout un système plus grand que lui et qui ne plaisantera pas, et cherchera vraiment à l'éliminer. N'est sauvage pas que le loup…
Enfin, ces pages c'est aussi l'occasion d'aborder la religion. La manière dont-elle est utilisée, la manière dont on peut la voir. La manière dont-elle peut se faire menaçante par l'idéologie ou par les groupes. C'est aussi aborder le fond, souvent ridicule, de fait le dieu Serpent à plume (Quetzalcoatl) n'est pas plus ridicule que le reste.

Mais ce livre, ce n'est pas qu'un combat avec les mains ou idéologique, ce n'est pas non plus que des combats d'intérêt financier ou contre la pourriture, même si cette dernière peut avoir des apparences angéliques. C'est aussi des questionnements, des errances. Qui suis-je ? Dois-je préférer la justice à la vengeance ? Dois-je me transformer en assassin pour venger les assassins de mon frère ? Que me reste-t-il à part mes morts ?
C'est aussi en outre, un combat contre soi-même. Guillermo va vraiment s'interroger sur l'enrôlement qu'il a subit parce que son frère lui a demandé. Il va se questionner ainsi sur les actes qu'il a pu commettre et leurs conséquences. Je vous laisse imaginer dans quel état ça va le mettre. Et quand je parle de combat contre soi-même, c'est aussi admettre que les morts sont parfois sombres et loin de l'image merveilleuse qu'on avait pu en tirer.

Ce livre c'est tout ça, mais c'est aussi une histoire, enfin deux histoires qui finiront par se rejoindre. C'est donc celle de Guillermo, son enfance, sa procréation, son adolescence et l'adulte, mais aussi celle du loup qui raisonne en écho avec Croc-Blanc et Moby Dick. Et pour cette dernière, et après un début un peu houleux - car on se demande vraiment où l'on va -, elle deviendra tout aussi passionnante que celle de Guillermo. On va y découvrir d'autres histoires tragiques (qui permettront de faire une pause dans l'histoire de Guillermo), mais très intéressantes qui vont mettre à jour d'autres paysages, d'autres histoires, d'autres personnalités, d'autres sauvages.

Juste un petit bémol, certains passages longs et pas intéressants, ceux qui parlent de sexe. Ils n’apportent rien à l'histoire, ou très très peu.

