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Balzac dans une histoire tortueuse et glauque d'escroquerie qui ne m'a pas passionné.
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Mon préféré de tous les romans De Balzac . Je l'ai , il y a fort longtemps , étudié en faculté sous la direction d'un professeur magnifique. Suite de « Illusions perdues » on y retrouve l'évanescent Lucien de Rubempré sauvé du suicide par le mystérieux Abbé Herrera , âme damnée s'il en fut !Pygmalion satanique celui-ci qui est en fait Vautrin , roi des truands, a décidé de façonner le trop beau Lucien pour en faire un gagnant dans l'impitoyable monde parisien. Mais la matière manque de qualité et la tentative échouera .Il avait pourtant le soutien de la belle Esther l'une des plus belles figures de femmes de la comédie Humaine.Et ne parlons pas de Vautrin !
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Un des meilleurs Balzac avec une description minutieuse et sans concession de ces fameuses courtisanes de son epoque.Cette fresque splendide est peut etre son meilleur livre avec cette ironie cinglante qui fait son charme un roman à absolument decouvrir sans tarder !
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Il aura fallu le challenge solidaire "Des classiques contre l'illettrisme", proposé par Gwen21 pour m'encourager à renouer avec Balzac, mes derniers voyages littéraires en compagnie de ce monsieur datant de pas loin de 15 ans. Je dois dire que Balzac est un de mes auteurs réalistes préférés, ce qui n'est pas grand' chose car je ne suis pas hyper fan de ce courant littéraire. Cependant, je garde un souvenir frappant d'Eugénie Grandet et sympathique d'Ursule Mirouët. J'étais donc plutôt de bonne volonté en attaquant Splendeurs et misères des courtisanes.

N'ayant pas lu les Illusions perdues que ce roman continue et très peu d'autres romans de la Comédie humaine, j'ai eu un peu de mal à entrer dans cette histoire. J'étais un peu perdue dans les personnages. J'avais vraiment l'impression de prendre le train en marche ou, pour être plus exacte, d'arriver au bal de l'Opéra sans y connaître personne. Mais j'ai assez vite pris mes repères.
Je m'attendais à un roman qui décrirait de manière réaliste la vie des courtisanes au XIXe siècle. Sur ce point, je dirais que je suis restée sur ma faim. Il y a bien des courtisanes, enfin une, surtout : Esther, dite "la torpille" mais, au début de ce roman, elle n'en est déjà presque plus une. Amoureuse de Lucien de Rubempré, elle s'est faite chaste pour lui et sa carrière est derrière elle. Quelques allusions par-ci par-là laissent entrevoir ce que fut cette carrière mais ils n'en sont que plus frustrants. J'aurais trouvé beaucoup plus intéressant de découvrir comment une fille devient une courtisane, les hauts et les bas de sa vie, etc.
Finalement, Splendeurs et Misères des courtisanes raconte plus les manoeuvres de l'"abbé" Carlos Herrera pour hisser son protégé, Lucien de Rubempré, aux plus hauts degrés de la bonne société. Esther, la courtisane, y est réduite à l'état d'instrument entre les mains du redoutable manipulateur. le roman ne manque pas de rebondissements et de suspens car Carlos Herrera, qui est en fait une vieille connaissance du lecteur, se retrouve bientôt aux prises avec les plus redoutables agents de la police politique.
Pour un roman réaliste, Splendeurs et misères des courtisanes ne l'est pas toujours. Ou, du moins, ne paraît pas toujours l'être. S'il remplit parfaitement son cahier des charges concernant la description des décors ou de certains éléments du contexte social (le fonctionnement de la justice, par exemple), il paraît complètement à côté de la plaque sur la psychologie des personnages. Ils sont souvent "too much" : Esther qui passe de la prostitution à l'amour sacrificiel (et retour), Lucien qui accepte sans hésitation de prostituer celle qu'il est censé aimer pour servir son ambition, Herrera et son dévouement incompréhensible (du moins dans les 3 premières parties) pour Lucien, Nucingen, le coeur de pierre qui tombe amoureux au premier regard... Certaines réactions de personnages m'ont parues complètement incompréhensibles. J'ai parlé déjà de Lucien mais je pourrais y ajouter Delphine Nucingen qui s'amuse de la passion de son mari, le marquis de Sérisy qui tolère très bien les incartades de sa femme, etc.
Enfin, je n'ai pas adhéré du tout à l'intrigue principale : un jeune homme qui veut épouser une jeune fille de la meilleure société en extorquant des millions à un banquier par l'intermédiaire de sa maîtresse. J'ai trouvé ça d'un sordide ! Mais, ça, c'est affaire de goût personnel. C'était peut-être d'ailleurs le but de Balzac de montrer que les plus immoraux ne sont pas toujours ceux que la société pointe comme tels.

