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J'ai beaucoup aimé certaines et de détestée d'autres, il y en a même qui n'ont rien à faire ici, mais ça ce n'est pas à moi d'en juger. Dans l'ensemble j'ai apprécié de recueil malgré que la SF demande un minimum d'indices pour qu'on puisse s'impliquer complètement dans l'histoire. Je trouve, personnellement, que cette forme de lecture est un peu rapide pour pouvoir apprécier à sa juste valeur. La SF doit permettre au lecteur de pouvoir plonger complètement dans ce monde…

1 Echelon – Thomas Day :
Avalon est une enfant prématuré et aveugle, après son passage dans une couveuse il peut communiquer avec les machines. J'ai beaucoup aimé, très intéressant.
2 Satisfecit – Stéphane Beauverger
Le virtuel a pris une place importante dans la vie des gens. le slogan : « Pour bâtir ensemble une vie de confiance, lâchons ouvertement la brise à nos envies cachées » … Alors là j'ai vraiment apprécié, cette nouvelle mériterait un développement plus important… voir même un lire.
3 Les évènements sont potentiellement inscrits et non modifiables – Bernard Camus
Bureau d'étude des systèmes et cybernétique – Communiqué de presse. 3 pages… pas assez pour me prononcer.
4 SPAM – Jacques Muchielli
Daniel, ancien militaire retraité est devenu SDF. Il entend des pubs dans sa tête… d'où sera vient-il ??? Quand cela va s'arrêter ??? J'ai bien aimé.
5 78 ans – Camille Leboulanger
On a inventé un traitement pour rajeunir… dans se monde tout le monde a moins de 40 ans… sauf Jacques… Là aussi j'ai beaucoup adhéré, l'idée est excellente je devrais même dire, à développer…
6 Paysage urbain – Ayerdhal
Étrange nouvelle sur le restructuration d'une ville… ??? Je n'ai pas aimé.
7 le regard – Jérôme Olinon
Notre héros a un implant dans l'oeil qui registre tout ce qu'il voit… Pas mal
8 Remplaçant – Gulzar Jaby
Un groupe d'enfants se font remplacer par d'autres pour déjouer la surveillance électronique de leurs parents… Mais jusqu'au jour où ils ne peuvent plus faire cet échange… les détecteurs sont implantés en eux ! Alors là, celle là est très bonne !!! j'ai vraiment beaucoup aimé, ça pourrait faire une très belle histoire pour un roman complet…
9 Ghost in a supermarket – Eric Holstein
Dans cette nouvelles les héros on des noms de personnages de films fantastique. l'‘histoire se passe dans le monde virtuel du web, une présence humaine est délectée… il s'agirait su dernier humain ??? le dernier homme ??? Excellent !!! j'ai vraiment aimé, encore un très bon sujet pour un livre…
10 Trajectoires – Danel
Il n'y a plus de crime depuis 2 mois. Depuis qu'on peut les prédire. Jusqu'au jour… Pas mal
11 Sauver ce qui peut l'être – Prune Matéo
Une nouvelle vision de la perte de liberté de penser, ça fait peur !
12 Annah à travers la Harpe – Alain Damasio
Totalement incohérent avec le sujet. Je n'ai pas du tout aimé.
13 Des myriades d'arphides – Sébastien Cevey
Vie virtuelle grâce à un masque de réalité augmenté. J'ai bien aimé.
14 Vieux salopard – Paul Beorn
Trouver un job dans les assurances avec un salaire exorbitant, pas de problème… sauf que là… tout se complique… J'ai vraiment beaucoup aimé, excellent !!!
15 Un spam de trop – Philippe Curval
Une zone blanche où aucune couverture d'ondes est possible… plus Internet, plus de portable, mais est-ce vraiment légale ??? La recherche de l'anonymat numérique… sujet que j'aime beaucoup !!!
16 Maîtres et fuir – Léo Henry
Drôle de dentiste…
17 le point aveugle – Jeff Noon
Un poème… la vie… pour finir c'est sympa et très poétique…
Lien : http://tousleslivres.canalbl..
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Pour ma première participation à l'opération Masse Critique, j'ai eu le plaisir de recevoir Ceux qui nous veulent du bien. Je remercie à cet effet Babelio et les éditions La Volte pour m'avoir permis de découvrir ce bouquin sur lequel je lorgnais depuis son annonce même. Sous la couverture bizarre, sous ces motifs évoquant le silicium technologique, se trouvent 17 nouvelles rapportées d'un futur bien géré. Et comme toujours en pareil cas, tous les récits ne se valent pas.
L'ouvrage s'ouvre sur la préface de Dominique Guibert, secrétaire général des Droits de l'homme, qui nous rappelle succinctement les dérives sécuritaires et technologiques pour un meilleur bien-être. C'est donc avec Thomas Day qu'on rentre dans le propos. Son récit nous raconte l'histoire d'un jeune garçon doté de pouvoirs technologiques, subséquemment poursuivi par les gouvernements. Comme parade, le garçon utilise les armes de l'ennemi. le style très sec, le récit à l'allure de résumé et le propos sous-jacent ne parviennent pas vraiment à convaincre. de suite après c'est Stéphane Beauverger qui prend le relais avec Satisfecit. Ecrit à la première personne, comme la majorité des autres nouvelles, le texte nous plonge dans un monde où plus personne n'a rien à cacher ; la virturapie prévient les comportements déviants en les « absorbant ». La forme du thriller, retenue pour la circonstance, se montre efficace, et l'on sent une certaine influence qu'il convient de dissimuler pour ne rien dévoiler de préjudiciable.
