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Critique de cmpf


cmpf
07 novembre 2014
Roman en deux parties dont l'une légèrement plus longue est la préparation de la seconde.
Balzac nous présente longuement les personnages, tant au physique qu'au moral, l'un étant le reflet de l'autre. Il met aussi minutieusement en place le contexte. Tandis que la situation se noue et se dénoue dans la seconde partie.
Il s'agit de la spoliation d'une jeune fille adoptée nourrisson par un oncle à héritage dans une ville de province, Nemours.
Je n'ai rien d'essentiel à reprocher à ce roman, mais il ne m'a pas non plus enthousiasmée.
Certaines théories de l'auteur : rapport entre l'âme et le physique, sur la religion, sur la science n'ont pas emporté mon adhésion ni évidemment par leur vérité ni par leur intérêt dans le roman. La découverte de la façon dont le vol a été fait est invraisemblable, et même si cela est volontaire je n'en vois pas l'intérêt.
Ce roman est comparé par Balzac lui-même à Eugénie Grandet. Sur le thème oui, on peut faire une comparaison, mais à mes yeux pas quant à la qualité ni des portraits, ni de l'histoire ni du style bien supérieurs dans Eugénie Grandet. Il reste que je n'ai pas eu envie de m'arrêter en cours de lecture.
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