Sur le fond, ce roman a donc été plutôt décevant pour moi, par rapport à mes attentes de départ même si je l'ai lu sans déplaisir. Au niveau du style, Balzac n'est peut-être pas la plus fine plume de la littérature française mais il a parfois des passages qui sont magnifiques. J'ai trouvé particulièrement croustillantes les conversations entre ex-forçats qu'il reproduit dans la 4e partie.

En résumé : un roman qui est censé se rattacher au réalisme mais où l'auteur se laisse un peu trop emporter par son goût du romanesque et sa vision fataliste de l'humanité. Il met finalement moins en scène le monde des courtisanes que l'avant-dernière incarnation de son Mephistophélès.

Challenge Solidaire "Des classiques contre l'illettrisme" 2019
Challenge Monopoly
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Je me découvre une passion sur le tard pour Balzac que jusque là je considérais comme un auteur barbant, conventionnel et fait pour être étudié au lycée. J'avais lu "le père Goriot" pendant mes études et je n'avais pas été emballé. Mais cet été 2018, je m'y suis remis après avoir entendu Michel Houellebecq en parler et pour une allusion dans le film "Pierrot le Fou" de Jean-Luc Godard. J'ai donc lu "César Birotteau" que j'ai adoré et ces trois derniers jours, j'ai donc lu avec beaucoup de plaisir cette histoire de courtisanes et le plaisir continue. C'est croustillant, plein de verves, de personnages hauts en couleur. Balzac est un génie mais il faut quand même s'accrocher car il n'explique pas tout, il faudrait un glossaire des personnages. J'avoue que parfois je me suis perdu mais ce cher Honoré ne laisse pas tomber ses lecteurs. En une page, il nous remet sur les rails et c'est reparti.
Ce roman est l'histoire d'une machination inventée par quelqu'un qui veut se faire passer pour un curé (c'est le Vautrin du Père Goriot) et qui décide de prendre un jeune provincial sous sa coupe et de remettre une courtisane (pour ne pas dire une prostituée) dans le droit chemin.
Au passif, je n'ai pas compris pourquoi l'auteur tente d'expliquer au lecteur pendant pas mal de pages et façon encyclopédie le fonctionnement du système judiciaire français. Mais à part ça, ce n'est que du bonheur littéraire. Je n'ai presque rien lu De Balzac mais je me demande si cette histoire de courtisanes (dans laquelle s'imbrique bien d'autres histoires) n'est pas le point culminant de l'oeuvre de la Comédie Humaine.

lecture : novembre/décembre 2018
sur Kindle (équivalent 694 pages)
note : 4/5
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Venant conclure la trilogie élaborée autour du personnage de Vautrin, Splendeurs et misères des courtisanes est à lire après le Père Goriot et Illusions perdues. Trois romans qui n'en font qu'un, autour de cet ancien forçat, tour à tour ange et démon, meurtrier et prêtre, riche, déterminé, éternellement mystérieux. Vautrin, qui tente en vain de séduire Eugène de Rastignac dans le Père Goriot, et sauve du suicide Lucien de Rubempré dans Illusions perdues, pour enfin l'élever au sommet du beau Paris dans Splendeurs et misères des courtisanes.

Si l'élévation de Lucien est digne de Faust, sa chute rappelle celle de Lucifer, et n'en est que plus tragique. de Splendeurs et misères des courtisanes, je retiens surtout le personnage d'Esther. Belle, prostituée, sainte, martyre, amoureuse, elle représente la femme du XIXème siècle dans toute son ambivalence. Elle déchaîne les passions des hommes comme Lucien celles des femmes, et comme Balzac celles des lecteurs. Que de suspens dans cette ascension sociale teintée d'or et de sang ! Que de drame, et que d'amour ! C'est Paris qui broie les êtres, c'est Vautrin qui broie Paris : l'ambition contre l'innocence, et la machinerie implacable des hommes contre l'étrange logique de la justice divine.

J'ai dévoré ce roman en trois jours, et j'en garde un brûlant souvenir. On n'y retrouve pas les traditionnelles descriptions balzaciennes, ces presque-digressions qui poussèrent à l'abandon de nombreux lecteurs mal avisés. Splendeurs et misères des courtisanes vous plonge immédiatement dans l'action. Il vous prend au piège du coeur humain, de ses désirs et de ses contradictions, il vous plonge dans la lutte des âmes de la capitale, de la misère des bas-fonds jusqu'à l'aveuglant éclat de la haute société, en passant par le mystère des cercles secrets. C'est le roman de la puissance, la tragédie parfois comique d'un destin bien cruel, pour des hommes responsables malgré eux de leurs maux, à la façon d'Oedipe.

