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Malgré le thème abordé, ce roman était facile à lire, et pas ennuyeux... La fin est surprenante mais cela ne se termine pas en happy-end. Mais il y a de l'espoir pour la génération future... |
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Malgré le thème abordé, ce roman était facile à lire, et pas ennuyeux... La fin est surprenante mais cela ne se termine pas en happy-end. Mais il y a de l'espoir pour la génération future... |
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Magnifique écriture, comme d'habitude, et empreint de nostalgie et de tristesse ! Je suis fan !!!
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![]() | Myrinna 09 novembre 2010
Séparés, atomisés, passés au grand mixeur, les humains ne formaient plus qu'un jus tiède, et sans saveur. Une pâte informe d'où émergeaient quelques grumeaux indigestes.La broyeuse avait son oeuvre.
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![]() | rkhettaoui 02 février 2015
L’amour, évidemment, aurait tout résolu. Même dans ses eaux les plus troubles, la passion comporte des parts de vérité. Cette vérité qui incendie et apaise dans un seul élan. Notre regard est alors nettoyé des poussières qui le polluent à l’accoutumée. Il porte loin et clair. Une caresse inédite, une pression de la main, un sourire qui gagne les yeux peut suffire. Par la grâce de quelques gestes insignifiants, d’une phrase simple prononcée et recueillie dans son éclat originel, tout s’éclaircit. Les choses et les êtres redeviennent nus, limpides.
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![]() | l-opulence-de-la-nuit 26 juin 2011
Ce dont Christophe ne se doutait pas, c’est que nous l’aimions mais que nous ne le comprenions plus. Même moi, par moments, j’en avais assez. Il me lassait.
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![]() | rkhettaoui 02 février 2015
La nostalgie est une méchante maladie. Subrepticement, les souvenirs reviennent, à la faveur d’une lumière, d’un instant, d’un reflet de soleil dans un regard ou des cheveux, mais on ne vit pas sur les tendres stocks des jours heureux. Ce sont des poisons qui vous détruisent à la manière d’une drogue dure distillant une euphorie aussi volatile que dangereuse.
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![]() | Zephirine 05 mai 2020
Un ksss-ksss massif garantissait l'impunité au chœur des trublions. en revanche, un ksss-ksss solitaire risquait de désigner son auteur et la marginalité de l'impétrant stigmatisait le ridicule de la situation
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Françoise Sagan : "Le miroir ***"