AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Alfaric


Ce tome 6 est un tome de transition avec 3 histoires courtes :
- Lag doit retrouver pour l'aristocrate handicapée Rei Uttley la personne qui lui envoie des dessins réalisés avec un bleu ne pouvant provenir que de son village natal… Sortez vos mouchoirs, car remember "Candy", "Rémi sans famille", "Princesse Sarah" et cie…
- Lag doit échapper à un gardien de phare spectral voyant en lui le petit-fils qu'il a perdu… C'est triste, c'est beau et cela emprunte très joliment aux classiques de la littérature gothique donc chapeau l'artiste qui file brillamment le thème de la mémoire perdue et de l'entrelacement entre rêve et réalité !
- Sylvette doit envoyer une poupée à une petite fille qui risque comme elle de perdre son grand frère, et face à Autobahn le brigand solitaire elle se transforme en panthère en fauteuil roulant ^^
Le fil rouge reste que Lag cherche à écrire la lettre qui transformée en balle-coeur pourrait rendre sa mémoire à son mentor Gauche Suede et dans le dernier chapitre il est envoyé à Blue Notes Blues où il retrouve la piste de son héros disparu… L'affrontement entre le maître, Gauche Suede devenu Noir et ses « Gymnopédies », et l'élève, Lag Seeing et ses « Nocturnes », semble désormais inévitable !

Au-delà du magnifique manga impressionniste faisant comme tous les shojo la part belle aux sentiments, mention spéciale à Jiggy Pepper et sa moto arcanepunk dont le carburant est la rebelle attitude de son conducteur ! (je n'ai pas pu m'empêcher de penser à ce moine alien de la série culte Babylon V fasciné par cette divinité terrienne de liberté et de la virilité dénommé « Harley Davidson » ^^)
Commenter  J’apprécie          210



Ont apprécié cette critique (16)voir plus




{* *}