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Le cycle des robots tome 3 sur 6
EAN : 9782290319024
374 pages
J'ai lu (01/07/1975)
4.12/5   1100 notes
Résumé :
Histoire du futur,
Cycle 03 : Elijah Baley,
Tome 01: Les cavernes d'acier

Les cavernes d'acier sont les villes souterraines du futur. Là, bien que privés d'air et de lumière naturels, des millions d'hommes vivent à un rythme étourdissant.
Malgré une civilisation super scientifique et l'apparition de robots intelligents, les passions humaines n'ont pas cessé pour autant et le meurtre n'a pas disparu.
Mais le problème de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (71) Voir plus Ajouter une critique
4,12

sur 1100 notes
Attention, brève introduction à la suite de ma critique sur l'homme bicentenaire pour redonner vie au chroniqueur littéraire décédé lors de ce dernier épisode. Attention, PEGI 18, scène de sexe et de violence.

C'est en se rendant à pied, comme tous les jours, à la piscine communale que RAlexsixseptWaterproof, vit une boule de feu jaillir d'une habitation et plonger directement dans l'étang familiale. C'est alors que la 3ème loi de la robotique s'imposa à lui et qu'il enjamba, sans aucune hésitation, la clôture pour se jeter à l'eau. Son brevet de secouriste aidant, il sauva Mootii, le petit robot de Wiitoo d'une mort certaine non sans avoir dû préalablement procéder à 10 minutes de massages de circuits imprimés ainsi qu'à une USB à USB tellement excitante qu'elle aurait pu provoquer une explosion sur un modèle de machine à calculer HP de l'époque médiévale si elle avait assisté à la scène.

Biiip, bip, tuc, tuc... Miitoo ouvrit les yeux, fixa langoureusement RAlexsixseptWaterproof, inclina légèrement la tête et, dans un redoutable et inattendu mouvement, gifla le sauveteur avec le saumon de 500 grammes qu'il avait agrippé au fond de l'étang lors de sa noyade. Puis Miitoo disparu aussitôt et retourna s'enfermer dans la demeure alors que le sauveteur resta la bouche ouverte et le doigt levé sans avoir eu l'opportunité de dire un mot.

RAlexsixseptWaterproof secoua la tête non sans amertume : "Ahhh, ces robots domestiques qui se prennent pour des Diva, ils ont vraiment les boulons qui enflent et aucun savoir vivre". Il reprit sa route vers son travail sans même s'être rendu compte que le squelette du saumon était resté agrippé à son crâne, lui donnant un air d'iroquois spécialisé dans l'amplification des signaux de téléphonie mobile.

Ainsi, on retrouva Miitoo, noirci de la tête aux pieds, dégoulinant sur les dalles du garage maintenant recouvertes d'algues, face à un container à ordures de couleur verte. " Ahhh biiiip, tuc, tuc Wiitoo je te cherchais." dit-il au container vert.

"J'ai lu les cavernes d'acier, le premier roman d'Isaac Asimov sur le thème des robots. Cela en fait le 3ème tome du Cycle des Robots après les deux premiers tomes consacrés à ses nouvelles.

J'avoue que je m'attendais à une aventure un peu plus dynamique. Je suis un peu déçu de cette rencontre avec nos deux enquêteurs, Elijah Baley, l'humain et R. Daneel, l'humanoïde qui sera détaché par les Spaciens pour mener l'enquête aux côté de Baley. En fait il n'y a pas vraiment d'enquête, ils ne font pas grand chose à ce sujet si ce n'est de lancer des hypothèses et parler. Au final cela m'a fait pensé aux épisodes de Colombo, l'histoire se résout assez facilement sans grandes surprises.

Mais l'intérêt de ce roman réside surtout dans la description de ce monde et de celui des Spaciens. Les explications détaillées de leur mode de vie, leur relation avec les robots. Nous avons d'un côté les terriens qui ne veulent pas de robots sur la terre de peur qu'ils ne perdent leur travail. Pourtant les conditions de vie sur Terre sont abominables. Isaac Asimov nous conte là une vrai dystopie. D'un autre côté les Spaciens, eux, vivent très bien, en parfaite harmonie avec les robots. Les naissances sont limitées afin de conserver un bon équilibre des ressources et là, Isaac Asimov présente une belle utopie de leur monde.

Ce sont ces divergences ainsi que la haine des humains envers les robots qui vont être le centre de ce roman. Au final un roman tourné sur la psychologie des personnages et des peuples, leurs différences et leurs capacités d'adaptation.

Pour autant je recommande cette lecture qui est à n'en point douter un des piliers de la SF et je dirais même un roman d'anticipation brillant sur certains aspects. Tu comprends ce que je veux dire Wiitoo ?"

