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EAN : 9791034900749
250 pages
Liana Lévi (10/01/2019)
3.65/5   252 notes
Résumé :
4e de couverture :
Alto braco, «haut lieu» en occitan, l’ancien nom du plateau de l’Aubrac. Un nom mystérieux et âpre, à l’image des paysages que Brune traverse en venant y enterrer Douce, sa grand-mère. Du berceau familial, un petit village de l’Aveyron battu par les vents, elle ne reconnaît rien, ou a tout oublié. Après la mort de sa mère, elle a grandi à Paris, au-dessus du Catulle, le bistrot tenu par Douce et sa sœur Granita. Dures à la tâche, aimantes, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (78) Voir plus Ajouter une critique
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D'un passé oublié, Vanessa Bamberger nous fait traverser les étendues désertiques et minérales du haut plateau de l'Aubrac. Cantal, Lozère et Aveyron, l'auteur comble avec nous les trous de mémoire d'une triple identité : trois entités rassemblées sous la bannière de l'Auvergne, trois communautés géologiques et humaines qui forme le coeur de la France, et celui d'une femme.

Brune est une jeune parisienne privilégiée. de nature calme et rangée, elle mène une vie paisible et épanouie en tant que directrice de crèche.
La disparition de sa grand-mère risque bien de profondément bouleverser sa vie simple et tranquille.
C'est Douce, la bien nommée, et sa soeur Annie, également appelée Granita, qui ont élevé Brune après le décès très tôt de sa mère.

Aveyronnaises d'origine, leur verbe haut et imagé rythmera les souvenirs de son enfance. Des femmes fortes au tempérament bien trempé, à l'image de leur région natale : l'Aveyron sur les hauts plateaux de l'Aubrac, région volcanique et minérale, balayée par le vent, mystérieuse et âpre à l'identité secrète mais tenace.

Ma chronique :
Lien : https://www.fnac.com/Alto-Br..
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« Alto braco », le « haut lieu » en occitan, l'ancien nom du plateau de l'Aubrac. Brune, la narratrice trentenaire en est originaire, mais a été élevé à Paris dans le bistrot de ces deux grands-mères, ou plutôt Douce sa grand-mère maternelle et Annie sa grand-tante. Elle aussi ont quitté l'Aubrac, définitivement pensaient-elles. Brune doit y retourner pour y enterrer Douce et découvre ce territoire inconnu comme une touriste chez soi.

Les thèmes qui courent dans tout le roman et qui questionnent la narratrice sont passionnants : la transmission, le lien au pays d'origine. On suit pas à pas le cheminement intime de Brune qui ne croit ni aux gènes ni à la terre, mais découvre progressivement qu'elle s'est trompée sur ce qu'elle aime en réalisant la beauté rude et authentique de l'Aubrac et des êtres qui le peuplent. Sa quête de sens débouche sur une quête de vérité qui la mettent en face de lourds secrets de famille, de mensonges ou d'arrangements avec la vérité. Si elle veut devenir une femme entière, elle ne peut plus esquiver le passé comme l'ont fait ses deux grands-mères avant elle et comme elle l'a fait aussi, prise dans une lignée généalogique qui fait bégayer l'histoire.

Thèmes forts donc mais malheureusement, je suis restée spectatrice très lointaine de cette épiphanie de l'être. Si j'ai été touchée par les magnifiques descriptions de l'Aubrac et par les personnages fantasques des deux grands-mères bistrotières, la narratrice m'a souvent indifférée voire quelque peu agacée avec ces questionnements répétitifs et naïfs.

Je pense également que je n'ai pas accroché avec la volonté kaléidoscopique de l'auteure qui plaque sur la transformation intime et profonde de Brune une thématique plus documentaire sur l'élevage et l'industrie de la viande. Cela m'a semblé artificiel, avec des enchaînements peu fluides entre les deux univers, alors que la trame romanesque de quête de soi et des origines était suffisamment forte pour se suffire en soi.

