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EAN : 9782755503494
61 pages
1001 Nuits (11/11/1998)
3.53/5   238 notes
Résumé :
Après Ferragus et La Duchesse de Langeais, La Fille aux yeux d'or clôt en 1834 la trilogie de l'Histoire des Treize, où Balzac invente une sorte de communauté consacrée au service du diable.
Niché au cœur de Paris, l'hôtel particulier des San-Réal est une enclave orientale qui abrite les amours saphiques de la marquise de San-Réal, sorte d' "Othello femelle" et de Paquita, la Fille aux yeux d'or. Mais la jeune fille est également convoitée par Henri de Marsay... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (40) Voir plus Ajouter une critique
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La Fille Aux Yeux D'Or est une longue nouvelle écrite dans ce style toujours aussi plaisant pour ceux qui affectionnent la prose De Balzac. En revanche, sa construction n'est peut-être pas un modèle du genre à montrer dans les écoles d'architecture littéraire...

Je la qualifierais de " romantique ", au sens le moins attrayant du terme, à savoir, une histoire d'amour — d'amour impossible, cela va sans dire —, où l'auteur semblait tellement pressé de faire en sorte que ça finisse mal que j'avoue ne pas avoir pleinement compris d'où venait l'impossibilité.

Les protagonistes — autre poncif —, sont beaux comme des statues grecques, intelligents comme pas deux, riches, etc. Bref du gros romantique qui tache, comme j'ai peine à le lire, et une nouvelle qui n'aurait en soi pas grand intérêt si elle n'était ourdie par la toujours précieuse analyse sociale De Balzac.

En particulier, le tout début de la nouvelle (qui n'a pas grand-chose à voir avec la suite) où notre sacré Honoré nous peint un portrait aux petits oignons de la société parisienne et qui — chose quasi incroyable —, pourrait presque être encore d'actualité de nos jours (bien sûr c'est une provinciale qui s'est fait rabrouer plusieurs fois par la légendaire amabilité parisienne qui vous parle). Évidemment qu'il y a un peu de caricature là-dessous, mais peut-être pas autant qu'on voudrait bien nous le faire croire dans les guides touristiques... Demandez aux touristes, pour voir...

Les personnages : un homme, Henri de Marsay, une vieille connaissance des adeptes de la Comédie Humaine, fils illégitime d'un lord anglais, beau, fort, riche, intelligent ; la femme, Paquita Valdès, géorgio-cubano-hispano-je-ne-sais-trop-quoi (même Balzac semble ignorer au juste le pedigree de son héroïne), belle au point que Monica Bellucci, dans ses grandes heures, c'était pas grand chose à côté ; évidemment ils s'adorent, ils sont prêts à mourir l'un pour l'autre (Henri un peu moins peut-être, c'est du Balzac quand même, il y a bien la petite gousse de cynisme attendue).

Vous dire pourquoi leur amour n'est pas réalisable, je ne sais trop, j'ai dû rater un passage bien que je n'en ai pas l'impression. En somme, fallait que ça capote à la fin, par tous les moyens possibles (et d'ailleurs, si aucun moyen n'est possible, Balzac n'est jamais à court de moyens impossibles).

Vous l'aurez compris, cette nouvelle n'est pas, et de loin, ma préférée de l'auteur, mais ce n'est là que mon avis, autant dire, bien peu de chose, face à l'immense Balzac.
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Voilà un récit d'un romantisme échevelé, l' histoire d'un amour lascif, couvé dans les alcôves d'un boudoir oriental...On se croirait dans un tableau orientaliste de Delacroix...

Tous les ingrédients d'un roman sulfureux sont au rendez-vous: maison close, parfums capiteux, serviteur mulâtre farouchement obéissant, duègne- mère-maquerelle au parler incompréhensible ,maîtresse saphique au poignard acéré et, au centre de cet écrin vénéneux et aphrodisiaque , la courtisane aux yeux d'or, bien sûr: la belle Paquita Valdès, dont le dandy de Marsay tombe amoureux et qu'il veut coucher..sur la liste de ses conquêtes.

L'audace de Balzac est étonnante: amours saphiques, rivalités amoureuses surprenantes et quasi-incestueuses , esclavage érotique et libertinage délétère...n'en jetez plus, l'alcôve est pleine!

Le récit doit d'ailleurs s'effrayer de ses propres audaces : sa construction un peu hâtive et même bâclée peut faire passer à côté de quelques perles, il y a de quoi perdre le nord, dans cet étrange caravansérail..

