Une variation sur un thème que j'aime beaucoup, celui de l'errance labyrinthique ou du parcours initiatique, un thème trans-culturel et éventuellement trans-religieux. Étant passablement dépourvue de sens d'orientation j'ai toujours aimé les labyrinthes, où l'on est censé se perdre et découvrir éventuellement sur le chemin bien plus voire autre chose que ce qu'on était venu chercher, un apprentissage toujours renouvelé d'une certaine forme de sagesse.
Attali nous fait, sans trop de prétention, profiter de son immense culture. Quelque part c'est le même thème que dans "L'alchimiste" de Coehlo mais c'est mille fois meilleur et surtout bien plus respectueux de l'intelligence du lecteur