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Critique de Leschroniquesdekali
Brett est lieutenant de police à New-York, la plus grosse déception de ses parents qui la voyait avocate. Pourtant, ce métier, c'est sa vie, son oxygène. Rien de telle que la pression et ledanger pour se sentir vivante.
Sous les ordres du commissaire Douglas, elle traque une bande de braqueurs. Les soupçons se portent bien vite sur un clan mafieux, les Verone. Si le patriarche est décédé quelques années plutôt, il n'est pas exclu que sa descendance officie peut-être encore. Sa fille, Isabella, en l'occurrence.
Brett voue sa vie à sa carrière, aux dépens de sa vie sentimentale. Pour preuve, même Tom a fini par fuir. Elle se retrouve donc à cohabiter avec sa soeur Jane, de dix ans sa cadette, chérie d'amour de ses parents. Ils lui ont même fourni les fonds pour ouvrir son bar, le Panama. Y'a pas de justice.
Donc, après une journée de dingue au bureau ou en traque, le lieutenant file parfois un coup de main à sa soeurette, derrière le comptoir. C'est déjà bien sympa de sa part. Mais si en plus, elle se fait mater par une blonde autoritaire qui cherche à l'intimider, avec ses deux bodyguards, ce sera sans elle.
Faut-il toujours se méfier de la première impression ? C'est ce que Brett et Isy se demandent. Pourquoi ne pas apprendre à mieux se connaître, en fait ? Balade au musée, resto, texto …
Sous la plume fluide de l'auteure, on suit les états d'âme du lieutenant Brett J., perdue entre son devoir d'officier et son attraction pour l'ennemie. Isy, soufflant le chaud et le froid, n'en même pas large non plus. Même les mafiosi ont leurs faiblesses …
J'ai beaucoup aimé ce roman qui mêle à la fois polar et romance, habilement mêlés, un aspect ne tirant pas la couverture à l'autre. On comprend le dilemme de l'héroïne, tiraillée entre passion et devoir.
Sous les ordres du commissaire Douglas, elle traque une bande de braqueurs. Les soupçons se portent bien vite sur un clan mafieux, les Verone. Si le patriarche est décédé quelques années plutôt, il n'est pas exclu que sa descendance officie peut-être encore. Sa fille, Isabella, en l'occurrence.
Brett voue sa vie à sa carrière, aux dépens de sa vie sentimentale. Pour preuve, même Tom a fini par fuir. Elle se retrouve donc à cohabiter avec sa soeur Jane, de dix ans sa cadette, chérie d'amour de ses parents. Ils lui ont même fourni les fonds pour ouvrir son bar, le Panama. Y'a pas de justice.
Donc, après une journée de dingue au bureau ou en traque, le lieutenant file parfois un coup de main à sa soeurette, derrière le comptoir. C'est déjà bien sympa de sa part. Mais si en plus, elle se fait mater par une blonde autoritaire qui cherche à l'intimider, avec ses deux bodyguards, ce sera sans elle.
Faut-il toujours se méfier de la première impression ? C'est ce que Brett et Isy se demandent. Pourquoi ne pas apprendre à mieux se connaître, en fait ? Balade au musée, resto, texto …
Sous la plume fluide de l'auteure, on suit les états d'âme du lieutenant Brett J., perdue entre son devoir d'officier et son attraction pour l'ennemie. Isy, soufflant le chaud et le froid, n'en même pas large non plus. Même les mafiosi ont leurs faiblesses …
J'ai beaucoup aimé ce roman qui mêle à la fois polar et romance, habilement mêlés, un aspect ne tirant pas la couverture à l'autre. On comprend le dilemme de l'héroïne, tiraillée entre passion et devoir.