Mais le charme du style De Balzac, chatoyant, opulent et néanmoins teinté d'une élégante ironie, sauve de l'invraisemblance et de l'excès ce conte un peu poivré et pas toujours bien ficelé...

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Une nouvelle de moins de 100 pages mais un concentré extraordinaire du génie balzacien, féroce dans sa description sociale, cruel par l'issue de l'intrigue et le cynisme du principal homme de l'histoire, audacieux dans son évocation de l'homosexualité.

Et puis, un Balzac qui nous joue une histoire exotique, orientale, en plein Paris, où rien ne manque, la belle « esclave » enfermée dans un Palais, le janissaire de couleur, les parfums, les décors, bref on se croirait chez Delacroix, ou chez Baudelaire. Et une histoire où l'homosexualité se révèle être la clé de l'intrigue, je n'en dis pas plus, je ne spoile pas comme on dit de nos jours.

Le récit fait partie de l'histoire des Treize, au même titre que Ferragus et la Duchesse de Langeais, mais ici, le lien est bien ténu. On comprend que l'un des personnages principaux, Henri de Marsay est un membre de cette confrérie occulte et influente; et Ferragus, le Chef des « Dévorants», autre nom de la confrérie, fait une brève apparition à la fin de l'histoire.

Rien que pour le premier chapitre, le livre vaut le déplacement. Balzac nous dépeint une vision dantesque de Paris, sauf qu'au lieu de cercles, voici des sphères de plus en plus élevées et de moins en moins nauséabondes, celle des ouvriers, puis celle des professions que l'on qualifie de nos jours de « libérales », puis celle des artistes, et enfin celle de l'aristocratie des riches, de ceux qui possèdent tout et passent leur temps à passer le temps.

Ce préambule va nous amener à l'un de ces très riches, le tout jeune Henri de Marsay, fils d'un Lord anglais qui ne n'est pas occupé de lui, mais l'a laissé dans de bonnes mains, et a fait de lui un grand propriétaire de biens.
Mais qui est aussi, un très beau jeune homme, et un Don Juan avide de nouvelles conquêtes féminines, et, nous le verrons, cynique et peu sympathique. Avec son ami le bien moins riche Paul de Manerville, on le voit en train de « draguer » dans la grande Allée des Tuileries, à la recherche d'une femme d'une beauté exceptionnelle, Paquita Valdes, qu'ils surnomment la Fille aux yeux d'or. Celle-ci ne sort que très rarement, enfermée qu'elle est dans le Palais du Marquis de Réal, mais se montre réceptive aux avances d'Henri.

Après une série de péripéties romanesques à souhait, les amants se retrouvent enfin, dans un décor oriental raffiné, et leurs ébats font découvrir à Henri une fille encore vierge mais experte en « la chose » ( on comprendra pourquoi plus tard), ce qui ne manque pas d'étonner, mais aussi de vexer ce mâle conquérant, qui se demande à qui il a affaire, et, après quelques rendez-vous galants, la fera traîner pour en prendre un nouveau.

L'auteur va ensuite nous mener à un coup de théâtre final, surprenant et dramatique, et à un épilogue cynique.

J'ai beaucoup aimé cette histoire baroque, qui dit sans vraiment dire, bien plus subtile qu'elle veut bien le montrer, et je la recommande aux lectrices et lecteurs qui voudraient découvrir une autre facette du talent De Balzac. Et, pour celles et ceux qui ont apprécié les monuments que sont par exemple Les illusions perdues, Splendeurs et misères des courtisanes, ou encore le Père Goriot, La Cousine Bette, je crois qu'ils goûteront aussi ces petits bijoux que sont Gobseck, La Maison du Chat qui Pelote, La bourse, La vendetta. ..
Mais, vous pouvez aussi ne pas être balzacophile, c'est votre droit, et je ne vous en voudrai pas.
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Pas vraiment envoûtée par les accents orientaux de ce petit roman (de commande?), fort court heureusement, dans lequel ficelles et décors du drame arrivent un peu pesamment : beauté vénéneuse, Maure énigmatique, diligence nocturne et yeux bandés, passion, bagarre, tout y est, merveilleusement écrit comme toujours, mais bon.

Cependant, puisqu'il y a toujours quelque chose à aimer chez Balzac, deux aspects m'ont l'un réjoui (la peinture au couteau fielleux d'un parisianisme snobinard faits de jeunes fats prétentieux et vains) et l'autre étonnée, à savoir l'évocation du thème de l'homosexualité féminine qui est particulièrement rare sous les plumes, et en particulier celles de cette époque-là.
Sacré Balzac!


