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Isabelle Maillet (Traducteur)
EAN : 9782743614706
375 pages
Payot et Rivages (04/01/2006)
2.59/5   102 notes
Résumé :
Rien ne va de soi pour Sophie Applebaum. la nouvelle héroïne de Melissa Bank. Enfant espiègle, elle s'applique à faire plaisir ; jeune diplômée fascinée par New York, elle peine à trouver un emploi ; amie fidèle, elle découvre que la loyauté n'est pas forcément la chose la mieux partagée au monde ; amoureuse impétueuse, elle rompt aussi souvent ou presque quelle s'éprend. Mais Sophie, toujours, relève le gant. Avec d'autant plus d'ardeur que sa famille, véritable tr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Je viens de terminer la dernière page de “Prochain arrêt, le Paradis” de Melissa Bank et je suis désolée de vous le dire mais ma dernière pensée a été “eh bin, c'était nul”, j'aurais limite pu rajouter “qu'est ce que c'était long ! ” mais je n'ai pas envie d'aller jusque là… Quoique… page 72 … il ne se passe pas grand chose; page 122 … ça traine, ça traine; page 169…. bon ça commence un jour ?; page 273… ça se lit (et encore!) mais qu'est ce que c'est plat… page 329… je crois qu'il ne se passera rien de palpitant dans ce bouquin mais on ne sait jamais, je vais peut être passer à côté de l'histoire de ouf donc je continue quitte à m'ennuyer, on verra bien… page 375… bon bin c'était nul !


D'après la 4ème de couverture : “Drôle, émouvant, agité, Prochain arrêt le paradis, raconte avec entrain les tribulations d'une fille bien décidée à conquérir le monde ou pour le moins à y trouver sa place” Alors, voyons voir : drôle : ok pour quelques passages mais bon pas de quoi casser 3 pattes à un canard, émouvant : merci de me dire où ?, agité : je pense que nous n'avons pas la même compréhension du mot agité, je me suis quand même beaucoup ennuyée. Et quant à une fille bien décidée à conquérir le monde ou pour le moins à y trouver sa place : chacun peut conquérir le monde à sa façon certes, mais là c'est quand même carrément mollasson, pour moi conquérir le monde, ça doit être fou, il doit y avoir de l'aventure, des rebondissements, un peu de danger, du suspens… pourtant Sophie Applebaum mène une vie banale de chez banale, je préfère 1000 fois ma vie (qui n'a rien d'exceptionnelle, dommage). Je n'en ai pas encore fait un bouquin, et c'est là que vous me remerciez parce que vous vous ennuieriez carrément !


Je n'aime pas écrire ça d'un livre mais là franchement, je me suis demandée pendant les ¾ du bouquin si quelque chose allait commencer un jour… alors je ne sais pas, j'ai peut être rater quelque chose… Il n'y a pas d'histoire de fond, pas vraiment de fil conducteur, on suit la vie de Sophie Applapaum de l'âge de 12 à 40 ans (et encore c'est ce que je suppose…). Et comment dire ?? Sa vie n'est pas passionnante… mais plutôt d'un banal ennui ! le lecteur fait des sauts de puces dans sa vie, notre héroïne se cherche, enchaîne les histoires d'amour (dont on ne sait jamais comment elles se terminent, voir même comment elles commencent, ce qui auraient pu être plus ou moins intéressant), et tente désespérément de trouver un boulot qui lui correspond. Originalité bonjour !!! Mis à part certains passages sympathiques écrit avec beaucoup d'humour et un brin de cynisme, on s'ennuie quand même pas mal et je reste polie !


