« Nous avons devant nous un gros chat habillé comme un gentilhomme, et ça ne nous est pas venu à l’esprit de le papouiller ? » (p. 18)
« J’avais été idiot de penser que ce voyage serait trop dangereux pour vous. Au contraire, c’est sans vous qu’il aurait été dangereux. » (p. 215)
Au sujet des masques : « Ce sont des œuvres d’art, d’ornementation, des objets de cérémonie ou de transformation. » (p. 5)
« Moi qui porte justement des masques pour ne pas être jugée à ma tête, je regarderais les autres avec trop d’insistance ? » (p. 105)
« C’est impossible, mais on va quand même le faire. » (p. 139)
Je ne sais pas mentir aux gens honnêtes. Heureusement qu’il n’y en a pas beaucoup.
Je pense que tout est lié. La nature, tout l’univers, est comme un grand organisme, un dragon gigantesque dont nous serions les écailles. Certaines écailles se touchent, d’autres sont éloignées, mais celle qui est sur le crâne du dragon est tout de même reliée à celle qui est au bout de sa queue.
Normalement, seuls les cochons grognent.
Il me semble d’ailleurs que le verbe « grogner » a la même racine que le mot « groin ». Il faudrait que je vérifie.
Donc si vous n’avez pas de groin, vous ne pouvez pas grogner. C’est aussi simple que ça.