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Olivia n'est qu'une esclave, en fuite. Cheveux sales, ses traits défigurés par la peur, barbouillée de boue, les yeux exorbités, la fille du roi d'Ophir, court vêtue,(vendue par son propre père!) court...


Une souris poursuivie par le Shah, Shah Amurath, le puissant seigneur d'Akif!
Un Shah qui demande grâce,(alors qu'il prenait plaisir à torturer la jeune femme)...


-Grâce ?
Grince Conan, qui sauve la jeune femme, en tuant son bourreau. Sa lame s'abat encore une fois.


Une Autrice, pour une BD de Conan, qui montre les beaux yeux d'Olivia, remplis de larmes, ses appas et ses charmes ( dont se moque bien le Cimmérien!), sa faiblesse devant la force de Conan...


Elle a beau le supplier, presser son corps contre le corps du barbare, prendre le visage du Conan, dans ses petites mains...
Ses suppliques ne peuvent faire fléchir un Cimmérien...
"Même si Conan louche ostensiblement sur les formes d'Olivia"
Il va se battre, et non pas fuir!


Mais, c'est Olivia qui sauve Conan, suite à un affreux cauchemar...
Les grandes statues maléfiques du temple se réveillent!
-"Tu ne les as pas vues?
Les statues qui bougeaient. Leurs yeux qui luisaient dans les ténèbres!"


Olivia qui se glissera de nouveau, l'épouvante nouant son ventre, dans le temple maudit, pour délivrer Conan, garroté, par des pirates...


Des pirates, des monstres, "un homme singe gris, mangeur d'hommes", un duel entre Conan et Sergius, le chef des pirates... Une jeune femme qui deviendra "La reine de la mer d'Azur" !


Après "La reine de la Côte noire" et "L'ombre du vautour", Howard créait " Chimères de fer dans la clarté lunaire ", en 1932.
" Je ne sais jamais quelle quantité de violence et d'horreur, les lecteurs sont prêts à endurer."
Robert E.Howard.
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Je me suis longtemps demandé pourquoi Virginie Augustin a décidé d'oeuvrer en solo sur une oeuvre mineure de R.E. Howard qui reprendra et améliorera la formule de "Chimères de fer dans la clarté lunaire" dans des récits ultérieurs… Homme de peu de foi que j'étais ! Elle centre encore plus que l'auteur texan le récit sur la courtisane Olivia qui comme chaque être humain souhaite écrire son destin de ses propres mains : Girl Power ! Malgré le cahier des charges le récit n'a pas pour héros Conan mais a pour héroïne Olivia… Face aux civilisés, Olivia n'a jamais été traitée en autre chose qu'une femme-objet, mais face à Conan elle découvre un homme qualifié de barbare qui au lieu de prendre de force préfère de bon gré recevoir (c'est toute la différence entre les optimates qui se croient tout permis et les populares qui se content de profiter de ce que le vie leur offre). Conan a toujours été perçu et utilisé par son concepteur comme un « problem solver », et ici le problème à résoudre est double : survivre en sauvant Olivia des périls qui la menacent et qu'elle ne pourraient jamais affronter seule, mais d'abord et surtout aider Olivia à s'accomplir en devenant la femme sans peur et sans reproche qu'elle a toujours rêvé d'être !
R.E Howard ne le savait pas encore mais il utilise des archétypes horrifiques plus modernes que lui et que magnifiera George Romero dans ses films de zombies : Conan et Olivia sont piégés entre la côte tenue par les pirates de la Fraternité Rouge (menace immédiate) et les ruines intérieures peuplées par des créatures de la nuit (menace potentielle), et entre les deux lieux rôde une horreur simiesque qui n'attend qu'une erreur de leur part pour les croquer… le récit commence par Conan prenant tous les risques pour délivrer Olivia, et se clôt par Olivia prenant tous les risques pour délivrer Conan : et pan dans les dents de tous les bien-pensants dont je vous épargnerai les noms et les préjugés hautains qui n'ont cesser de vilipender la misogynie de l'auteur texan de l'entre-deux-guerres… Vous êtes tous hors-sujet donc complètement ridicules (heureusement le ridicule semble ne pas être mortel) !
Je peux juste reprocher 2 choses au bon sinon très bon travail de Virginie Augustin : l'attaque des chimères de fer moment fort du récit ne fait qu'une seule page, et un travail perfectible sur les onomatopées mais j'en avais déjà parlé pour les tomes précédents...
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Un très bon moment de lecture BD (et je n'en ai pas tant que ça cette année, j'avoue avoir un peu de mal à m'y mettre, c'est curieux.) !

