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4,19

sur 1973 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Cet Asimov quand même ! Avec quelques livres il a réussi à faire de moi une véritable fan.
Il faut dire que même s'il me reste deux livres à lire pour clore son cycle de Fondation, pour l'instant je suis complétement accro.
Je me suis lancée dans la lecture (si l'on peut dire car, je ne sais pas si ce terme est le plus approprié, car c'est sous la forme audio que je découvre ce cycle) de « Terre et Fondation » avec pas mal de fébrilité, car j'avais beaucoup aimé le tome précédent : « Fondation foudroyée ».
Ce livre aurait aussi pu s'intituler « A la recherche de la Terre perdue », car cela va être clairement la thématique de cette histoire.
Nous retrouvons des personnages qui avaient déjà été présents dans l'épisode précédent : Golan Trévize , Janov Pérolat et Joie . Ils vont avancer dans leur quête et découvrir d'autres mondes, d'autres peuples, d'autres coutumes, tout en continuant à se demander si la Terre existe réellement ou si elle n'est pas juste un mythe.
Je ne peux que saluer l'imagination d'Asimov qui a cré des mondes très structurés et très crédibles…
J'ai beaucoup aimé la fin de cette histoire, quand le cycle de Fondation croise réellement celui des Robots grâce à la rencontre de nos trois héros avec …
Bon, vais enchainer très vite avec « Prélude à Fondation » et retrouver Hari Seldon.

Challenge Mauvais Genres 2022
Challenge Pavés 2022
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Rien ne vaut une bonne quête, la recherche des origines. C'est ce que propose le cinquième et dernier tome du cycle de Fondation. Dans le livre précédent, la « lutte » entre les deux Fondations, chargées d'assurer éventuellement le rétablissement de l'empire galactique (soit par des avancées technologiques ou par le développement des habiletés psychiques) s'est terminée par une troisième voie : la Galaxia, une harmonie entre les individus, leurs planètes et toutes les formes de vie qui s'y trouvent. Mais cela ne fait pas le bonheur de tous. Dans tous les cas, Trevize reste préoccupé par une autre idée fixe : « Je dois retrouver la Terre. » (p. 20). Cette planète est à l'origine de tous les êtres humains de la galaxie (je rappelle que le cycle se déroule approximativement vingt mille ans dans le futur). Tout le monde, sur toutes les planètes, semblent en avoir perdu la trace et les archives sont morcelées, incomplètes – quand elles n'ont été supprimées tout simplement. Ainsi, avec son collègue Pelorat et la nouvelle compagne de celui-ci, Joie, ils se lancent à la recherche de la Terre. Cette quête des origines, ce voyage, constituera l'essentiel de ce cinquième tome et les mènera d'un monde à l'autre (Comporellon, Aurora, Solaria, Melpomenia, Alpha, etc.).

Comme dans mes critiques des tomes précédents, l'écriture d'Isaac Asimov est plutôt ordinaire. Si j'ai adhéré rapidement à l'intrigue qu'il proposait, j'ai été refroidi par la lenteur avec laquelle elle se déroule. En effet, si la mission est donnée rapidement, il faut attendre 126 pages (sur 674) pour que les explorateurs descendent sur la première planète. Et là encore, l'action ne s'enclenche pas rapidement. D'autant plus qu'elle est constamment retenue par des dialogues à n'en plus finir. Je pense entre autres à ces séquences interminables avec la ministre des transports de Comporellon. En fait, presque tout ce qui concerne cette planète est superflu ou, du moins, trop long. C'est normal que des protagonistes rencontrent des difficultés. Mais, dans une bonne histoire, ces obstacles trouvent éventuellement leur utilité, ne serait-ce que pour amener un des personnages à découvrir quelque chose sur lui-même. Eh bien, quelques uns des arrêts sur les différentes planètes me semblent ne servir que peu l'intrigue. Un mince indice sur la prochaine destination est justifié mais cela peut se faire de manière succincte. Par exemple, sur l'une d'elles, ils s'éternisent 150 pages pour, au final, sauver un enfant dont l'utilité est contestable.

