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EAN : 9782353060542
221 pages
Editions La Branche (12/01/2012)
3.43/5   41 notes
Résumé :
Quand une tranquille sexagénaire reprend du service et règle ses comptes avec le passé...
Par un beau vendredi 13, Mamie Hélène, veuve depuis peu, apporte une tarte à ses voisins. Concert de détonations, corps sanguinolents, elle est témoin du massacre aussi expéditif que sophistiqué de toute une famille. Alors qu'elle tente de fuir, l'un des tueurs la surprend.
C'est le début d'une traque effrénée.
Pour sauver sa peau – et s'amuser un peu – Ma... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Freaky Fridays ou comment Mamie Hélène se la joue version James Bond.

Brigitte Aubert possède une multitude de cordes à son arc et ayant lu bon nombre de ses romans, je reste étonnée par la diversité de leur genre. Alors que j'apprécie tout particulièrement ses thrillers très glauques, ici, elle nous offre une sympathique caricature d'un roman d'action, mâtiné d'espionnage. le ton est ironique, le rythme soutenu et le personnage de Mamie Hélène complétement délirant, plein d'auto-dérision et sachant manier aussi bien l'humour que son fidèle PSM. L'auteure parsème avec bonheur ses dialogues de références littéraires ou cinématographiques qui tombent à pic.
Pourquoi alors mettre comme note un 2/5, me direz-vous ? Je suis allergique généralement à tout ce qui concerne la politique, les intérêts financiers et les trafiquants d'armes et comme ces trois thèmes sont très liés dans le roman (comme dans la vraie vie d'ailleurs), je me suis refermée comme une huitre et suis restée imperméable à l'histoire. Je me suis égarée (une fois de plus !) entre CPCO, Gigat, Gifas, DCMAT, DGA, CIA (Ok, là j'exagère !).
Entre les Russes, les Américains, la Mafia, les vrais truands, les faux-amis, les agents-doubles, les politiciens véreux, je n'ai pas réussi à déterminer qui étaient les plus méchants..... décidément, l'espionnage, ce n'est pas ma tasse de thé.
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Je poursuis ma découverte de la collection « Vendredi 13 » des éditions La Branche, collection dirigée par Patrick Raynal et inaugurée par Jean-Bernard Pouy avec l'excellent « Samedi 14 ».

Après avoir découvert, donc, l'opus de J. B. Pouy, « L'Arcane sans nom » de Pierre Bordage, « Close Up » de Michel Quint et « le dernier contrat » de Olivier Maulin, j'ai décidé de me pencher sur « Freaky Fridays » de Brigitte Aubert.

Si, mes précédentes lectures, à part une, étaient plutôt agréables, qu'en serait-il de celle-là ?

Pour rappel, la collection « Vendredi 13 » regroupe 13 petits romans de différents auteurs dont l'intrigue tourne plus ou moins autour du jour fatidique.
Mamie Hélène est veuve depuis un an, son Joe ayant eu la mauvaise idée de mourir un vendredi 13.

C'est à lui qu'elle pense en allant livrer un gâteau pour l'anniversaire de la fille des voisins – elle a monté une petite entreprise de pâtisserie artisanale pour s'occuper – alors qu'elle discute avec la bonne de la famille bourgeoise habitant juste à côté de chez elle, elle entend des coups de feu et est témoin d'un véritable massacre de toute la famille par deux géants cagoulés.

Mamie Hélène a tout juste le temps de s'enfuir pour échapper aux tueurs. Que faire ? Impossible pour elle de se rendre à la police, son passé sulfureux remonterait à la surface, elle et Joe étant d'anciens tueurs pour le compte de la mafia italo-américaine ayant bénéficié du service de la protection des témoins après que Joe ait témoigné contre Gioanni, un caïd déjanté.

Très vite, mamie Hélène se rend compte que les tueurs sont à ses trousses. Fuir ? Pour où ? Et puis, mamie Hélène veut savoir pourquoi des tueurs russes ont exterminé ses voisins, aussi, elle va reprendre les armes et ses anciennes habitudes…

Je dois l'avouer, j'avais déjà pris ce livre entre les mains et l'avait aussitôt reposé, les premières lignes me faisant craindre le pire. En effet, celles-ci débutaient par mamie Hélène se repenchant, attristée, sur la mort de son grand amour. Je voyais déjà un roman plombé par des considérations sentimentales qui me sont souvent pénibles à lire.

Heureusement, je me repenchais sur le roman après avoir lu quelques critiques précisant que l'intrigue virait bien vite au petit roman d'action.