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Henri de Marsay, fils illégitime d'un lord anglais et futur premier ministre, est alors un jeune homme à la beauté parfaite, riche et oisif, blasé par ses succès auprès des femmes. Il a pour ami Paul de Marneville, jeune provincial venu brûler à Paris une partie de son héritage et de sa jeunesse – mais dans des limites raisonnables. Ayant croisé au cours d'une promenade une fille aux yeux jaunes, magnifique créature orientale, enfermée et surveillée comme une esclave chez le marquis de San-Réal, son supposé amant, Henri n'a plus qu'un désir : la posséder.

Aventure plus romanesque que romantique contrairement à la Duchesse de Langeais, dernier volet de l'Histoire des treize, où vont se mêler plaisir, jalousie, ambiguïté et cruauté, car Henri y croise sa rivale et double féminin dans le drame de la scène finale. Ce roman est également l'occasion pour Balzac de nous brosser un portrait saisissant de la société de l'époque, à travers ses différentes classes sociales qu'il décrit comme autant de cercles d'un enfer dont il va s'avérer être le Dante et s'efforcer de nous en dépeindre une vision globale à travers sa Comédie humaine. C'est plutôt bien parti !
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Citations et extraits (50) Voir plus Ajouter une citation
La vie est une singulière comédie. Je suis effrayé, je ris de l'inconséquence de notre ordre social. Le gouvernement fait trancher la tête à de pauvres diables qui ont tué un homme, et il patente des créatures qui expédient, médicalement parlant, une douzaine de jeunes gens par hiver. La morale est sans force contre une douzaine de vices qui détruisent la société, et que rien ne peut punir. Ma parole d'honneur ! l'homme est un bouffon qui danse sur un précipice. (...) il existe un livre horrible, sale, épouvantable, corrupteur, toujours ouvert, qu'on ne fermera jamais, le grand livre du monde, sans compter un autre livre mille fois plus dangereux, qui se compose de tout ce qui se dit à l'oreille, entre hommes, ou sous l'éventail entre femmes, le soir, au bal.
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Cette vue de Paris moral prouve que le Paris physique ne saurait être autrement qu'il n'est. Cette ville à diadème est une reine qui, toujours grosse, a des envies irrésistiblement furieuses. Paris est la tête du globe, un cerveau qui crève de génie et conduit la civilisation humaine, un grand homme, un artiste incessamment créateur, un politique à seconde vue qui doit nécessairement avoir les rides du cerveau, les vices du grand homme, les fantaisies de l'artiste et les blasements du politique. Sa physionomie sous-entend la germination du bien et du mal, le combat et la victoire, la bataille morale de 89 dont les trompettes retentissent encore dans tous les coins du monde ; et aussi l'abattement de 1814. Cette ville ne peut donc pas être plus morale, ni plus cordiale, ni plus propre que ne l'est la chaudière motrice de ces magnifiques pyroscaphes que vous admirez fendant les ondes ! Paris n'est-il pas un sublime vaisseau chargé d'intelligence ? Oui, ses armes sont un de ces oracles que se permet quelquefois la fatalité. La Ville de Paris a son grand mât tout de bronze, sculpté de victoires, et pour vigie Napoléon. Cette nauf a bien son tangage et son roulis ; mais elle sillonne le monde, y fait feu par les cent bouches de ses tribunes, laboure les mers scientifiques, y vogue à pleines voiles, crie du haut de ses huniers par la voix de ses savants et de ses artistes : -- « En avant, marchez ! suivez-moi ! » Elle porte un équipage immense qui se plaît à la pavoiser de nouvelles banderoles. Ce sont mousses et gamins riant dans les cordages ; lest de lourde bourgeoisie ; ouvriers et matelots goudronnés ; dans ses cabines, les heureux passagers ; d'élégants midshipmen fument leurs cigares, penchés sur le bastingage ; puis sur le tillac, ses soldats, novateurs ou ambitieux, vont aborder à tous les rivages, et, tout en y répandant de vives lueurs, demandent de la gloire qui est un plaisir, ou des amours qui veulent de l'or.
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Donc le mouvement exorbitant des prolétaires, donc la dépravation des intérêts qui broient les deux bourgeoisies, donc les cruautés de la pensée artiste, et les excès du plaisir incessamment cherché par les grands, expliquent la laideur normale de la physionomie parisienne. En Orient seulement, la race humaine offre un buste magnifique ; mais il est un effet du calme constant affecté par ces profonds philosophes à longue pipe, à petites jambes, à torses carrés, qui méprisent le mouvement et l'ont en horreur ; tandis qu'à Paris, Petits, Moyens et Grands courent, sautent et cabriolent, fouettés par une impitoyable déesse, la Nécessité : nécessité d'argent, de gloire ou d'amusement.
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Elle la contempla.