De Bernard Camus, Les événements sont potentiellement inscrits et non modifiables fait figure d'interlude. Une confrontation entre les buts avoués et les objectifs recherchés dont la presse se fait l'écho. On enchaîne avec Spam, de Jacques Mucchielli, certainement le meilleur texte de l'anthologie. On y suit un ancien soldat, désormais SDF, infecté par les messages publicitaires. le propos est non seulement captivant, mais le style dynamique de l'auteur assure à son héros un charisme certain. Juste après, Camille Leboulanger, jeune auteur de 19 ans, déçoit quant à lui. D'une manière plutôt attentiste, il dénonce le jeunisme ambiant. le sujet aurait mérité d'être plus profondément creusé, en dépit du format imposé.
Avec Ayerdhal et Paysage urbain, on s'éloigne des critiques gouvernementales pour venir attaquer de front l'agencement urbain. La thématique inattendue son traitement se révèle fort instructive ; Ayerdhal nous expose les implications sociales issues d'un réaménagement citadin à l'occasion de la présentation d'un projet de ce genre aux conseillers municipaux. On enchaine avec Jérôme Olinon et Regards, qui défend ici l'immigration et l'homophobie. Assez banale, la nouvelle se lit néanmoins sans déplaisir, même si l'on peut se perdre dans certains fragments déchronologiques de la narration.
Gulzar Joby se montre plus inspiré que son prédécesseur avec Remplaçants. Il met en scène une bande de gamins des quartiers riches désireux d'explorer les banlieues. Pour cela, ils engagent des remplaçants chargés de revêtir leurs oripeaux bardés de quincaillerie technologique, et de suivre le planning prévu. Simultanément émouvante et angoissante, l'auteur revoie avec efficacité le coup classique de l'enfant privé de liberté. Il ne sera pas compliqué pour les adolescents ou jeunes adultes de s'identifier à ces riches prisonniers.
On embraye avec Eric Holstein et sa nouvelle au titre (et au contenu) parodique, Ghost in a supermarket, qui nous envoie à la traque d'un fantôme électronique ne se laissant pas aisément identifier, au grand dam d'une compagnie de flicage numérique. Malgré une plume détendue, le texte manque de punch, et la chute ne parvient pas à éclaircir la trame. On s'enfonce encore dans la déception avec Trajectoires, de Danel. La nouvelle aurait pu être un plagiat de Minority Report si l'auteur n'avait pris soin d'inclure d'autres clichés avec leurs gros sabots. Sans conteste le texte le plus faible de l'anthologie, mais malheureusement pas le plus court.
Matéo Prune relève (un peu) le niveau avec Sauver ce qui peut l'être. Sans être formidable, la nouvelle nous décrit un monde où le droit au secret n'est plus respecté, où chacun et surtout son conjoint se doit de connaître les moindres aspects de la vie de l'autre, jusqu'à disposer d'une mémoire numérique.
Puis Alain Damasio fait son entrée et se démarque clairement des autres textes avec Anna et la Harpe. Ceux qui ont lu La Zone du Dehors ne seront pas étonnés de voir l'auteur prêcher pour une émancipation vis-à-vis du technococon dans lequel nous évoluons. D'un style plus « calme » que ses romans antérieurs, le clavier de l'écrivain ne s'en montre pas moins agréable et immersif.
Au tour de Sébastien Cevey d'exercer son talent avec Des myriades d'arphydes, qui parle d'un geek –qui tord volontairement le cou aux idées reçues – luttant pour un meilleur respect de sa vie privée. Si le propos et le déroulement sont dignes d'intérêt, j'ai été frustré que l'auteur ne prenne pas plus le temps de poser son histoire, on le sent restreint par le format au vu de certaines situations un peu embrouillées, tout comme le héros pas toujours clairement positionné.
Puis Paul Beorn s'attaque au contrôle du corps avec Vieux salopard, à travers un nouvel employé manipulé par une puce qu'il s'est vu implanter. Sans surprise, le constat est assez effrayant, de même que la chute. Philippe Curval prend la relève avec Un spam de trop, un texte assez effrayant sur la collecte d'informations privées. Afin de se retrancher dans l'anonymat complet, un journaliste plaque tout du jour au lendemain pour aller cultiver des légumes dans un coin paumé. Là encore, on assiste à l'impuissance du protagoniste. Pour clore l'anthologie, Jeff Noon nous propose un texte court mais intriguant, aux consonances poétiques et entêtantes.
Au final, cette anthologie se montre assez pléthorique en terme de sujet abordés : vie privée, rapport à la technologie, déviances, contrôle mental, gestion des masses, flicage permanent ou encore surveillance « préventive » sont de la partie. On regrettera seulement le traitement inégal qu'il est fait de ces sujets. Malgré tout, Ceux qui nous veulent du bien se révèle être une bonne piqure de rappel vis-à-vis des dangers qui nous guettent.