Bien m'en a pris puisque, effectivement, une fois la scène de massacre de la famille, l'histoire se déroule à la manière d'un bon petit film d'action avec, pour héroïne, une gentille petite retraitée de 62 balais (un peu à la « RED », mais sans Bruce Willis, Morgan Freeman et John Malkovich, juste avec Helen Mirren).

Car sous ses airs de douce et gentille mamie (62 ans n'est pas un âge de mamie, mais passons), mamie Hélène va s'avérer coriace, têtue et, surtout, très dangereuse.

En effet, pour découvrir la vérité, elle ne va pas hésiter à se mettre à dos des tueurs russes, des assassins de la mafia italo-américaine, des militaires américains, français et, même, des services de l'état.

Si l'on sent un peu, dans l'écriture, que l'auteur se livre là à un exercice de style, il faut bien avouer que celui-ci est bien mené et ne laisse aucun temps mort aux personnages et aux lecteurs.

Certes, les sanglots longs de mamie Hélène sur son vieux Joe sont omniprésents, mais, pour autant, ils ne gâchent en rien le plaisir de lecture, mamie Hélène puisant sa force dans ces souvenirs et, surtout, retrouvent ses réflexes de tueuse grâce à ceux-ci.

Alors, tout comme dans un petit film bourrin, on ne se souciera pas de la crédibilité de certaines scènes, notamment la scène finale, car, Brigitte Aubert parvient à remplir sa mission principale, celle de distraire de bout en bout le lecteur, ni du fait que les personnages sont caricaturaux.

Côté plume, l'auteur démontre un savoir-faire incontestable – plutôt logique puisque l'on a pas affaire à une béjaune.

Au final, une belle surprise que ce petit roman d'autant plus que je partais avec un a priori négatif.
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FREAKY FRIDAYS de Brigitte Aubert
Publié le 13/01/2012

Freaky Fridays de Brigitte Aubert – Collection Vendredi 13 des Éditions La Branche (elb) 15 €, 221 pages, 8 janvier 2012. Et ma note : 4/5.

Quatrième opus de cette collection dont les livres ont en commun le thème du Vendredi 13 ! La présentation et la couverture sont très soignées, j'aime beaucoup le style épuré mais…convaincant, l'oeil qui nous fixe, l'oeil de Moscou ? Hé hé, on n'en est pas si loin. Vous faire partager ma lecture aujourd'hui était une évidence ! Ne soyez pas superstitieux, vous risquez de croiser le pire… Et méfiez-vous des mamies en robe-blouse à qui on donnerait le bon Dieu sans confession !

Le pire, Mamie Hélène, gentille retraitée d'origine anglaise qui vend ses gâteaux en Normandie, dans son “p'tit coin de paradis”, croit l'avoir vécu l'année précédente, un vendredi 13, quand elle a perdu Joe, son époux bien-aimé, un italo-américain qui avait choisi ce petit coin de France afin qu'ils y coulent des jours paisibles. Mais voilà, un après, le vendredi 13 la poursuit et elle l'appréhende malgré ses “morigénations” intérieures. En allant livrer un cheesecake enrubanné, confectionné avec amour pour Gaëtane, la cadette handicapée mentale des Duvauchelle, ses voisins paisibles et friqués (dont elle n'aime pas le côté voyant), Mamie Hélène assiste malencontreusement au massacre en règle de la famille entière, jusqu'au bébé dans le parc et à la domestique qui faisait le service. Elle a juste le temps de mettre Gaëtane à l'abri dans la niche du chien et de prendre ses jambes à son cou en réfléchissant à toute vitesse. N'a-t-elle pas laissé sa carte de visite sous le papier doré du gâteau ? Quelle est donc l'origine de ces tueurs implacables à l'accent slave prononcé ?

Rentrée chez elle, sa modeste maison jouxte la somptueuse demeure Duvauchelle, nous assistons alors à une transformation époustouflante de Mamie Nova en Super Jaimie ! Ses vieux réflexes, elle les tient d'un passé où avec Joe, ils ont été barbouzes, agents secrets plus ou moins reconnus par leur pays, l'Amérique… Toujours est-il qu'elle va vite comprendre qu'elle a affaire à la mafia russe, que ça ne rigole pas et malgré l'argent que Joe a caché dans la quille de leur bateau au Havre (ironiquement baptisé Vendredi), elle décampe, change d'identité tout en décidant de mener son enquête bien entendu. On ne se refait pas… et elle s'inquiète pour Gaëtane, cette enfant pas comme les autres pour laquelle elle s'était prise d'affection.

Perruques, tenues à l'opposé de ses robes-blouses, lentilles de couleur, forme olympique pour une sexagénaire, elle constate cependant quelques mauvais plis dûs au manque d'activité des dernières années, mais globalement, elle sait se battre, se défendre et semer ses poursuivants. Et surtout elle s'appelle Vera di Angelo, nom qui n'est pas sans rappeler une autre mafia… Une histoire dans l'histoire qui nous tient en haleine jusqu'au bout !