En fait je me suis jetée dessus après avoir lu l'avis d'Alfaric, lol, même si sa note n'était pas des meilleures (mais pas si mal non plus).

Chose rare là aussi, je l'ai lu d'une traite. J'ai tout aimé, à la fois l'aventure très aventureuse, les dessins magnifiques et les couleurs, assez sombres, qui collent bien à l'ambiance.

J'avoue ne même plus me souvenir de la nouvelle correspondante (l'ai-je seulement lue, je ne sais ni !), alors que cette bande dessinée est relativement "frappante" par sa qualité. Je trouve qu'ici, le support (cela est du sans doute au talent de l'auteure) se prête remarquablement à magnifier une histoire "alimentaire", comme précisé, de R. E. Howard.

Bref, ça m'a réconciliée avec la série car jusque là j'étais pas du tout emballée par les graphismes adoptés par les différents dessinateurs (mais je ne les ai pas tous, du coup, parce que les BDs, c'est cher, si c'est pour être déçue bah je préfère pas acheter...).
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J'ose le dire, c'est pour moi l'un des meilleures de cette nouvelle collection consacrée à Conan le Cimmérien (ce qui n'est pas la même chose qu'un barbare).
Virginie Augustin (dessinatrice de la fameuse série Alim le tanneur) est une auteure complète qui livre une très belle prestation de l'adaptation de Conan. C'est toujours intéressant d'avoir une vision féminine de ce personnage mythique.

Conan devient le protecteur d'une jolie demoiselle en détresse qui a été obligée de s'évader de la compagnie du souverain d'un royaume auquel elle a été vendue malgré son statut de princesse d'Ophir. Bref, ils sont tout deux obligés de fuir les hyrkaniens qui ne leur veulent pas du bien. Ils vont se retrouver sur une étrange île dans une mer intérieure à la découverte de ruines et de statues assez étranges.

Il y aura beaucoup d'ennemis entre les hyrkaniens, les pirates, les statues de fer totalement horrifiantes ou encore le monstre à la King Kong qui rode sur l'île. Notre héros aura fort à faire.

Au niveau de ce que je n'ai pas apprécié : le fait de désigner des villes ou des endroits qui ne figurent pas sur la carte du monde de Conan qui nous est présenté à chaque volume. Par ailleurs, on n'en saura pas plus sur ces fameuses statues et ce visiteur venu de l'espace. J'aurais aimé avoir un peu plus d'explications. Malheureusement, c'est orienté sur l'action et l'aventure.

J'ai beaucoup aimé le graphisme qui donne des décors absolument magnifiques du marais, de la jungle, de l'île, des ruines. C'est un plaisir pour la lecture. Pour moi, il s'agit de la meilleure dessinatrice de la série tout entière. C'est dire !

En conclusion, encore une très belle aventure de Conan à découvrir.
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Olivia fuit dans les marais. Son tortionnaire est derrière elle, la rattrape. Elle va retrouver la captivité et la souffrance. Mais un homme couvert de sang et de boue s'interpose. Elle est sauve et choisit de suivre ce barbare.