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Imaginez un monde futuriste oppressant où tout est contrôlé, surveillé, fliqué, plus ou moins avec la complicité d'une opinion publique suffisamment amollie pour être consentante. le Sarkoland dans vingt ans? le stalinisme porté à ses dernières extrémités? La tyrannie du marché tout-puissant? le grand retour de Gattaca? Telles sont les idées directrices, éminemment proches d'une certaine actualité, du recueil de nouvelles collectif "Ceux qui nous veulent du bien", sous-titré "17 mauvaises nouvelles d'un futur bien géré", qui vient de paraître aux éditions La Volte. Vous sentez-vous fliqué, ici et aujourd'hui? C'est que vous n'avez encore rien vu. Vous avez lu "La tyrannie technologique", paru aux éditions L'Echappée? Vous serez alors proche de certaines idées mises en évidence par ce livre. Les auteurs des nouvelles de ce recueil, jeunes débutants ou écrivains chevronnés (ou trouve la trace de Philippe Curval ou d'Ayerdhal, côtoyant Sébastien Cevey ou Gulzar Joby), ont de l'imagination à revendre pour concevoir des utopies où l'on ne peut rien cacher et où la technologie est toute-puissante, jusque dans ses plus graves dérives.
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Comme toujours dans un recueil de nouvelles d'auteurs différents, certaines m'ont beaucoup plu, d'autres moins. J'ai trouvé ce recueil moins inégal que le jardin schizologique, son prédécesseur aux éditions La Volte. Comme dans ce dernier, les nouvelles de Stéphane Beauverger et Alain Damasio font partie de mes préférées : il faudrait que je me penche sur leurs oeuvres respectives. ;-)

Petit panorama par nouvelle :

Echelons - Thomas Day
Assez peu crédible mais agréable à lire.

Satisfecit - Stéphane Beauverger
Bien construite, le propos est clair, le monde décrit cohérent, l'histoire prenante.

Les événements sont potentiellement inscrits et non modifiables - Bernard Camus
Nouvelle très courte d'à peine 3 pages ; je n'ai pas vraiment compris le propos, pas trop accroché donc.

Spam - Jacques Mucchielli
Parfois un peu obscure, cette nouvelle développe une idée peu réjouissante : le spam directement implanté dans le cerveau. Après relecture de certains passages, l'histoire se clarifie. J'ai bien aimé la phrase finale.

78 ans - Camille Leboulanger
Pas très originale, d'un intérêt moyen...

Paysage urbain - Ayerdhal
Une très bonne nouvelle, pas du tout SF mais au contraire très réaliste. Elle donne vraiment froid dans le dos tant on se dit que si tout est vrai, on se laisse vraiment manipuler comme des c*ns, et même par des discours à l'apparence inoffensive voire carrément sympathique...

Le regard - Jérôme Olinon
Je n'ai pas réussi à comprendre un élément important de l'histoire, ainsi que la fin, ce qui me laisse un sentiment général très mitigé...

Remplaçants - Gulzar Joby
"Tranche de vie" bien décrite et extrapolation intéressante de l'obsession de la sécurité à tout prix pour les enfants.

Ghost in a supermarket - Eric Holstein
Après un début intrigant, les personnages et la situation se clarifient. Dommage que je n'aie jamais vraiment compris pourquoi ils parlaient d'un "Dernier homme", et que la fin soit obscure aussi, car la construction et la narration sont agréables et bien maîtrisées.

Trajectoires - Danel
Une des nouvelles que j'ai préférées ; le monde, ses technologies et ses dérives sont très bien dépeints. le personnage de Kraken, au début antipathique, prend peu à peu corps et devient humain, lui qui apparemment ne l'est plus tout à fait. Un petit clin d'oeil à Minority report , ou en tout cas un sujet similaire, bien traité.