De beaux thèmes, deux beaux personnages mais au final un roman pas assez abouti à mon goût pour me faire vibrer.
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L'Aubrac, ses terres rudes, ses fermes, sa gastronomie, Laguiole… Ce massif que se partagent trois départements : l'Aveyron, la Lozère et le Cantal, Vanessa Bamberger m'y a ramené, me plongeant d'abord dans une histoire familiale compliquée, puis elle a emporté mon adhésion avec son immersion dans la nature sauvage et son analyse de l'élevage.

Alto braco ne signifie pas « haut lieu » comme indiqué en quatrième de couverture, version que donne d'abord l'autrice mais qu'elle rectifie peu avant la fin : « La teinte brune de la tourbe de l'Aubrac, dont l'origine occitane, alto braco, signifiait donc « haute boue » et pas « haut lieu » comme je le croyais. »
Vanessa Bamberger mène son roman en quatre parties comme un grand repas, avec Mise en bouche, Hors-d'oeuvre, Viandes et Entremets, ainsi qu'on aime le faire, là-haut du côté de Laguiole ou Nasbinals. Pourtant, tout commence à Paris et on y reviendra régulièrement avec les limonadiers aveyronnais et cantalous qui, dans les années 1980, possédaient encore les trois quarts des cafés-tabacs de l'Île-de-France.
La narratrice, Brune Salazard, fille d'un bistrotier, est élevée par ses deux grands-mères, comme elle les appelle : Douce et Annie Rigal, cette dernière étant surnommée Granita. Elles tiennent toutes les deux un bistrot, le Catulle, rue Catulle-Mendès, dans le 17earrondissement.
C'est la mort de Douce qui va ramener Brune et Granita sur l'Aubrac, retour pour l'enterrement, à Lacalm. Cela va déclencher une avalanche de retrouvailles, de mises au point et de révélations surprenantes et bouleversantes, touchant Brune au plus profond d'elle-même.
L'autrice m'a régalée de descriptions détaillées, de précisions bien senties chaque fois qu'elle monte sur l'Aubrac ou qu'elle part en balade. Elle découvre le plateau où vit et travaille encore une bonne partie de sa famille.
C'est au cours de ses pérégrinations sur l'Aubrac que surgit immanquablement le débat sur l'élevage et sa conséquence, la consommation de viande. La recherche du profit a enclenché un processus constaté dans toutes les filières de l'élevage, absurdités dictées par l'appât rapide du gain mais contribuant un peu plus au saccage de notre planète.
« D'après Granita, sur l'Aubrac, les vaches avaient plus de valeur que les êtres humains. On y trouvait plus de vétérinaires que de médecins. » Cela n'empêche pas les éleveurs de vendre leurs veaux aux Italiens pour qu'ils les engraissent au maïs et autres ajouts dangereux pour notre santé, pratiques aberrantes pour le bien-être de ces animaux. Certains éleveurs tentent de changer, de passer à l'élevage bio, comme Clémence, ou encore à l'élevage raisonné mais reste le poids des mauvaises habitudes.

Sur fond de bonne cuisine et de consommation de viande excessive comme le constate souvent la narratrice, Alto Braco se termine de façon un peu décevante car Vanessa Bamberger prouve, hélas, que lorsqu'on est déraciné, c'est très dur, voire impossible de revenir au pays.


Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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Dans Alto Braco, Vanessa Bamberger brosse un magnifique tableau de l'Aubrac.
Brune, originaire d'un petit village de l'Aveyron mais ayant grandi à Paris, y retourne pour l'enterrement de sa grand-mère, Douce. Elle ne reconnaît rien mais, petit à petit, elle va se familiariser avec ce pays d'élevage et va fleurir en elle un sentiment d'appartenance.
Si, parfois, j'ai trouvé le ton un peu trop journalistique, cette fiction est un bel hommage que rend l'autrice à l'Aubrac.
En conclusion, je dirais qu'il paraît important que chacun d'entre nous connaisse sa propre histoire familiale, que ceci est indispensable à notre épanouissement.
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Voyage en terre... familière : j'ai lu avec curiosité et sans déplaisir le livre de Vanessa Bamberger qui déroule son menu roboratif construit comme un repas de noces ou plutôt,  en l'occurrence,   d'enterrement ,- des hors d'oeuvres aux entremets- , pour raconter  une saga familiale sur fond de crise de l'élevage,   entre quatre villages haut perchés de mon Aubrac bien aimé: Lacalm,  Laguiole,  Saint Urcize et Nasbinals.

