L'histoire est assez difficile à résumer et peu parlante. Elle assez dure à simplifier tant
Attanasio entre dans des développements alambiqués. Présenté comme un roman-culte,
Radix ne m'est apparu comme tel.
Bien sûr j'ai aimé le début même si un peu dur de s'attacher à un obèse moche et à moitié fou. Je me suis même demandé ce qu'il pourrait faire pour devenir digne d'intérêt. Tout cela dans un contexte post-apocalyptique : un dérèglement qui entraine une hausse des radiations et donc un accroissement des mutations humaines.
Lorsque Kagan découvre ses capacités psychiques, j'avoue que j'ai commencé à décrocher et à m'ennuyer. Il y a une accumulation de termes, qui même avec un glossaire est assez indigeste, qui recouvrent des notions qui puent le New-Age à plein nez.
Les basculements entre monde réel et monde irréel ne sont pas nettes alors des fois j'ai eu l'impression que ça partait en sucette très rapidement. L'affrontement final est à l'image du roman : décevant.
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http://lecturesdechiwi.wordp.. Commenter  J’apprécie         22