C'est alors que la porte du garage s'ouvrit, laissant apparaître un rutilant camion poubelle escorté par deux gardes du corps habillés en jaune fluo à l'arrière du véhicule. L'un d'eux cria alors : "Vient m'aider Bernard, il y un container et de la vieille ferraille à récupérer." Miitoo, pétrifié par cette rencontre inattendue passa inopinément en mode veille.

Wiitoo Takatoulire
www.wiitoo.over-blog.com
Note 4/6
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Et voilà, j'ai enfin fait la connaissance du policier Elijah Bailey et de son collègue R. Daneel.
C'est dans ce troisième tome de la série crée par Asimov que l'on rencontre ces personnages récurrents. de plus, c'est le premier tome qui n'est sous le format » nouvelles « , mais qui raconte bien une histoire complète.
J'étais curieuse et ma foi, je n'ai pas été déçue.
Même si l'histoire prend un peu le pas sur l'enquête policière, j'ai aimé découvrir les conditions de vie des terriens, qui n'ont pas été sans me rappeler un peu les Monade Urbaines de Robert Silverberg.
Le Terre est surpeuplées et la plupart des habitants vivent dans les villes, les » cavernes d'acier » qui sont complètement enclavées et très peu ouvertes vers l‘extérieur.
J'ai bien apprécié les descriptions de ce cadre futuriste ainsi que l'évolution des rapports entre Elijah Bailey et R. Daneel, l'androïde. J'avoue que je suis assez curieuse de lire la suite de leurs aventures, pour voir comment leurs relations vont continuer à évoluer.
On sent aussi que le postulat que certains terriens aillent coloniser d'autres planètes va surement faire son petit bout de chemin. Enfin, c'est ce que j'en déduis, comme j'ai déjà lu plusieurs tomes du cycle de « Fondation »

Challenge Mauvais Genres 2022
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Après deux tomes sous forme de recueils de nouvelles, le cycle des Robots fait plus que poser des bases désormais avec un troisième tome composé d'un seul roman, Les Cavernes d'acier, où Isaac Asimov poursuit son chemin créatif autour des fameuses Trois Lois de la robotique et toutes leurs contradictions possibles.

Les Cavernes d'acier suivent l'aventure du détective Baley, policier de New York, chargé d'enquêter sur l'assassinat du docteur Sarton. Toutefois, ce meurtre n'a pas eu lieu sur Terre à proprement parler, mais bien à Spacetown, la ville qui domine New York et qui est un comptoir terrien pour les Spaciens, humains bénéficiant de privilèges car partis à la conquête de l'espace. La différence entre Terriens et Spaciens réside d'abord dans leur rapport aux androïdes qu'ils ont créés : les premiers s'en méfient et s'en servent comme main-d'oeuvre, les deuxièmes voient en eux bien plus que de simples exécutants et cherchent à les intégrer dans la société. Or, le détective Baley voient arriver au-devant de lui deux obstacles : d'abord Spacetown est une cité aérienne ultrasécurisée où les premiers suspects seront donc les androïdes (mais c'est censé être impossible, car ils sont programmés pour ne pas nuire), ensuite on lui assigne d'office un collègue androïde de Spacetown, R. Daneel, qui semble le surpasser en tout point.
Avec Les Cavernes d'acier, Isaac Asimov garde le principe du cycle des Robots, c'est-à-dire étudier au plus près les contradictions des lois qui régissent la construction d'androïdes, ainsi que leurs relations avec l'évolution humaine. Toutefois, il crée à cette occasion un véritable polar de très bonne facture. L'enquête de Baley est passionnante dans le sens où elle se développe au rythme qu'il faut, avec des indices qui nous conduisent à soupçonner un certain nombre de personnages chacun leur tour. Cela change clairement des nouvelles précédentes des tomes 1 et 2 où chaque élément des Trois Lois de la Robotique pouvait être étudié séparément ; ici, il s'agit de faire avec un environnement potentiellement hostile et avec un acolyte androïde dont nous ne pouvons jamais sûrs à 100% qu'il est fiable.

En conclusion, Les Cavernes d'acier ce que j'attendais enfin dans le cycle des Robots : un bon roman, policier en plus, qui use des ressorts des Trois Lois de la Robotique, sans plus seulement chercher uniquement à les tourner dans tous les sens (même si c'est toujours plaisant aussi).

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Et je poursuis l'aventure avec les robots d'Asimov !
On change de format avec le tome 3, Les Cavernes d'acier, puisque c'est un roman que nous propose monsieur Asimov cette fois-ci.