Ceci dit, beaucoup des dialogues sont importants pour clarifier des éléments de l'intrigue et, surtout, pour expliquer des concepts scientifiques complexes. En ce sens, je salue le travail de vulgarisation d'Asimov. Comme dit l'expression : rendre à César ce qui est à César. Une des grandes forces de l'auteur, c'est de rendre claires, accessibles des choses qui ne le sont pas. Et je ne fais pas seulement référence à la psychohistoire. Plusieurs concepts astronomiques, géologiques, mêmes historiques. D'autres dialogues également ne sont pas sans intérêt. Par exemple, les échanges entre les deux explorateurs et Joie. La femme provient de la planète Gaïa dont l'organisation sociale est unique. C'est un peu un choc culturel entre eux. J'ai aussi beaucoup apprécié les échanges entre les hommes sur les types de planètes, les conséquences de la radiation, la terraformation, l'évolution des sociétés, leur histoire, etc. Mais c'est personnel, ce genre de trucs m'intéressent.

J'ai bien aimé la fin, elle me semblait appropriée. Les protagonistes trouveront-ils la Terre? Où est-elle? Dans quel état? Qu'y trouveront-ils? Pourquoi est-elle cachée? À vous de lire. Seulement, après sept tomes (eh oui, j'ai lu les préquels en premier), après avoir cru et m'être investi (en temps) dans la Fondation, je suis un peu déçu que l'émergence du Second empire galactique ait été abandonnée. Mais bon, c'est assurément mieux ainsi. Il faut dire que les deux derniers tomes ont été écrits tardivement, plusieurs années après la trilogie originale, alors l'auteur était rendu ailleurs dans ses réflexions, ses préoccupations.
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Et voilà, c'est la fin du cycle de Fondation ! Encore une fois, c'est vraiment l'un de mes grands moments de littérature et je suis ravi d'avoir lu et relu ces quelques livres. Je les dégusterai très certainement de nouveau à l'avenir.


Trevize et ses compagnons, après avoir découvert Gaïa, partent à l'assaut d'une autre question et vont bien évidemment rencontrer de nouvelles barrières... bien que Trevize ait décidé quelle voie devrait suivre l'univers, il est hanté par la portée écrasante de son choix et son incapacité à formuler les raisons de sa certitude quant à son bien-fondé, d'autant qu'il est profondément agacé du fonctionnement et de la vision de l'existence "gaïenne".


Quelle sera donc la réponse à l'intuition de Trevize ? Quel personnage bien connu des lecteurs et lectrices assidu(e)s fera de nouveau son apparition lors de cet ultime tome ? Quel final, quelle interrogation finale, pour une oeuvre aussi accomplie ? Je vous laisse le découvrir par vous-même, vous ne le regretterez pas !
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Face à cet ultime tome de Fondation, je me suis sentie obligée de laisser un peu poser tout ça. Je gardais un souvenir émerveillée de cette série après l'avoir découverte ado. C'était l'une de mes toutes premières fresques de SF. J'en ressors plus mitigée maintenant que je suis adulte et que j'ai lu d'autres titres.

Ce dernier chapitre de l'histoire écrit par Asimov, qui a été poussé par son éditeur pour reprendre la série, n'est pas exempt de défaut mais invite également tellement à plonger dans l'univers de la science-fiction que je ne peux qu'être indulgente avec lui.

Depuis le tome précédent, l'auteur a oublié la psychohistoire, idée à la base de cette saga pourtant, pour partir dans une quête des origines. Chose pas déplaisante mais hors propos selon moi... Cependant, il faut reconnaitre que ce nouveau tournant de l'intrigue permet à l'auteur d'aborder tout un tas de thématiques chères au genre grâce au voyage interstellaire de son héros. Alors même si je suis frustrée de voir le concept phare de la saga, celui qui m'avait tant émerveillé, complètement oublié, je suis quand même contente de ce que j'ai pu voir.