Sauver ce qui peut l'être - Prune Mattéo
Là aussi une fin un peu obscure (ou est-ce moi qui suis obtuse ??!), mais qui ne gâche pas l'ambiance mélancolique de la nouvelle, située soit dans un monde différent du nôtre, soit dans un avenir suffisamment lointain pour que le quotidien des personnages inclue des petits détails inconnus, étrangers et qui donnent une identité propre à cette histoire.

Annah à travers la harpe - Alain Damasio
Histoire émouvante, là aussi sur le thème des enfants et de ce qu'on peut perdre à trop vouloir les protéger, mais surtout hymne à l'amour d'un père pour sa fille, écrit dans une langue très belle et évocatrice.

Des myriades d'arphides - Sébastien Cevey
Intrigue un peu attendue et "facile", bien que les idées soient bonnes et l'histoire agréable à suivre.

Vieux salopard - Paul Beorn
Histoire bien menée, bien qu'un peu cliché et que la fin ne soit pas tellement une surprise.

Un spam de trop - Philippe Curval
Début assez jubilatoire, fin plutôt déprimante. Histoire intéressante et presque réaliste là aussi...

Naître et fleurir - Léo Henry
Encore une nouvelle dans laquelle je n'ai pas compris un élément qui me paraissait important (ici le métier précis du protagoniste principal). Malgré tout, une construction et une écriture originale.

Le point aveugle - Jeff Noon
Une nouvelle très courte pour finir le recueil, sur une note un peu plus optimiste malgré l'ambiance mélancolique de l'histoire, un pied de nez à la technologie et une réaffirmation du pouvoir des émotions humaines.
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Comme souvent un recueil de nouvelles, "Ceux qui nous veulent du bien" est inégal au fil de ces 17 visions très noires de notre futur (présent ?) technologique. A souligner en introduction, ce recueil est préfacé par Dominique GUIBERT, secrétaire général de la Ligue des Droits de l'Homme. le ton est donné : il s'agit d'entrer en résistance contre une société de surveillance qui, à l'aide de technologies d'observation, de traçabilité et d'enregistrement, capture tous les faits, gestes et pensées de tout un chacun.
(à suivre)
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Un recueil inégal mais qui présente quelques très bonnes nouvelles, notamment celle de l'excellent Alain Damasio et quelques auteurs que je ne connaissait pas encore. le thème de la surveillance technologique et du durcissement sécuritaire n'est pas nouveau en science-fiction mais se dessine de plus en plus précisément au quotidien et il est important que la littérature accompagne et critique cette progression.
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Quelle belle initiative que ce recueil de science-fiction, édité en 2010 par La Volte, qui nous propose sous la plume de 17 auteurs de science-fiction de nous faire entrevoir ce que pourrait être notre avenir, ainsi que les risques qui nous attendent suite à l'évolution technologique. Et c'est un monde, plusieurs même, fait de contrôle et de surveillance généralisé, d'imposition à des normes sociales uniques, de mode de consommation standardisé... Et gare à celui qui tente d'y déroger ! Webcams, bases de données privées, génétique, tout peut être facilement contrôlé.
Et pour ce recueil assez unique en son genre, du moins dans l'édition française, La Volte a su rassembler 17 des auteurs les plus en vue de la science-fiction française dont Thomas Day, Stéphane Beauverger, Eric Holstein, Ayerdahl, Alain Damasio, ainsi que l'anglais Jeff Noon. La préface est rédigée par Dominique Guibert, le secrétaire général de la Ligue des droits l'Homme. Car c'est bien de cela qu'il s'agît : de nos droits et des dangers q'uils risquent d'encourir dans un futur pas si lointain que cela.
Concernant les nouvelles sélectionnées, on apprécie vite le choix de certaines, hélas d'autres paraissent totalement hors sujet. Certaines sont très originales, d'autres beaucoup moins. le résultat laisse quelque peu indifférent, malgré que de nombreux textes ont du moins le mérite de marquer le lecteur. Notons l'excellent Satisfeict de Stéphane Beauverger et Spam de Jacques Muchielli qui tirent clairement leur épingle du jeu que ce soit du côté éditorial, càd. Bien dans la ligne du sujet, et par la force de leur texte.
Mais le reste final de cette anthologie laisse un peu songeur. Finalement ce n'est peut-être pas tant ce recueil qui est à critiquer mais plutôt, au vu des auteurs présents, la science-fiction française qui sait se montrer à la fois multiple et originale sans pour autant toujours convaincre.

Ceux qui nous veulent du bien est une anthologie assez inégale, certains textes sont saisissants, d'autres le sont beaucoup moins. du moins elle nous permet un beau survol de ce qu'est la science-fiction française d'aujourd'hui, dans laquelle il reste encore à trier le meilleur du pire.
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