Nous sommes dans un futur pas bien déterminé (en tout cas je n'ai pas repéré de date). Les hommes vivent sur Terre dans des cités recouvertes d'acier, complètement hermétiques à l'extérieur. Les hommes y sont regroupés par millions et y vivent de manière très « collective ». Cantines immenses, logements réduits à l'essentiel, tout est déterminé en fonction du classement de chacun établi par son activité professionnelle.

Mais ce fragile équilibre est mis à mal par l'intégration progressive de robots humanoïdes plus ou moins perfectionnés. Ces derniers sont très mal vus des terriens car responsables de leur déclassement. Il faut ajouter à cela une certaine tension avec les spaciens, des humains qui vivent à Spacetown mais qui sont originaires des Mondes extérieurs, des planètes autrefois colonisées par les humains de la Terre.

C'est dans ce contexte que l'on fait la connaissance du détective Elijah Baley qui doit enquêter sur le meurtre d'un spacien. On lui associe pour cela un coéquipier spécial : R. Daneel…

L'intérêt du livre porte vraiment sur la description de ce cadre futuriste avec des robots ainsi que la rencontre et l'évolution de la relation entre nos deux détectives. La narration est centrée davantage sur le personnage de Baley, on participe à son questionnement sur cet étrange partenaire et sur l'enquête bien-entendu. Celle-ci prend de l'importance surtout à la fin du livre.

Les Cavernes d'Acier est un roman qui se lit plutôt bien. Il me donne l'impression d'être construit comme un tome d'introduction de série car j'ai vraiment eu le sentiment que l'auteur posait un cadre et des personnages en vue de nouvelles histoires. J'espère que c'est le cas car j'ai bien apprécié le duo Baley/Daneel. Affaire à suivre au tome 4.

Challenge duo d'auteurs SFFF 2021 : Isaac Asimov - Guy Gavriel Kay
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« L'homme est issu de la Terre, entends-tu ?
C'est sa mère nourricière, entends-tu ?
Spacien, va-t'en, disparais
De la Terre qui te hait !
Sale Spacien, entends-tu ? »


Le Spacien aura disparu… et la haine de la sale bête se perpétue et se prolonge en haine roboticide. Pour bien comprendre ces Cavernes d'acier, qui constituent le troisième volume de Cycle des robots, mieux vaut connaître le contexte : dans un futur indéterminé, les humains vivent dans des villes souterraines pour échapper à la pollution atmosphérique et à la lumière. Ils sont observés par les Spaciens, générations de descendants d'humains qui avaient autrefois colonisé des planètes lointaines. Entre les deux populations, les relations sont tendues et fluctuent de haine belliqueuse à tolérance amère. Les Spaciens dominent et ils interdisent les humains de venir les rejoindre sur leurs nouvelles planètes, en même temps qu'ils leur imposent l'utilisation de robots censés les aider dans la vie quotidienne. A défaut de pouvoir haïr les Spaciens, les humains se sont pris en grippe contre les robots. A l'instar de Blade-Runner, certains de ces robots sont devenus si perfectionnés qu'il est difficile de ne pas les confondre avec des modèles du genre humain…


Dans ce volume en particulier, l'intrigue se construit autour du meurtre d'un Spacien. Un terrien est soupçonné de l'avoir commis et pour résoudre cette énigme, Baley est envoyé en mission. Tout irait bien si on ne lui avait pas collé aux basques un robot humanoïde ultra-perfectionné qu'il devra loger chez lui. Comment vont réagir la famille et le voisinage ? Baley espère pouvoir cacher sa véritable nature le plus longtemps possible –d'autant plus que le robot a été construit avec une minutie de détails époustouflante- mais les médiévalistes rôdent et ouvrent l'oeil, à l'affut de tout signe de déchéance moderniste.


Dès le début, on comprend que ce roman de science-fiction s'appuie sur une réalité qui connaît elle-même de nombreux antagonismes. La méfiance que subit le robot est un racisme qui dépasse les espèces et qu'Asimov se charge d'anéantir. le bien et le mal cherchent à se dissoudre en un scepticisme confus. Les robots sont-ils à l'image des hommes ? Si oui, sont-ils à l'image des hommes bons ou des hommes mauvais ? Si non, sont-ils bons sachant que certains hommes sont mauvais, ou sont-ils mauvais sachant que certains hommes sont bons ? Peut-être ne sont-ils ni bons ni mauvais, peut-être est-ce seulement l'homme qui se montre mauvais dans sa méfiance, et mauvais dans son ingratitude.