Trevize, Pelorat et Joie parcourent la Galaxie à la recherche d'indices pour trouver la Terre des origines et ainsi peut-être conforter le choix que le premier vient de faire en préférant Gaia comme modèle plutôt que la Première ou Seconde Fondation. Leur voyage est rythmé par de nombreuses rencontres, des rencontres de planètes et de sociétés très différentes les unes des autres où l'auteur se fait plaisir à jouer avec les concepts de la SF.

On découvre ainsi une planète peuplée de chiens sauvages qui ont évolué depuis que les hommes les a laissés là. Une autre planète, elle, a poussé le contrôle de la natalité à son extrême avec des êtres hermaphrodites qui se reproduisent seuls et éliminent les excédents, le tout aidés par des robots car ils vivent seuls presque en autarcie. L'auteur joue avec les concepts de genre, des idées sur la natalité, l'utilisation et le rôle des robots, etc. Il fait ainsi peu à peu le lien entre cette saga et l'autre qu'il a écrire sur les Robots, rediscutant notamment longuement des Trois lois fondamentales de la robotique.

J'ai ainsi eu l'impression d'un amas d'idées non développées que l'auteur s'amuse à lancer et à tester pour peut-être les développer ailleurs plus tard ou proposer à d'autres de le faire. C'est jouissif mais frustrant à la fois car ça laisse cruellement sur sa faim.

Heureusement, entre temps on s'est attaché aux personnages qui désormais représentent cette investigation et c'est au final peut-être plus pour eux et pour leur quête qu'on parachève cette saga. En effet, c'est assez plaisant de voir comment ils recoupent tous leurs indices, comment ils naviguent vers la Terre d'origine grâce à eux, et comment ils finissent quand même par se faire piéger comme nous, ce qui est un peu le propre de l'auteur. Alors que la caution scientifique de l'oeuvre est très légère, il y a du génie dans la mise en scène d'Asimov, qui a l'art des coups de chapeau assénés comme des coups de théâtre, littéralement parlant. On aime ou pas cette mise en scène très théâtrale mais elle marque.

Pour ma part, je clos cette relecture en étant quand même mi-figue mi-raisin. Je n'ai pas été autant emportée et fascinée que je l'espérais. Je n'ai pas eu le coup de coeur intersidéral que j'avais eu lors de ma relecture d'Hypérion, qui elle avait tenu toutes ses promesses. Ici, j'ai peiné à retrouver mon engouement pour le concept original car j'ai trouvé celui-ci assez survolé, tout comme les autres idées de l'auteur, un comble vu le nombre de pages pharamineux de la saga. J'en suis la première déçue car malgré une écriture parfois datée, en revanche j'ai beaucoup aimé la science du coup de théâtre de l'auteur. Direction ma prochaine relecture maintenant : La nuit des temps de Barjavel !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Terre et fondation débute exactement là où fondation foudroyée se termine. On y retrouve les mêmes personnages dans leur quête de la Terre dont plus personne ne se souvient de la position ou même si elle a vraiment existé. Tout un folklore et des légendes existent à ce sujet mais aucune documentation ou archive pour guider nos explorateurs. D'aucuns prétendent qu' elle est morte et complètement radioactive si seulement elle existe. Mais Golan Trevize, commandant de la mission, n'en démord pas il veut absolument trouver la planète Terre sans vraiment savoir pourquoi. Cette mission sera-t-elle couronnée de succès? Quels seront les obstacles à franchir, les difficultés à surmonter et le dangers à affronter?