Voici une nouvelle adaptation de Conan le cimmerien qui est plaisante à lire. Au final le vrai personnage central de cette histoire n'est pas vraiment Conan mais bien Olivia qui contrairement à notre barbare va vraiment évoluer au fil du court récit. de femme en detresse au début de l'histoire nous nous retrouvons avec une femme affirmée et sûre d'elle acceptant don destin de paria.
J'ai été un peu moins convaincue par le coté mystique de l'île. Je n'ai pas bien compris la scène du sacrifice entre rêve et réalité. Bien que l'ambiance sombre et la tension palpable due aux statues de fer soient bien rendues.
Globalement je trouve que Virginie Augustin a fait du bon travail au niveau graphique. Les couleurs sont bien choisies et les ambiances bien retranscrites.
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Et ben en voilà un tome qu'il est bien!
Il m'a agréablement surpris avant tout parce qu'ici Conan n'est pas le personnage principal.
Alors il y est bien question de lui, et d'une princesse, qu'il sauve au début, mais ce "huis clos" va vite inverser les rôles. Alors que les deux paria fuient la civilisation, l'un parce qu'il est Conan, l'autre parce qu'elle fut vendu par son père pour avoir refusé d'épouser un prince. Ils se retrouvent plus ou moins prisonniers sur une île, à devoir faire face à plusieurs menaces. Ils doivent d'abord lutter pour leur propre survie, puis contre une menace animale, des pirates qui débarquent, et un truc surnaturel qui sent pas bon.
Au fil du récit, comme je le disais, Conan, un peu trop sûr de lui, alors qu'il se posera en tant de protecteur de la princesse en péril, se retrouvera prisonnier, et c'est la dite princesse qui prendra les choses en main.
Quand on lira l'annexe de fin de Patrice Louinet, on apprendra que ce texte est un doigt d'honneur de la part d'Howard à tous ceux qui le taxaient de misogyne.
Virginie Augustin, ici aux commandes complètes, met magnifiquement en scène cet texte, et la progression d'Olivia, l'héroïne, qui de princesse, deviendra esclave, puis reine de la mer d'Azur aux côtés de Conan. Et comme pour bien marquer son indépendance, elle elle emmènera Conan... et non le contraire... sur les mers...
Côté graphique, j'ai également bien apprécié le travail de l'autrice, les différentes ambiance étant bien rendues par l'utilisation d'une palette distinctes ( les tons verts, bleus, pour les extérieurs luxuriants, les ton bleus sombres pour l'intérieur du monument, et les scènes nocturnes,par exemple).
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A chacun des albums de la (plutôt très intéressante) collection Conan le cimmerien j'hésite longuement entre les deux versions proposées. Je possède la NB grand format de la fille du géant de gel qui est vraiment superbe, tant par le format, papier utilisé que par le rendu graphique des planches non colorisées… mais n'a que peu de bonus (quelques illustrations additionnelles et aucun rédactionnel). La version couleur de Toulhoat et Brugeas et celle-ci de la très douée Virginie Augustin (dessinatrice d'une des meilleurs séries de ces dernières années, Alim le Tanneur avec Lupano) comporte un très intéressant texte explicatif sur la nouvelle qui sert de matériau de base à l'album et permet d'apprendre pas mal de choses sur l'auteur Robert E. Howard. Quelques illustrations d'autres dessinateurs complètent le cahier bonus. Tip-top donc question édition, juste étonnant que Glénat ne propose pas le même contenu sur la version de luxe. Enfin, malheureusement, la couverture ne rend vraiment pas hommage à la qualité graphique d'Augustin sur cet album. C'est étonnant et vraiment dommage…

Cet album est celui que j'attendais le plus depuis le lancement de la série. J'ai gardé un excellent souvenir d'Alim le tanneur, non que le style d‘Augustin soit absolument original, mais il se dégage de ses dessins un mouvement, une ambiance vraiment particulière. Il me semble qu'il s'agit en outre du premier album en solo de l'autrice et je dois dire qu'elle s'en sort remarquablement bien. L'adaptation des nouvelles Conan ne vise pas à révolutionner le scénario de BD. Il s'agit surtout d'une vision graphique d'auteurs confirmés et sur ce plan Augustin parvient à insuffler un esprit féministe très intéressant dans ce monde barbare où le Conan classique avec son slip de peau est conservé, pour mon plus grand plaisir (je suis un enfant de Conan le barbare, le film de John Milius!).

Dès les toutes premières pages la sauvagerie du cimmérien s'illustre, taillant en morceau le poursuivant de la donzelle. Si l'on ne voit que très subrepticement les palais des Hyrkaniens on en regretterait presque que l'autrice ne s'attarde pas plus sur cet univers des mille et une nuits où son dessin prends toute sa force en des matières subtiles. Mais le sujet est autre, fait d'île tropicale devant servir de piège pour les deux fuyards, en migrant vers l'univers de la piraterie que nous laisse deviner la conclusion très alléchante… mais que l'on ne verra jamais. Car on touche là une des limites de cette série, son format, variable selon les auteurs mais relativement proche d'un format classique de 46 planches… ce qui est trop peu pour pouvoir donner toute l'ampleur d'une histoire sauvage en one-shot. Il nous faut donc prendre ce que l'on nous offre avec ce petit regret.

Si la physionomie du barbare semble au début hésiter avec une étonnante gueule carrée presque néandertalienne (les croquis finaux nous montre les différentes versions), la subtilité du personnage surprend, lorsque la fille, incarnation de la faiblesse, craint de se faire viol(ent)er par lui. L'homme armé de son épée est sans peur dans l'espace ouvert de la forêt et y protège la fille. Dès qu'ils pénètrent dans l'étrange temple aux statues de fer le caractère féminin, perméable aux esprits, se connecte avec l'histoire du lieu pour avertir l'homme du danger. On aurait encore une fois aimé que soit poussée cette relation et l'histoire du personnage lumineux, mais il n'y avait pas la place. Cela permet cependant de garder cette part inquiétante que produit le genre fantastique, le lecteur ne sachant jamais le pourquoi du comment. L'équilibre est du reste parfait entre combats hargneux, début d'intrigue et pauses contemplatives sur les paysages luxuriants magnifiquement colorisés par Virginie Augustin. Tout est juste dans cet album, des dessins au découpage qui se permet quelques superbes pleines pages, dont cette séquence de massacre rouge remarquablement construite.

