André Baillon est un
Dostoïevski de langue française. Des interrogation existentielles, des personnages fragiles et éclatés. C'est quoi cette foutue simplicité...
Un drôle de texte, un drôle de type, de drôles de scènes issus d'un quotidien plat commun.
J'ai été happé dès le premier mot du livre, et ai continué à la fois dans la tête et dans les mots et ai souffert avec le sourire ou souri dans la souffrance de ce personnage double de Baillon.
La lecture de
Maria Chiara Gnocchi est un plat additionnel appréciable.
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