On a là une aventure intéressante à suivre doublée d'une série de réflexions philosophiques sur l'avantage d'un système social comparé à un autre, d'une civilisation comparée à une autre et d'ailleurs les 90 premières pages y sont consacrées, par la suite l'exploration spatiale par elle-même s'enclenche et les péripéties se font plus nombreuses même si on revient régulièrement sur les questions du début. Les personnages sont moins nombreux que dans les opus précédents ce qui rend le récit plus facile à suivre en nous permettant de suivre nos explorateurs dans leur quotidien et dans la dynamique qui s'installe entre eux. La fin nous réserve une surprise et vient conclure de belle façon tout le cycle de Fondation. Il y a encore deux volumes dans cette série qui sont des "prequels " qui nous explique comment et pourquoi la Terre à été abandonnée.

J'ai bien aimé cet opus malgré quelques longues digressions philosophiques.
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Suite très directe du quatre, il est aussi très différent dans sa construction et dans l'histoire. Divisé en chapitres du noms des différentes planètes explorées, ce livre est une véritable chasse au trésor (Ou « Chasse à la Terre ») à travers la Galaxie. La quête de la Terre était aussi le but de Fondation Foudroyée (Dans un certain sens) mais finalement pas le thème central du livre. Ici… si. Et du coup, pour la première fois la Fondation (La Première ou la Seconde) n'est plus au premier plan (du tout).Ca change !

Et au travers de cette Quête (Avec un Q majuscule, tout à fait.) des discussions, des disputes, et cette obsession de Golan Trevize de trouver une justification au Choix (Avec un C majuscule, oui oui !) fait à la fin du quatrième tome. Il m'a fallu attendre les dernières pages pour trouver une réponse qui m'a satisfait dans les disons… 97.956%.
Et chaque planète visitée apporte son lot d'indices, de rencontres, de danger et de découverte d'autres civilisations… Passionnant.

Terre et Fondation c'est aussi l'occasion pour Asimov d'aller beaucoup –beaucoup- plus loin dans l'introduction des robots.

Mais Terre et Fondation c'est aussi ma première (légère) déception quant à un livre de ce cycle. Pas vis-à-vis des situations, de l'intrigue ou des personnages, Asimov maîtrise, pas de doute. Mais je n'ai pas pu m'empêcher d'y trouver une baisse de rythme, des longueurs inutiles, des discussions répétitives, et des temps morts bien trop longs. En bref, je n'ai pas retrouvé le rythme trépidant des autres tomes.

Attention, je ne dis pas que ce cinquième tome était de trop. Au contraire, il fallait des réponses à certaines questions et des développements sur certains points. D'ailleurs, vu que le décor général n'est plus l'univers connu de la Fondation mais une exploration élargie de la galaxie, peut-être Asimov s'y est-il un peu perdu ? Dommage en tout cas. Mais ça ne retire rien au caractère exceptionnel de la Fondation.

J'avais adoré les quatre premiers tomes, j'ai beaucoup aimé le cinquième (Et c'est mieux que rien après tout !)
Lien : http://blogameni.wordpress.c..
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Ça y est, j'ai enfin terminé l'intégralité des romans qui constituent le lore principal d'Asimov, l'univers qui part du « Cycle des robots » au « Cycle fondation ».

Cela représente un voyage de plusieurs milliers d'années, dans lequel l'on voit l'Humanité se transformer et traverser de multiples crises.

De manière générale, c'était absolument génial ! Asimov a particulièrement veillé à nous présenter des mondes cohérents, qui s'inscrivent aussi bien dans le temps que dans l'espace, sans jamais nous ennuyer.

J'ai cependant une nette préférence pour la partie qui se concentre sur les robots, les personnages humains me laissant un peu indifférents, excepté sur la fin, et particulièrement le tout dernier roman, « Terre et Fondation », la dernière pièce du puzzle qui unit le tout, avec un rythme très soutenu.

Il y a parfois des moments un peu plus creux, et aussi certaines facilités scénaristiques trop marquées, mais on parle quand même de 17 romans, c'est normal que tout ne soit pas parfait !