L'auteur sait "documenter" un sujet et s'organiser pour que rien de cette manne récoltée par elle ne soit perdu pour le lecteur!  Un vrai dépliant touristique, assez habilement habillé en roman. Pourtant, je n'y ai pas appris grand chose, si ce n'est l'étymologie du nom, Aubrac, cet alto braco qui signifie non pas  le haut lieu mais la haute tourbière...

Un vrai roman de crises, aucune ne manque : de la crise identitaire de Brune Alazard, la parigote, petite- fille de bistrotier parisien, et descendante d'éleveurs  aveyronnais, en mal de racines, de pays natal et de ( secrets de ) famille, à la crise de la viande sur fond de malbouffe et de vache folle, en passant par la crise des campagnes pas aussi déshéritées ni désertifiées qu'elles en ont l'air, et la crise  de la capitale- proclamée-  inhabitable... mais si  addictive que Brune  n'arrête pas d'osciller entre l' Aveyron et Paris comme un pendule irrésolu!

La problématique de l'élevage et celle qui lui est étroitement liée, la consommation de viande, n'est pas abordée , ici, de façon révolutionnaire: ni bio, ni intensif, l'élevage se doit d'être de qualité, tant dans le choix des bêtes que dans leur élevage proprement dit.

Étables de taille humaine, races authentiques, fourrage naturel, estives de luxe au milieu des fleurs, veaux sous la mère, engraissement sur place et abattage  intra muros: autrement dit , d'un bout à l'autre de la chaîne, responsabilité et familiarité. Style :  "J'ai bien connu la vache dans votre assiette"!

Le tour du pays, de ses us et coutumes , quoiqu'assez appuyé et exhaustif , ne manque pas de sel, la question de la viande, elle , ne manque pas  d'à propos ( à moins que ce ne soit l'inverse!) ...mais les  relations familiales et les secrets de famille, l'alibi romanesque,  sont si banals, si inutilement complexifiés qu'ils m'ont proprement rasée,  et ont encombré cette lecture didactique qui n'avait pas besoin de cet enrobage romanesque en kit pour se laisser lire.

Vous dirais-je le fond de ma pensée?

Quand il s'agit d'Aubrac, je préfère à toutes les documentations de parisienne ayant fait sciences Po',  quelques lignes des Carnets du Grand chemin de mon cher Julien Gracq qui, tout agrégé de géographie qu'il est,  ne fait jamais sentir son érudition mais ,  pour chanter le paysage, et le plateau d'Aubrac en particulier, sait y puiser ses images les plus fortes,  en distiller la poésie la plus secrète.

C'est ce qui m'a le plus manqué dans cette lecture.
Les images et la poésie. 
Autrement dit , l'essence même de mon Aubrac bien-aimé.
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critiques presse (2)
LeFigaro
17 janvier 2019
Alto Braco, roman de cette Parisienne, en course pour le Prix RTL-Lire, raconte l'histoire des éleveurs de l'Aubrac. Tout un monde.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeFigaro
10 janvier 2019
Brune, qui ne croyait pas aux racines terriennes, persuadée que le sentiment d'appartenance était une construction de l'esprit, va découvrir d'où elle vient.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (175) Voir plus Ajouter une citation
Ton père est revenu parce que c'était plus qu'une ferme, a bruyamment tempêté le bistrotier. C'était le patrimoine,
Ici l'histoire de la famille. Le respect des Anciens, quelque chose que je ne pouvais pas comprendre. Les paysans d'Aubrac clil avaient toujours été accrochés à leurs terres et à leurs bêtes. Endurant ce que les jeunes d'aujourd'hui ne voulaient plus vivre, s'usant la santé à travailler comme des brutes sans vraiment gagner leur vie, pour finir les mains abîmées, puant '10 l'étable. Autrefois, les vaches étaient dressées quasiment comme des animaux de compagnie. Elles reconnaissaient leurs éleveurs à la voix et en retour, faisaient partie de leur famille. Le grand âge venant, ils continuaient à s'en occuper. Alors qu'on n'avait jamais vu un ouvrier à la retraite retourner travailler à l'usine pour le plaisir ! A l'heure de leur mort, il n'était pas rare que les paysans demandent à voir leur troupeau une dernière fois. Mon grand-père était de ceux-là. Si Serge n'avait pas repris la ferme, il lui aurait manqué de respect.

