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3,29

sur 281 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Les invités nous emmène diner dans la grande bourgeoisie parisienne, la maitresse de maison à tout prévu pour faire de cette soirée un moment inoubilable, mais le grain de sable va se glisser lorsque l'un des invités se décommande et oblige "Madamedu" à inviter à sa table une bonne (étrangère de surcroit) pour éviter un diner à treize. La soirée va virer au cauchemar. On voit bien l'intérêt d'Assouline de railler ce monde de l'élite qu'il connait certainement, engoncer dans ces manières et ces certitudes, mais je me suis plutot ennuyé à suivre ce repas. Comme si l'auteur me laissait à la porte de la salle de réception me laissant de tant à autre l'autorisation d'y glisser un oeil.
Parfois drôle et cynique le roman d'Assouline m' a laissé au final un gout d'inachevé.
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Une déception. J ai apprécié les biographies de P Assouline. Brillantes fouillées intéressantes. Mais quel ennui ce diner! Subtil ennui. Moeurs désuètes. Très gens infréquentable.j abandonne !
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Grammaticalement correct, linguistiquement irréprochable et d'un ennui profond. du moins durant la moitié du roman. Certes, les tournures de phrases sont recherchées et le terme exact obsédant - au point d'en devenir obséquieux - mais...
La première action se produit à la septante-deuxième page quand, après une (trop) longue présentation des protagonistes, un des commensaux refuse de prendre place, prétextant qu'il y a treize convives à table. Et hop, la maîtresse de maison trouve, de mauvaise grâce, un quatorzième invité, que l'on voyait arriver depuis la lecture de la 4e de couverture.
Le récit s'anime enfin. Mais je suis trop déçue par le début et le style ampoulé pour vraiment apprécier. Et déjà, le soufflé retombe.

Pierre Assouline se gausse des diners organisés dans la grande bourgeoisie parisienne, où se joue une comédie des apparences tout en vanité et vacuité. Dommage que le trait soit forcé.
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Ce livre n'est pas très gros, il a quand même un bon tiers de trop, il aurait fait une excellente nouvelle. C'est le récit d'un dîner mondain dans la bourgeoisie du VIIe organisé par Sophie du Vivier que sa bonne surnomme "Madamedu" tellement elle tient à sa particule. La réception manque de mal tourner car il y à 13 convives et on invite la bonne à se joindre au repas pour pallier à la catastrophe...

Le début du livre est très drôle et caustique. Assouline décrit les personnages avec de la verve et un peu de méchanceté ; c'est parfois caricatural mais bien vu. Par exemple, la bonne a été renommée Sonia par sa patronne qui n'est pas capable d'utiliser son vrai prénom, Oumelkheir ; un peu comme on rebaptisait les bonnes au siècle dernier pour éviter d'avoir 2 Marie à son service.

Par contre, le dîner s'éternise et donne lieu à une conversation pleine de clichés, ce qui donne une fin de livre un peu filandreuse. La bonne se révèle être une jeune femme instruite, française d'origine berbère et cristallise la bêtise et le racisme des convives. C'est bien de le dénoncer mais cela manque de punch.
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Dés les premières pages il est écrit : "il est vrai que ses (Sophie du Vivier) dîners étaient parmi les plus courus de Paris".
On est donc content de ne pas appartenir à ce monde artificiel et méchant , aux conversations sans grand intérêt et même nocives (racisme, négationnisme). Sur les 16 personnages (n'oublions pas le cuisinier Othman) , seuls nous semblent sympathiques Mlle Sonia, Banon et dans un style différent Christina.
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Je n'ai pas réussi à être embarquée dans ce dîner aux allures de pièce de théâtre étouffante. Trop de descriptions, de caricatures et de raccourcis. Je me suis sentie frustrée, comme occupée avant que l'intrigue ne démarre vraiment. Une longue introduction avant le vrai roman ! Je peux toutefois reconnaître une belle écriture et des réflexions percutantes. Mais le scénario et les personnages manquent d'étoffe pour provoquer une adhésion. le côté redondant des idées et dualités en devient oppressant et trop envahissant pour que je termine.
Dommage, je ne connaissais pas cet auteur...
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Bonne satire de la société parisienne élitiste du 16e, celle-là même actuellement conspuée par les gilets ..
Le canevas remonte probablement aux auteurs classique et le livre est plagié par le film Madame d'Amanda Sthears sorti en 2018, interrogé sur les coïncidences Mr Assouline ne donne réponse fréquentant peut être les mêmes dîners en ville que son émule ... démenti sur le plagiat recherché
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Un dîner fade. La grande bourgeoisie parisienne. Question existentielle : qui va faire le 14éme puisqu'un des convives s'est décommandé. Surtout que la maîtresse de maison doit séduire son invité d'honneur. La nouvelle " invitée " est choisie au mépris de la bienséance. Un dîner de con à l'Assouline. du moins ce que croit cette bourgeoisie.
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