Un très bon moment de science-fiction, et je le répète, un incroyable voyage !

Ma note : 16/20

Bonne lecture !
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Au bout de 40 ans d'écriture et plus de cinq siècles après la mort de Hari Seldon, le cycle de Fondation s'achève avec ce tome.
Entre la satisfaction d'avoir bouclé la saga de Fondation (et encore, maintenant l'objectif de reprendre les deux préquelles) et la frustration générée par la même raison, plusieurs conclusions me passent à l'esprit.
Les tomes 4 et 5 sont définitivement deux romans solides, avec une vraie trame, une vraie quête et une conclusion digne de ce qu'on pouvait attendre de la fin d'un cycle.
C'est un vrai plaisir de voir les personnages évoluer, du Trévize joyeux et motivé au personnage troublé, presque aigri, du Pélorat ermite et accroché à ses livres de préhistoire, mythes et légendes à l'homme, humaniste, doux et amoureux. Joie est manifestement un incroyable plus à la narration, bien que modérément active dans le récit : un personnage joyeux, protecteur, positif.
Malgré tout, cette quête de certitude se révèle aussi frustrante pour Trévize que pour moi. Est-ce que la réponse vaut tant l'effort de traverser l'univers, faillir y laisser sa peau à de multiples reprises ? Trévize finit par penser que oui, alors que j'ai plus de doutes quant à pourquoi tout ça a servi de trame. Bref, pour relativiser, une quête pour avoir une confirmation, c'est pas fréquent dans des romans.
Malgré tout, je ne suis pas mécontent que l'histoire de Fondation, dans cet univers fictif où elle se poursuivra, passera par la case Second Empire et Galaxia, cet entité globale capable d'unir les hommes.
Reste à dire que c'est un lore tellement énorme et inexploité qu'un million de fictions pourrait s'y dérouler. A bon entendeur !
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Avec ma lecture de ce dernier tome du Cycle de Fondation, ayant obtenu le prix Hugo de la meilleure série de science-fiction de tous les temps (rien que ça), je termine mon aventure Asimov.
Avec ce nouveau roman, Isaac Asimov arrive encore à nous surprendre. Contrairement aux trois premiers tomes, qui se passaient lors de différents centenaires, les tomes 4 et 5 se suivent directement et l'on poursuit l'aventure avec les mêmes personnages. La quête reste la même, la recherche de la Terre. le roman reste donc un roman d'aventures au sein de l'espace pour retrouver la Terre originelle, là où la vie est apparue. Nous visitons donc plusieurs planètes plus ou moins abandonnées afin de découvrir les origines.
Jusqu'à la toute fin, mon sentiment était que ce dernier tome était légèrement moins plaisant à lire que les autres. Cet enchaînement d'aventures de planète en planète était pour moi lassant. Heureusement la fin de ce tome valait le coup et rattrape cette impression de déception. C'est donc une très bonne série, qu'il me fallait absolument lire pour son aspect mythique, et je ne suis pas déçu.
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7ème et dernier tome du Cycle Fondation ! ENFIN !!!!
La quête de cet ultime tome est la recherche des origines de l'humanité et donc de la planète Terre.
Même si j'ai globalement bien apprécié cette série, je suis contente qu'elle soit terminée car dans les tomes précédents, ça commençait à traîner en longueur. Heureusement ce dernier livre redonne de l'élan à l'histoire ce qui permet de terminer sur une note positive (et je ne parle pas de la fin de l'histoire).
Après avoir lu le cycle des robots et ce cycle-là, je vais laisser un peu (beaucoup) de temps avant de m'attaquer au cycle de l'empire.
En bref : à lire !
Lien : http://knitspirit.net/2016/0..
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Thème : Le Cycle de Fondation, Tome 5 : Terre et Fondation de Isaac AsimovCréer un quiz sur ce livre

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