Je ne peux pas trop vous en dire pour ne pas déflorer le livre, c'est un polar, français et de bonne facture. La plume est alerte, le style enlevé, pas un seul temps mort, nous tournons les pages en frissonnant parfois pour savoir comment elle va s'en sortir cette lady aux faux airs de grand-mère. Surtout un vendredi 13 : ” Les Robinson et Vendredi 13. Stop ! Les vendredis 13 ne sont pas plus dangereux que les autres, le hasard se fout des dates. Et le destin ? Il n'y a pas de destin. Juste des croisements d'aléas. (…) Parce que ça impliquerait que le destin des Devauchelle était de mourir pour que je puisse assister à leur exécution et me faire poursuivre et qu'en suivant ce genre de bout de ficelle de raisonnement on remonte très vite à la création du monde. Donc stop !” Elle va en croiser des aléas tout au long de sa cavale pour échapper aux tueurs qui ont bien sûr repéré la carte sous le cheesecake. Mais si Joe, le mari trépassé est aussi présent à chaque page, ce n'est pas que par amour, ce n'est pas un hasard total… de situations loufoques et improbables en scènes bien croquées sur certaines dérives des grandes holding politico-financières, Brigitte Aubert nous embarque manu-militari dans ce polar bien mené, sans temps mort et souvent drôle, grinçant même ! J'ai aimé le ton décalé, justement, qui la rend parfois touchante ! J'ai aimé aussi la façon dont elle sème ses poursuivants et les réflexions prêtées aux russes à propos de la France : ” On ne pouvait même pas fumer. Ras le bol aussi de la France, un pays de petits vieux en train de compter leurs fruits et légumes en faisant des stocks de médicaments. des libertins qui viraient puritains. Un très mauvais dérapage”. Il y a du vrai non ? J'adhère complètement !

Après ma lecture, en me renseignant sur l'auteure (le regard qui tue !), j'ai appris qu'il ne s'agissait pas d'une débutante. ” Née en 1956, Brigitte Aubert a publié une dizaine de romans pour la jeunesse et plus de vingt romans pour adultes, maîtrisant avec un talent redoutable de nombreux genres : suspense psychologique, aventure, espionnage et épouvante. Elle obtient le Prix Michel Lebrun 1996, ainsi que le Grand Prix de littérature policière en 1997 pour La Mort des bois. Ses livres sont traduits dans plus de dix-sept pays.”
Lien : http://leslecturesdasphodele..
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Mamie Hélène aime avoir les mains dans la farine et fabriquer de bons gâteaux qu'elle livre à domicile. Mais elle déteste les Vendredis 13. Comme celui-ci où, lors d'une livraison chez ses voisins, elle est témoin d'un assassinat en règle. Toute la petite famille Devauchelle décimée en sept minutes trente-cinq secondes. Mamie Hélène n'a pas besoin de réviser ses séries américaines pour comprendre qu'il s'agit d'un contrat en bonne et due forme. Et pour cause, Mamie Hélène n'est pas exactement ce qu'elle paraît, une fragile petite veuve qui arrondit sa maigre retraite à coup de rouleau à pâtisserie. Elle a eu une vie avant, trépidante, agitée, musclée et un mari qui lui a appris la prévoyance et les ficelles d'un drôle de métier.

Repérée par les auteurs du massacre, une course poursuite s'en suit le long de la côte normande pour ne s'achèver que 221 pages plus loin. Et ça m'a laissé le sourire aux lèvres car on s'amuse beaucoup avec Mamie Hélène. Aucun temps mort dans cette cavale du troisième âge à l'exception de la fin du roman qui, je trouve, se termine de façon trop abrupte, pff j'ai carrément eu le sentiment de me faire éjecter du bouquin !

"La femme était là, tout près. le logiciel affirmait que son téléphone cellulaire se trouvait dans un rayon de moins de 100 mètres. Ils avaient bien fait de surveiller la gare. le train était un moyen de se déplacer plus discret que l'avion. Il chercha des yeux une grosse mémère affolée tirant sa valise à roulettes. Une Mamie Hélène."

Voilà, c'est tellement invraissemblable, comme toujours avec cette auteur, que ça ne se raconte pas, ça se lit, un point c'est tout. Je suis une inconditionnelle de Brigitte Aubert aussi ne comptez pas sur moi pour en dire du mal.

