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Critique de Daisybraille
Et voilà, grand Charles ! Je viens de refermer ce livre magnifique, et j'entends encore distinctement les voix de toutes les personnes mentionnées... ou presque, il y en a tant ! A commencer, bien sûr, par mes chers Compagnons de la Chanson, Edith Piaf, Mireille, Jean Nohain, notre gentil Jaboune, Maurice Chevalier... J'en passe, et des meilleurs ! Ces personnes qui, dites-vous grand Charles, ont bâti votre vie, fait de vous ce que vous avez été jusque la fin de vos jours, fidèle à votre métier. Chaque jour sur le métier, remettez votre ouvrage : c'est ce que vous ne vous êtes jamais lassé de faire.
Avec Aznavour, nous voyageons dans plusieurs pays : sa bien-aimée Arménie, l'Europe, l'Amérique latine et du Nord... Cette vedette a vu tous les continents, sans avoir jamais le temps de bien visiter car toujours le travail l'appelait.
Maintenant, j'entends la plainte du duduk, cette magnifique flûte du pays natal de la famille, cet instrument qui vous aidera, grand ami Charles mais que je n'ose tutoyer car je sais que vous n'aimiez pas la familiarité, de reposer en paix et, de temps à autre, de chanter pour les anges en marche.
Avec Aznavour, nous voyageons dans plusieurs pays : sa bien-aimée Arménie, l'Europe, l'Amérique latine et du Nord... Cette vedette a vu tous les continents, sans avoir jamais le temps de bien visiter car toujours le travail l'appelait.
Maintenant, j'entends la plainte du duduk, cette magnifique flûte du pays natal de la famille, cet instrument qui vous aidera, grand ami Charles mais que je n'ose tutoyer car je sais que vous n'aimiez pas la familiarité, de reposer en paix et, de temps à autre, de chanter pour les anges en marche.