— Elle est morte ! se dit-elle après une pause en faisant un violent retour sur elle-même. Morte, ah ! j’en mourrai de douleur !

La marquise voulut s’aller jeter sur le divan accablée par un désespoir qui lui ôtait la voix, et ce mouvement lui permit alors de voir Henri de Marsay.

— Qui es-tu ? lui dit-elle en courant à lui le poignard levé.

Henri lui arrêta le bras, et ils purent ainsi se contempler tous deux face à face. Une surprise horrible leur fit couler à tous deux un sang glacé dans les veines, et ils tremblèrent sur leurs jambes comme des chevaux effrayés. En effet, deux Ménechmes ne se seraient pas mieux ressemblé. Ils dirent ensemble le même mot : — Lord Dudley doit être votre père ?

Chacun d’eux baissa la tête affirmativement.
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Quelle que fût la puissance de ce jeune homme, et son insouciance en fait de plaisirs, malgré sa satiété de la veille, il trouva dans la Fille aux yeux d’or ce sérail que sait créer la femme aimante et à laquelle un homme ne renonce jamais. Paquita répondait à cette passion que sentent tous les hommes vraiment grands pour l’infini, passion mystérieuse si dramatiquement exprimée dans Faust, si poétiquement traduite dans Manfred, et qui poussait Don Juan à fouiller le cœur des femmes, en espérant y trouver cette pensée sans bornes à la recherche de laquelle se mettent tant de chasseurs de spectres, que les savants croient entrevoir dans la science, et que les mystiques trouvent en Dieu seul. L’espérance d’avoir enfin l’Être idéal avec lequel la lutte pouvait être constante sans fatigue, ravit de Marsay qui, pour la première fois, depuis longtemps, ouvrit son cœur. Ses nerfs se détendirent, sa froideur se fondit dans l’atmosphère de cette âme brûlante, ses doctrines tranchantes s’envolèrent, et le bonheur lui colora son existence, comme l’était ce boudoir blanc et rose. En sentant l’aiguillon d’une volupté supérieure, il fut entraîné par delà les limites dans lesquelles il avait jusqu’alors enfermé la passion. Il ne voulut pas être dépassé par cette fille qu’un amour en quelque sorte artificiel avait formée par avance aux besoins de son âme, et alors il trouva, dans cette vanité qui pousse l’homme à rester en tout vainqueur, des forces pour dompter cette fille ; mais aussi, jeté par delà cette ligne où l’âme est maîtresse d’elle-même, il se perdit dans ces limbes délicieuses que le vulgaire nomme si niaisement les espaces imaginaires. Il fut tendre, bon et communicatif. Il rendit Paquita presque folle.
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Vidéo de Honoré de Balzac
Deuxième épisode de notre podcast avec Sylvain Tesson.
L'écrivain-voyageur, de passage à la librairie pour nous présenter son récit, Avec les fées, nous parle, au fil d'un entretien, des joies de l'écriture et des peines de la vie, mais aussi l'inverse, et de la façon dont elles se nourrissent l'une l'autre. Une conversation émaillée de conseils de lecture, de passages lus à haute voix et d'extraits de la rencontre qui a eu lieu à la librairie.
Voici les livres évoqués dans ce second épisode :
Avec les fées, de Sylvain Tesson (éd. des Équateurs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23127390-avec-les-fees-sylvain-tesson-equateurs ;
Blanc, de Sylvain Tesson (éd. Gallimard) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/21310016-blanc-une-traversee-des-alpes-a-ski-sylvain-tesson-gallimard ;
Une vie à coucher dehors, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774064-une-vie-a-coucher-dehors-sylvain-tesson-folio ;
Sur les chemins noirs, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774075-sur-les-chemins-noirs-sylvain-tesson-folio ;
Le Lys dans la vallée, d'Honoré de Balzac (éd. le Livre de poche) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/769377-le-lys-dans-la-vallee-honore-de-balzac-le-livre-de-poche.
Invité : Sylvain Tesson
Conseil de lecture de : Pauline le Meur, libraire à la librairie Dialogues, à Brest
Enregistrement, interview et montage : Laurence Bellon
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
+ Lire la suite
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