- Je ne suis pas un dandy, cela dit, poursuivit-il. Je ne me préoccupe pas seulement des foulards et de la coupe d'un manteau. J'apprécie les combats de boxe – si je puis me permettre d'évoquer un tel sujet en compagnie de dames – et l'on estime que j'ai l’œil pour les chevaux. De plus, je ne suis pas un de ces citadins insipides qui se sentent souffrants dès qu'ils quittent la ville. Je prends autant de plaisir que quiconque à passer quelques jours – je dis bien quelques jours seulement – à la campagne.
- Dois-je éteindre la bougie ma chère ? - Mais non, laissez. Quel besoin avons-nous, d'être dans le noir ?
Ce valet. Oh, mon Dieu! Elle n’arrivait pas à le croire. Elle nageait en plein cauchemar. Elle n’allait sûrement pas tarder à se réveiller, troublée par la précision de son rêve, mais soulagée de trouver une réalité plus joyeuse.
Malheureusement, c’était le genre de songe dont on ne sort pas. Elle chercha son mouchoir.
- Je dois rentrer, réplique-t-elle. Dites que je suis souffrante. Dites ce que vous voudrez.
Les jeunes gens ont changé, poursuivit-elle. Ils sont pétris d’idées romantiques auxquelles nous ne pensions jamais de mon temps. Ils veulent aimer et être aimés, et cela l’emporte sur tout le reste.
Doux Jésus regardez ! C'est Emily Cantor. Voilà une coiffure extraordinaire ; on dirait vraiment un épouvantail. Emily, ma chère ! Vous êtes superbe. Quelle élégante coiffure, ce soir !
Comme les auteurs écrivent sans cesse, nous continuons à les lire. C'est une bien triste affaire.