En résumé, c'est un livre long, très difficile à chroniquer tellement il est riche en situation et question, mais c'est un livre à lire. le mélange des histoires, les analepses et les prolepses, l'écriture, les personnages, les situations, ne peuvent en effet que plaire. C'est vraiment trop bien manié, trop bien raconté, trop riche, pour ne pas aimer. Et ça serait dommage de passer à côté.
Lien : http://voyagelivresque.canal..
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« L'homme est un loup pour l'homme » voilà une citation qui pourrait servir d'épigraphe à ce roman impressionnant . D'abord ,par son envergure (950 p en poche) , puis par l'entreprise elle-même :deux arcs narratifs entrelacés , l‘un à Mexico dans les années 60 et l'autre dans le Yukon . Rouge sang d'un Mexique ultra violent ravagé par la drogue , la corruption et les gangs , blanc immaculé des solitudes enneigés ; guerre de l'homme contre l'homme , lutte de l'homme contre les forces naturelles ; le jeune Juan Guillermo , rongé par les deuils, la haine ,la jalousie ; Amaruq ,le chasseur inuit lancé à la poursuite de sa baleine blanche , Nujuaqtutuq le grand loup . Une quête spirituelle , une descente aux enfers . Comme chez Dante , Juan Guillermo au terme de sa course à la mort , de sa rencontre avec le mal ,trouvera-t-il le chemin de la paix de l'âme ?
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critiques presse (2)
LeFigaro
22 mai 2019
Cinéaste et écrivain, il publie son dernier roman-fleuve, Le Sauvage, une histoire de vengeance enragée jusqu’à la rédemption finale.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeMonde
20 mai 2019
Deux jeunes hommes que ronge leur colère cherchent la paix, l’un à Mexico et l’autre dans le Grand Nord canadien. Un roman flamboyant du romancier, scénariste et cinéaste mexicain.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
"Je serais le Sauvage. On ne m' arrêtera pas. Si je dois me venger, je me vengerai. Si je dois pardonner, je pardonnerai. Si je je dois aimer, j' aimerai. Si je dois renoncer, je renoncerai. Si je dois me battre, je me battrai. Il est dit que c' est la vie et non la mort qui guidera mes décisions. Je donnerai ma vie pour la vie, toujours pour la vie."
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La nuit, il l’entendit hurler. Des hurlements profonds, prolongés, puis le silence. Un tel silence inquiéta Amaruq. Il chaussa ses bottes et ouvrit la porte de sa tente. Il prit une torche et l’alluma dans le feu. Il marcha en direction de Nujuaqtutuq pour vérifier s’il était toujours là. Les bourrasques de neige l’aveuglaient, il avançait à tâtons en balayant la nuit de sa torche jusqu’à ce qu’il tombe sur le loup couché au pied du tronc. Amaruq se rendit compte qu’il s’était trop approché et essaya de reculer, mais la neige le freinait. Nujuaqtutuq se leva et l’attaqua. L’homme réussit à lui donner un coup de torche en pleine gueule. Hébété par le feu, le loup tomba sur la neige avant d’essayer de l’assaillir encore, mais la chaîne le retint.
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Bien sûr que les morts nous parlent. J’entends susurrer les miens nuit après nuit. Leurs murmures ricochent sur les murs. Ils m’empêchent de dormir. Mes morts se blottissent dans leurs tombes inondées. Mes parents, ma grand-mère et mes frères trempés, l’eau dégoulinant sur leurs cercueils. Comment font les morts pour sécher sous terre ? Restent-ils mouillés, se transforment-ils en boue ? Se secouent-ils comme des chiens qui émergent d’une flaque d’eau ? Allons, Rulfo, Faulkner, Shakespeare. Venez ici avec moi. apprenez-moi quelque chose, n’importe quoi pourvu que cela m’aide à traverser ces heures éreintantes et suffocantes.
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Viens mettre le holà,Jésus,une secte d'assassins prétend défendre ton nom ,ils le brandissent comme un étendard de mort et de désolation , le triturent, l'éclaboussent de sang ou alors est-ce toi qui a dicté ces sentences de mort après avoir prêché l'amour et la solidarité?
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Depuis la mort de Carlos, on fait tout lentement, chez nous. Comme si la mort avait retardé de dix-sept secondes les horloges internes des membres de notre famille. La mienne retarde aussi. Je mets du temps à répondre aux questions, à me réveiller, à avaler, à boire, à uriner, à réfléchir. Dix-sept secondes de décalage par rapport à la cadence du reste du monde.
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Vidéo de Guillermo Arriaga
"5 secondes ? C'est comme faire l'amour dans les toilettes d'un avion ! On n'a pas le temps !"
Guillermo Arriaga présente, avec Leoffdesauteurs, son nouveau roman "Le Sauvage". Un roman puissant, féroce et lumineux écrit par l'auteur des scénarios d' "Amours chiennes", "Babel", "21 grammes" ou encore "Trois enterrements".
" Son éclat est son exploit. Il réussit à parler de l'amour au c?ur de la haine et de la vie au c?ur de la mort." Marie-Laure Delorme, JDD.
-- México, 1960. le jeune Juan Guillermo, qui a vu sa famille décimée en quelques années et son frère assassiné par un gang de religieux fanatiques, jure de venger la mort de ce dernier. Un récit intense et singulier, dans la lignée d?Herman Melville, Jack London et Faulkner, signé par un des plus grands écrivains contemporain de langue espagnole. --
Le livre : https://bit.ly/2Uny8WI
+ Lire la suite
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