C'est l'histoire d'un groupe de mercenaires bien décidé à mettre la main sur de l'or... Même pas peur ...
Deuxième Tome de la saga Zombiesque le dernier Bastion, Fournaise retrace la genèse du virus responsable du massacre dans le 1er opus.
Nous changeons de décor et arpentons le désert caniculaire de l'Irak, ses aspérités, son immensité de sable et la dangerosité de ses recoins.
Cet opus m'a moins enthousiasmé que le premier mais je reste toujours extrêmement excitée par ce genre d'histoires. On a vraiment l'impression d'y être et j'adore ça. C'est juste génial.
Il fait chaud, on transpire, on bouffe du sable et c'est un vrai régal de lecture.
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Sentiment mitigé voire déception pour ce T2 qui est le moins bon de la trilogie. Les personnages n'ont pas réussi à me captiver ou à se montrer attachants. La plupart des protagonistes de la série sont souvent caricaturaux et manichéens, mais ce fut pire ici… Seule l'ambiance et l'effet page turner avaient réussi à me tenir en haleine…
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Le Moyen-Orient est constamment agité par la guerre et les révolutions. Les billets de banque ont la fâcheuse tendance à perdre leur valeur. Et la plupart des habitants préfèrent faire confiance aux agents hawala locaux qu’aux banques.
En principe, ça aurait dû être chose simple. Mais l’avidité et la méfiance se sont glissées dans nos rangs comme une maladie contagieuse. Nous nous sommes scindés en factions armées où chacun se méfiait de son frère. Il y a eu beaucoup de trahisons dans les camps. Les bagarres sont devenues des batailles.
Plusieurs bossent pour la CIA ou pour des sociétés de biotechnologie privées, Dieu sait pour y faire quoi. On dit que certains se sont pointés au Kosovo pour y récupérer des membres humains ou des organes pour des richards sous dialyse. Paraît qu’ils utilisent les camps de prisonniers de guerre comme banques d’organes.
Faut pas avoir honte d’avoir la trouille, petit... Il n’y a que les malades qui n’ont jamais peur.
C’est une question de volonté. Mettez un homme dans un environnement extrêmement hostile comme le désert, ou isolez-le au cœur de l’Arctique, et vous verrez ce qui se cache au fond de son cœur.