Pauline Deysson - La Bibliothèque
Lien : http://www.paulinedeysson.co..
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Je conclus avec Splendeurs et Misères des courtisanes la lecture de "La trilogie (non officielle) Vautrin", débutée par le père Goriot et poursuivie avec Illusions Perdues.

Si le lien entre les deux précédents livres m'avait paru assez ténu, Splendeurs et Misères des courtisanes permet de jeter des ponts bien plus solides entre ces trois ouvrages. Et c'est évidemment le personnage de Jacques Collin, alias Vautrin, alias Trompe-la-Mort, alias don Carlos Herrera qui établit ces liaisons.
Son importance est telle que Balzac en fait le véritable "héros" de Splendeurs et Misères des courtisanes, sans qui rien de toute l'action du livre n' aurait été possible. D'où une légère déception de ma part, puisque ma lecture était avant tout motivée par mon envie de retrouver Lucien de Rubempré. En effet, bien qu'étant le personnage qui motive tout ce qui se passe dans le livre, il n' apparaît réellement que par petites touches.

C'est que le petit Lucien est devenu un de mes péchés mignons, un personnage que, malgré (mais c'est sûrement plutôt à cause de) ses faiblesses et sa lâcheté, je n'ai pu m'empêcher d'adorer ! (Décidément ce Lucien ne laisse indifférente aucune femme croisant son chemin^^)
C'est pourquoi il peut sembler paradoxal que j'aie savouré la fin de mon petit Lucien. Quel moment ! Alors même qu'il n'y avait pas le moindre effet de surprise pour moi puisque je connaissais déjà sa destinée, je me suis délectée de ses derniers instants. Balzac a su donner un dénouement juste parfait, à la hauteur du personnage et faisant miroir à la rencontre de Lucien avec le faux abbé Jacques Collin dans Illusions Perdues.
En résumé, j'aurais aimé passer plus de temps en compagnie de Lucien avant le grand adieu néanmoins digne de lui.

Il n'était cependant pas désagréable de suivre Jacques Collin dans ses machinations. le personnage gagne en consistance par rapport à sa première apparition dans le Père Goriot. Quant à l'autre personnage essentiel du roman, Esther van Gobseck, je dois avouer qu'elle m'a laissée malheureusement assez insensible malgré les efforts De Balzac pour nous la rendre sympathique, au contraire du banquier Nucingen, vieil homme qu'il nous décrit comme ridicule et par ailleurs détestable, mais qui m'a pourtant touchée par son amour infortuné.
De manière générale, ce roman est une mine d'or pour ceux qui aiment disséquer le tissu complexe des relations qu'entretiennent les personnages entre eux. La description faite du milieu judiciaire et pénitentiaire de la 1ère moitié du XIXe siècle est également intéressante.