Si le message moral n'a rien d'exceptionnel et s'élude rapidement en considérations simplistes, l'intrigue plaisante nous apportera au moins la satisfaction de nous laisser entrevoir un monde déboussolant mais parfaitement crédible. Dommage que celle-ci souffre parfois de la précipitation de l'auteur, empêtré dans de si nombreuses imbrications qu'il se retrouve, à la fin du livre, obligé de tout bâcler en moins d'un paragraphe :


« Je sais qui est l'auteur du coup monté contre moi, je sais comment et par qui le Dr Sarton a été assassiné, et je dispose d'une heure pour vous le dire, pour arrêter le criminel, et pour clore l'enquête ! »


Peut-être faudrait-il lire les précédents volumes de la série pour mieux apprécier celui-ci. Dommage que ni le style, ni le message ne donnent particulièrement envie de s'attarder sur ce monde qui, s'il avait été mieux travaillé, aurait peut-être connu des heures plus prestigieuses dans nos cerveaux de lecteurs.
Lien : http://colimasson.over-blog...
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Citations et extraits (56) Voir plus Ajouter une citation
- Mais pourquoi donner aux robot une forme humaine ?
- Parce que la forme humaine est, dans toute la nature, celle qui donne le meilleur rendement. Nous ne sommes pas des animaux spécialisés, monsieur Baley, sauf au point de vue de notre système nerveux, et dans quelques autres domaines. Si vous désirez construire un être mécanique, capable d'accomplir un très grand nombre de mouvements, des gestes et d'actes, sans se tromper, vous ne pouvez faire mieux qu'imiter la forme humaine.
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En revanche, l’habitude qu’a prise l’homme de dormir la nuit est aussi vieille que l’humanité : un million d’années sans doute. Il n’est donc pas facile d’y renoncer. Aussi, quoique la venue du soir ne soit pas visible, les lumières des appartements s’éteignent à mesure que la soirée s’avance, et le pouls de la Cité semble presque cesser de battre. Certes, aucun phénomène cosmique ne permet de distinguer minuit de midi, dans les avenues entièrement closes de l’immense ville ; et cependant la population observe scrupuleusement les divisions arbitraires que lui imposent silencieusement les aiguilles de la montre. Et, quand vient la « nuit », l’express se vide, le vacarme de la vie cesse, et l’immense foule qui circulait dans les colossales artères disparaît : New York repose, invisible au sein de la Terre, et ses habitants dorment. 
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Un robot n’aura jamais le sens de la beauté, celui de la morale, celui de la religion. Il n’existe aucun moyen au monde d’inculquer à un cerveau positronique des qualités capables de l’élever, ne serait-ce qu’un petit peu, au-dessus du niveau matérialiste intégral. Nous ne le pouvons pas, mille tonnerres ! Ne comprenez-vous donc pas que cela est positivement impossible ? […] Nous ne le pourrons jamais, tant qu’il existe dans le monde des éléments que la science ne peut mesurer. Qu’est-ce que la beauté, ou la charité, ou l’art, ou l’amour, ou Dieu ? Nous piétinerons éternellement aux frontières de l’Inconnu, cherchant à comprendre ce qui restera toujours incompréhensible. Et c’est précisément cela qui fait de nous des hommes.
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J’ai fait installer ça spécialement l’an dernier […]. Je crois que je ne vous l’avais pas encore montré. Approchez et jetez un coup d’œil. Dans le temps jadis, toutes les pièces des maisons étaient ainsi équipées. On appelait ça des « fenêtres ». Vous le saviez ?
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Quand les gens sont malheureux et perdent tout espoir de voir venir la fin de leurs tourments, ils passent aisément de l’amertume, née de la spoliation, à la fureur vengeresse et destructrice. Il ne faut alors que quelques minutes pour transformer l’hostilité latente d’une foule en une fulgurante orgie de sang et de ruines.
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Avis aux fans de Jules Verne, Isaac Asimov et Frank Herbert, à ceux qui vivraient volontiers sur Mars ou en compagnie d'humanoïdes : vous a-t-on déjà raconté la fabuleuse histoire de la science-fiction ? 
Ce septième épisode se penche au-dessus du (tout) petit tiret qui relie la science à la fiction. Pourquoi avoir accolé deux mots a priori si différents ? Et à quel genre littéraire mutant ont-ils donné naissance ? Deux immenses connaisseurs de la SF, le physicien Roland Lehoucq et son partenaire d'imaginaire le philosophe Vincent Bontems, en dressent la généalogie, complexe et pleine de rebondissements, depuis les voyages sur la Lune de Lucien jusqu'aux derniers avatars du genre, propulsés par les États-Unis entre deux bombes nucléaires. Ce faisant, nos deux compères émettent l'hypothèse suivante : la fiction ne constituerait-elle pas, pour la science, un formidable laboratoire à ciel ouvert ? Tout n'y est certes pas permis, puisque la fiction obéit aussi à des règles, mais les expériences s'y font à moindre frais et à l'infini, nous poussant à interroger le futur de notre humanité. Et si cette pratique rationnelle de l'imaginaire nous permettait de garder les pieds sur terre ?
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