Un peu de frustration donc, avec une histoire qui se rapproche un peu du Colosse Noir, avec sa magie et sa relation homme/femme, les deux auteurs de celui-ci ayant pris quelques pages de plus pour finaliser une histoire qui s'avère ainsi plus confortable. Mais Virginie Augustin nous propose ce que l'on attend, une vraie histoire de Conan que l'on aurait très sérieusement envie de voir continuer ses aventures sur la mer intérieure. Pour ma part j'ai commencé à lister les albums d'Augustin que je n'ai pas encore lus avec une grande envie de rattraper mon retard! Et cet automne la version de Vatine et Cassegrain arrive alors que 2020 prépare du très lourd avec rien de moins que Valentin Sécher, Timothée Montaigne et Stepan Sejic…
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Virginie Augustin opère en solo avec "Chimères de fer dans la clarté lunaire", le sixième de la série "Conan le Cimmérien" édité par Glénât, une oeuvre mineure de Robert E. Howard.
Le résultat est bluffant, Virginie Augustin réussi à transcendé cet histoire et on ne s'ennuis pas une seconde, le scénario est rythmé et dynamique, les temps morts sont des virgules dans ce one shot.
Il y a de l'action dans ces contrées sauvages, Olivia est en fuite le Sha Amurath un puissant seigneur Hyrkanien la pourchasse, quand au sortir d'un marais, Conan son pire ennemi apparait. Bien sur Conan vat dépecer ce scélérat d'Hyrkanien et s'enfuir en barque sur la mer de Vilayet avec Olivia pour échouer sur l'île des statues de fer...
Ce récit n'a pas Conan pour seul héros, si elle ne viens pas du même milieu, Olivia a en elle une grande force, une soif d'aventure et de liberté hors du commun. de plus Olivia a toujours été traitée en femme-objet, elle vat découvrir avec Conan un homme qui n'utilise pas sa force pour la possédée. Un état de fait qui va pousser Olivia à l'action et faire d'elle cette femme libre qu'elle rêvait d'être. Si au début de cet histoire Conan ne se pose pas de question pour délivrer Olivia, c'est dans le même état d'esprit qu'elle délivre Conan, et décide de sillonner les mers avec lui.
Virginie Augustin réussi le pari de faire seul cet bande dessinée et elle s'en sort à merveille, sont graphisme est une grande réussite et se prête à toutes les ambiances. Cet épisode s'inscrit dans les tous meilleurs albums de la série, à croire que Conan a vraiment besoin des femmes pour donner le meilleur...
Un album indispensable à la collection la grande classe !
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Je ne suis pas une fan de Conan le cimmérien que je découvre au fur et à mesure avec cette série.
Ce tome est sympathique et distrayant. il fonctionne plutôt bien, avec de la bagarre, des voyages, de beaux paysages sauvages, du mystère, une petite amourette. Mais le tout reste assez superficiel. Surtout sur les chimères de fer. On n'a peu d'explications.
Conan n'est pas très détaillé. Froid on ne sait rien de lui à part un bref parcours. Au final on suit plus Olivia qui prend sa vie en main. Elle a quelques côtés nunuches mais elle est sympathique sans être hyper attachante. Tous les deux font un duo qui ressemble un peu à la belle et la bête.
Les dessins sont sympathiques. Olivia, les paysages et les animaux sont tout particulièrement bien réussis.

Une lecture qui permet un bon moment sans prise de tête.
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Les Francs Compagnons ont vécu.

Pris dans une embuscade près des berges de l'Ilbars, les la troupe de 5,000 hommes Kozaki dont faisait partie Conan de Cimmérie a été décimée par les 15,000 soldats de Shah Amurath.

Mais Conan s'en est sorti. Assurément le seul rescapé qand on connait le sort réservés aux survivants de la bataille... seuls les vautours pourraient encore en parler.

En errant dans les marais à la recherche d'une embarcation pour quitter cet endroit maudit, Conan n'en croit pas ses yeux, il tombe nez-à-nez avec Shah Amurath en personne, seul, en train de malmener une jeune fille, Olivia.

L'occasion est trop belle, voici venu le temps de solder le compte qui les oppose...
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