Deux courts textes de jeunesse.
Le premier texte, très court, est assez larmoyant et n'a guère qu'un petit charme d'époque (et la jolie désinvolture avec laquelle l'histoire est dénouée en quelques phrases)
Mais le second, nettement plus développé, est d'une causticité réjouissante, et on y déguste, déjà, l'esprit, l'observation, le ton de
Jane Austen.