Lien : http://moustafette.canalblog..
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Si je vous dis : éditions La branche, collection vendredi 13, Close-up, L'arcane sans nom, Samedi 14, ça vous dit forcément quelque chose, sinon, c'est que vous ne lisez pas assez attentivement mon blog. Et dans ce cas-là, vous me voyez franchement déçu par ce manque d'assiduité. Snif, snif... Bon, je répète donc pour les quelques inattentifs : Vendredi 13 est une collection de polars aux différents écrivains s'appropriant ce jour très particulier, chacun à leur manière, et jusque là, formidablement bien. Ce quatrième opus, signé Brigitte Aubert est dans la pure lignée des autres : passionnant, rythmé avec des personnages forts et des situations parfois drôles. Mamie Hélène se fait un plaisir même pas dissimulé de faire la nique à la mafia, aux services secrets, ... Et nous avec elle ! Un vrai plaisir de l'accompagner, de voir ses transformations et un vrai suspense de savoir si elle va s'en sortir et si oui, comment.
Loin d'être un spécialiste des polars, je ne connaissais pas Brigitte Aubert qui compte pourtant beaucoup de livres de ce genre à son actif (au moins quinze si j'en juge par la dernière page recensant les livres du même auteur). Je confesse mon ignorance mais me suis rattrapé, car, j'ai adoré ce livre et Mamie Hélène qui m'a impressionné et fait rire. C'est ce qui est bien dans ce bouquin : au fur et à mesure que les morts pleuvent les rires -ou sourires- enflent. L'auteure en rajoute dans le rayon ironie, moquerie des mecs, des durs, des vrais Hommes qui ne parviennent pas à arrêter une brave (?) mamie. Et tout cela écrit dans un style finalement assez... masculin : mots d'argot, gros mots, mais avec une finesse féminine de bon aloi.
Et l'intrigue, me direz-vous ? Eh bien, suffisamment tortueuse pour tenir la route et en haleine. Je ne vous en dirai point plus pour laisser agir le suspense.
Décidément, cette collection des éditions La Branche est une pépite de vrais bons polars à la française.
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critiques presse (1)
Actualitte
11 mai 2012
Le dynamisme de l'histoire est incontestable et la narration est tout à fait au niveau : alerte, surprenante, parfois décalée, sans fioritures, mais d'une entraînante fraîcheur.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (30) Voir plus Ajouter une citation
Deux types sortaient de l'hôtel. Un grand maigre et une armoire à glace. Le grand ressemblait à un croque-mort, y compris le costard, le gros à un sumo en Lacoste rose bonbon. Vera avait trop souvent vu ce genre de tandem improbable pour douter une seule seconde. Des truands. Des vrais. Des bons vieux truands des States, dignes des films de Scorcese ou de Tarantino. Des tronches d'affranchis griffés Gioanni. Cent ans de Little Italy dans les gènes. Deux gnocchis à la place des yeux, un spaghetti dans le slibard. Mais une grosse puissance de feu.
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Joe.
Ce vieil imbécile avait choisi de se faire la malle il y avait un peu plus d'un an. Un funeste vendredi. Mourir un vendredi pour un Robinson.... En plus, un vendredi 13, comme si c'était une bonne blague. Une bonne blague à la Joe. Son cœur avait lâché alors qu'ils revenaient de leur ballade matinale au bord de mer. Il riait, il balançait un seau plein de coquillages. A 76 ans, il était encore solide comme un roc. En apparence.
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Véra croisa brièvement le regard du type en costume à chevron. Si ce n'était pas un flic ou un militaire, elle voulait bien avaler toutes ses fausses cartes d'identité. Quarante ans dans le milieu l'avait dotée d'un sonar mental à toute épreuve. Un nouveau venu dans cet imbroglio. Pour le compte de qui? On avait la Mafia, l'armée américaine, manquait la France. Sécuritex ou le traître du Gigat. Véra hésitait. Certes, elle pouvait le descendre, là, pendant qu'il avançait vers elle avec nonchalance, une main dans la poche de sa veste. Le descendre avant qu'il sorte sa main de sa poche. Et en même temps, elle éprouvait toujours le lancinant besoin d'en savoir plus. Le même problème que cette pauvre ÉVE avec le serpent, et on connaissait les conséquences, aurait dit Joe.
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Il n'y avait pas de portillon électronique à l'entrée.Ils avaient pu donc rentrer enfouraillés. Pas avec les fusils ayant servi au massacre, certes, mais ils pouvaient avoir leur artillerie perso sur eux. Plus personne ne dit "enfouraillé", ma vieille, ça date. Tu es bonne pour faire du strip intégral aux Noëls des maisons de retraite.
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L’avantage du Québec, c’était de vous permettre de parler à la fois français et anglais, d’adopter beaucoup d’accents et de sortir quelques expressions pittoresques qui amusaient beaucoup les Français. Or, le rire entraîne toujours une baisse de vigilance.
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