Je vous laisse sur ces mots d'Oscar Wilde qui sont absolument délicieux : " Une des plus grandes tragédies de ma vie est la mort de Lucien de Rubempré. C'est un chagrin qui ne me quitte jamais vraiment. Cela me tourmente dans les moments de ma vie les plus agréables. Cela me revient en mémoire si je ris. "
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Splendeurs et misères est un livre agréable, dont la forme est plaisante, je dois l'admettre. Mais la forme empiète sur le fond, voilà le hic. Dans le Père Goriot, dans Illusions Perdues, dans le Colonel Chabert, la forme n'empiétait pas sur le fond : c'était elle qui conférait au fond toute sa puissance. Tel est le défaut de Splendeurs et misères ! Voilà pourquoi l'oeuvre ambitieuse ne réussit pas ! Cette oeuvre reste une oeuvre agréable, plaisante, bien entendu ; mais elle n'est que ça. Là réside le problème de Splendeurs et misères des courtisanes.
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Après avoir lu quelques romans De Balzac dans mon adolescence, j'ai décidé de me découvrir son oeuvre en profondeur. Mais ce n'est sûrement pas le bon roman pour commencer...
Ce roman justement ne répond pas entièrement aux promesses de son titre : l'héroïne n'est pas Esther la courtisane - mot élégant pour une prostituée du grand monde, mais Trompe-la-Mort le forçat et ses machinations et son duel dans le monde judiciaire. Esther est un croisement entre une Nana qui séduit et manipule les hommes, une Manon Lescault qui souhaite être vertueuse et qui n'aime que son amant de coeur, et une jeune vierge religieuse - qui ne l'est plus - telle une Virginie. Lucien, lui, n'a aucune personnalité, trop effacé, larmoyant et geignard pour être intéressant. Ne connaissant pas les autres romans où Lucien apparaît, je n'ai pas pu comprendre ce qui le rendait si fascinant pour les femmes et les hommes du grand monde pour avoir une meilleure image de lui.
La partie la plus intéressante est donc la dernière, celle du duel entre Trompe-la-Mort et l'institution judiciaire et ses compromissions aux ambitions et aux orgueils du grand monde, avec ce forçat aux tendresses de père pour un poète, ce colosse fascinateur, croisement d'Aramis avec sa toute puissance à la tête d'un ordre secret, et Jean Valjean forçat qui cherche une voie pour se racheter.
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Nous avions laissé ce petit crétin narcissique de Lucien de Rubempré seul et désespéré à la fin des “Illusions perdues” - il y avait de quoi puisque l'andouille avait ruiné par sa bêtise et son égocentrisme son adorable soeur et son brave beau-frère - et c'est avec un plaisir mitigé que nous le retrouvons au début de “Splendeurs et misères des courtisanes” glissé à nouveau dans son rôle de dandy dépensier. Comme Lucien a-t-il effectué cette surprenante remontée ? On se doute bien qu'il n'y est pas arrivé tout seul, allez ! Car le mignon petit chien de manchon s'est trouvé un lion pour protecteur, un redoutable personnage à la carrure du taureau et au tempérament de bête fauve, le mystérieux abbé Carlos Herrera. Non content de propulser son poulain aux premiers rangs de la bonne société, celui-ci a décidé de lui faire épouser une fille de duc ni trop jolie, ni trop laide, mais abondamment dotée. Hélas, Lucien s'est amouraché d'une belle courtisane, la divine Esther dites “La Torpille” pour les intimes... Il ne veut pas s'en passer ? Tant pis, on fera avec ! Mieux encore, on utilisera les charmes de la belle pour enrichir encore davantage le jeune sot et lui ouvrir ainsi un chemin tout tracé vers la gloire et la fortune. A moins que ce ne soit vers la potence, bien entendu.

Avec ce roman, nous sommes clairement dans un format beaucoup plus feuilletonnant que celui des “Illusions perdues” et du “Père Goriot”, laissant la part belle aux rebondissements multiples et au pur divertissement. A mon sens, c'est à la fois un mal et un bien. Ce que le récit perd en finesse psychologique et en profondeur, il le gagne en vivacité et en dynamisme et ces “Splendeurs et misères des courtisanes” s'avèrent beaucoup plus digestes que les - un poil - interminables “Illusions perdues” qui les précédaient. Heureusement, la méchanceté De Balzac est toujours là, venimeuse et féroce, et c'est avec un vif plaisir qu'on le verra, tout au long de sa narration, se livrer à un matraquage enthousiaste des milieux financiers, politiques et judiciaires. Balzac se moque de tout : l'amour, le sacré, la noblesse, la richesse… Même les quelques scènes pathétiques qui émaillent le récit m'ont semblées lourdes de second degré et, même au coeur de la tragédie la plus noire, le cynisme rigolard ne manque jamais de pointer son nez.

“Splendeurs et misères des courtisanes”, c'est aussi le récit de la première grande passion ouvertement homosexuelle de la littérature française. Rien que pour ça, avouez que ça vaut le détour ! On avait déjà remarqué l'intérêt de Vautrin - réapparaissant ici sous le masque de l'abbé Carlos Herrera - pour les beaux jeunes hommes facilement influençables dans les romans précédents. Ici, cet intérêt se concrétise et se dépouille de toute ambiguïté. Clairement, ce n'est pas pour son charmant intellect que le redoutable forçat a pris sous sa protection le petit dandy superficiel, mais sans conteste pour ses beaux yeux et son joli petit cul. Pas seulement cependant. Si le goût déplorable de Herrera en matière de compagnon peut surprendre, surtout venant d'un homme aussi pragmatique et brillant (Lucien est tout de même une incroyable petite tête à claques), on l'expliquera aisément par une sorte de narcissisme à la Pygmalion. Au fond, Herrera se fout de Lucien, de sa douceur, de sa mollesse, de son égocentrisme naïf. Au delà d'un attrait purement physique, il ne l'apprécie vraiment que comme une extension de lui-même, une façon de prendre sa revanche sur la société, son “Moi beau” comme il le dit lui-même. Autant pour le romantisme.

Pas d'amour, pas de sentimentalité, pas de poésie, mais une vision très noire et pessimiste de l'humanité. Si vous êtes amatrice, comme moi, n'hésitez pas une seconde, sinon replongez vous dans Victor Hugo.
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