Page 91, Liana Levi, 2019.
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La voiture grimpait vers les hauteurs, la végétation refluait. De gros rochers noirs ont surgi des prairies mordorées. Le volcan affleurait sous la terre, la perçant de bosses de lave.J'ai vu l'eau argentée passer sous de petits ponts de pierre et fouetter les mousses jaunies des coteaux, les collines ocre couronnées de nuages s'élevant en volute comme des fumées de cendre et à leur pied, des étendues immenses d'herbe de la couleur du vieil or. Le plateau de l'Aubrac. Je me suis figuré une Toscane froide, et j'ai aussitôt regretté cette image qui faisait de moi une touriste. L'Aubrac produisait immanquablement la même réaction chez ses visiteurs : on dirait la Mongolie ; on croirait la Nouvelle-Zélande, l'Australie, la Namibie, l'Islande, le Pérou, le Tibet, le Canada, l'Ecosse... Derrière son comptoir, Annie hurlait de rire quand un client avouait connaître le Chili mais pas l'Aubrac. Ton Chili, il est à cinq heures de Paris en voiture, sans décalage horaire ! Es un ase del basacle! En général, l'âne s'en jetait un petit pour faire passer l'insulte.

Page 33, Liana Levi, 2019.
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Non, je ne comprenais pas. Je ne croyais ni aux gènes ni aux racines attachant l'être humain à une seule terre. Je me définissais comme parisienne parce que j'avais été élevée ici.
J'aurais aussi bien pu me sentir ardéchoise, madrilène, australienne... Il me semblait que le sentiment d'appartenance n'était qu'une construction de l'esprit, une histoire qu'on se raconte à soi-même. Je voulais bien croire à l'influence de l'environnement sur le corps et le mental, admettre que le pays de mes grands-mères les avait façonnées, faites dures comme le granit glacé, tranchantes comme le basalte, mais elles n'étaient pas nées ainsi. J 'observais moi-même chaque jour les processus d'apprentissage face aux enfants de la crèche de Levallois-Perret dont j'étais la directrice. Ils imitaient mes gestes tels des dizaines de petits miroirs. Quand j'avais exposé ma théorie à Granita, elle m'avait fait taire d'un claquement de langue.
— Miladiou, on voit bien que tu n'as pas connu l'exil.

Page 23, Liana Levi, 2019.
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Mes grands-mères accusaient les boulangers, les machines à expresso et le ministère de la Santé d'avoir tué les petits bistrots. A leurs débuts au Demoiselle, elles ouvraient à six heures, à cause de l'usine toute proche. Les ouvriers attaquaient au café belge, y compris les femmes. A onze heures, c'était apéro, pâté, rillettes, saucisson et vin blanc. Les employés des bureaux prenaient le temps d'une pause comptoir ou d'un déjeuner à table. Désormais, ils ne quittaient leur entreprise que pour faire la queue à la boulangerie et s'acheter un sandwich ou une salade. Le métier était devenu difficile. La bouteille de calva fait l'année, regrettait Granita.

Page 28, Liana Levi, 2019.
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On ne voulait pas vivre à Lacalm mais on voulait y mourir. Entre les paysans d'ici et les cafetiers de Paris, la liste d'attente était peut-être longue. J'imaginais qu'en Aubrac, même la terre du cimetière s'avérait chère et disputée. Parmi ceux dont on réduirait le corps et jetterait les ossements à la fosse commune, certains s'étaient probablement battus toute leur vie pour conserver leur parcelle, tout cela pour en être expropriés à leur mort. On pouvait donc vous exiler du cimetière. La propriété ne se concevait pas à perpétuité. La terre n’appartenait à personne, c’en était bien la preuve.

Pages 43-44, Liana Levi, 2019.
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