Belém:
Belém et sa jet-set,
Belém et ses excès,
Belém et ses vices,
Belém et ses morts,en l'occurrence celle de Johnny coiffeur à la mode et très demandé. Et au milieu Gilberto Castro,flic efficace dans ses enquêtes qu'il peut l'être quand il dégoupille face à la boisson.
C'est sombre,c'est violent,c'est abrupte,c'est cruel et le tout est superbement mise en scène par un
Edyr Augusto qui nous offre toute une série de portraits,toute une galerie de personnage qui apportent tous quelque chose à l'histoire.
Moscow:
un récit court mais terriblement dense et violent.
Edyr Augusto s'éloigne de l'enquête classique pour suivre à la manière d'un Larry Clarke au ciné une jeunesse,dorée ou non, de Mosqueiro aka
Moscow près de
Belém. une jeunesse qui ne se refuse rien,qui prend tout ce qu'elle veut comme elle veut quand elle veut sans même penser une seule seconde aux conséquences de ses actes.
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