Refusant de vieillir seul, l'égoïste et coléreux Baron de Piombo n'accepte pas le mariage de sa fille unique avec Luigi, pourtant corse et pro-Napoléon comme lui, et le monde s'écroule quand il apprend que Luigi est le seul Porta qu'il a malheureusement laissé en vie après le règlement d'une dette de sang.
La description du Paris de 1816, de l'après Waterloo est intéressante ainsi que cet atelier de femmes peintres où se rend une Ginevra douée, jolie, conciliante, assertive face à son père, courageuse.... la femme parfaite quoi!
Malheureusement
Balzac se laisse emporter par sa prose et tombe dans l'extrême, moi qui chéris la sobriété;-)
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