Conclusion : si vous êtes généralement de mon avis, ne lisez pas ce livre ; par contre si vous trouvez mes critiques nulles, inintéressantes, naives, puerils, bêtes… tentez de le lire et venez m'expliquer ce qui m'a échappé ! Et puis surtout, vous comprenez que ça ne sert à rien de lire la 4ème de couverture !
Lien : http://www.nola-tagada.fr/ca..
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Je n'ai pas du tout aimé ce roman !
Le personnage principal ne m'a pas captivé une minute, au contraire elle m'a agacé. Je ne me suis pas attaché à elle, je n'ai pas trouvé ce qui lui arrivait captivant.
J'ai trouvé l'histoire moyenne, c'est plat, vraiment plat.
Bref, un roman de trop !
Je ne vous le conseille pas, sauf si vous aimez quand il ne se passe pas grand chose .
Si j'avais su, j'aurais passé mon tour et je ne l'aurais pas lu !
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Un roman auquel je ne suis pas arrivée à m'interresser. Une histoire sans queue ni tete, des personnages insignifiants font de ce roman qui pour moi est un flop total.
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Je me suis fié à la quatrième de couverture, sachant que la collection dans laquelle je l'ai lu (Piment de feu France-Loisirs) rassemble des romans légers mais avec généralement un brin d'humour.
Rien de cela ici, enfin si, la légèreté de l'histoire. Ca semble démarrer correctement puis, après une trentaine de pages, il ne se passe plus rien.
On assiste à une succession de situations sans lien entre elles. On comprend que le personnage principal a vieilli mais il faut deviner que brutalement sans transition, sans indice, on a changé d'époque. On a changé d'époque mais quasiment pas d'histoire.
C'est quasi toujours un scénario semblable qui se déroule : la jeune fille à des amis pour lesquels elles se pose des questions évoquant (évoquant seulement) une amorce d'analyse des relations mais qui finissent une fois la question posée. Elle est toujours en recherche d'une relation sentimentale mais on ne sait jamais si elle a commencé une aventure ou si elle en narre une qui est terminée voire qui n'a pas commencé.
Quand je dis léger, j'exagère, car plus de cinq cents pages, ça pèse un peu.
Je ne dirai pas que c'est un roman de gare car il en existe de très bons, des amusants, des distrayants, des bien construits et ce serait donc faire injure aux ouvrages ainsi catalogués.
Si vous lisez mes critiques, vous verrez que je suis bon public, que je n'aime pas descendre un livre pour le plaisir, que je cherche à trouver du positif mais ici.. comment trouver lorsque l'on fouille le vide.
Je n'ai terminé cet ouvrage, il ne m'apportait rien, ne me distrayait pas, ne m'amusait pas.
En conclusion : sans intéret (Mon clavier ne fait plus les accents circonflexes !)
Un mode d'emploi est plus palpitant !
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Tout au long de ces 510 pages se déroulent environ vingt années de la vie de Sophie Applebaum, entre son adolescence et ses 30 ans.
Adolescente, elle sait parfaitement ce qu'elle veut et surtout ce qu'elle ne veut pas : célébrer sa bat-mitsvah et apprendre l'hébreu. Etudiante, elle poursuit ses études tout en multipliant les rencontres et les flirts, à la recherche de l'homme idéal et du boulot où elle pourrait s'épanouir pleinement. Elle obtient un poste d'assistante éditoriale sans se douter de toutes les compétences qu'il requiert et qu'elle n'a visiblement pas : lire rapidement, écrire rapidement sa critique, taper rapidement les fiches de lecture. Or elle est lente… et arrive régulièrement en retard, ce qui finit par poser un problème!
Autour d'elle gravitent différentes personnalités : ses parents, ses frères, Robert et Jack, ses copines, sa grand-mère, ses amoureux, qui tous laissent une empreinte plus ou moins légère dans la vie de Sophie.
Je n'ai pas trouvé ce livre particulièrement drôle et il ne m'a pas amusée. Il ne m'a pas franchement ennuyée, mais pas vraiment intéressée non plus et en le refermant, après le mot FIN, j'avais l'impression d'un roman inachevé.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Je n’ai pas regretté d’être allée à cette soirée.
Michael n’avait pas beaucoup changé, m’a-t-il semblé, bien que mes souvenirs soient plutôt flous dans la mesure où il faisait sombre devant le restaurant à Quogue et au Toy bar, et plus sombre encore dans sa chambre. Le restaurant indien, en revanche, était brillamment éclairé.
Je l’ai aperçu du coin de l’œil, et pour la première fois ce soir-là, je me suis félicitée d’avoir choisi ma robe parfaite.
J’avais imaginé ce moment je ne sais combien de fois ; je me voyais lui tourner le dos, le gifler ou faire semblant de ne pas le reconnaitre, j’avais eu tellement d’amants après lui, le premier, et tous tellement plus mémorables...
Mais lorsque nos yeux se sont croisés et que son regard a paru me demander si je me souvenais de lui, le mien ne s’est pas dérobé.
Il s’est approché de moi au moment où je m’apprêtais à partir. Il m’a proposé d’aller boire un verre quelque part ; j’ai décliné son offre.
Comment allait Hugh ? S’est-il enquis. Très bien. Est-ce qu’il peignait toujours ? De temps en temps.
Michael m’a accompagnée dehors et nous sommes restés à parler sur le trottoir – du moins, il a parlé. J’étais presque sûre que je ne retomberais pas sous son charme, mais pour ne pas prendre de risque, je me suis concentrée sur son nez.
Il m’a débité son histoire à toute vitesse – il avait une petite amie mais elle était à Prague, et de toute façon, ils étaient sur le point de rompre ; ils avaient pratiquement rompu, d’ailleurs - et moi, je me suis bornée à hocher la tête en, l’écoutant, comme on le fait lorsqu’on attend que quelqu’un se taise.
« Bon, ai-je dit enfin. Eh bien, je dois y aller.
_ Je peux t’appeler ? »
J’ai attendu longtemps avant de répondre, mais moins longtemps, évidemment, qu’il ne m’avait fait attendre. Alors que l’écho de sa question résonnait encore entre nous, je l’ai gratifié d’un regard appuyé puis, sans plus me préoccuper de lui, je me suis engagée sur la chaussée et j’ai levé la main pour héler un taxi. Au même instant, comme s’il était envoyé par un dieu auquel je ne croyais plus vraiment- le dieu de la comédie, peut-être, ou le dieu des choses parfaites, ou encore ma bonne fée-, un taxi est arrivé. Le temps de m’y engouffrer, et j’ai claqué la portière derrière moi.
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Ce soir-là, mes parents ont annoncé qu'ils avaient fumé leur dernière cigarette. Je suis allée chercher le paquet dans mon frigo en carton et ils ont procédé au rituel consistant à placer les cigarettes restantes sous le robinet de la cuisine, comme ils l'avaient déjà fait moult fois.Les jours suivants, Robert a décrit le processus triomphal de leur retour à la santé, le désengorgement de leurs vaisseaux sanguins, le réveil de leurs cils. Au cour du dîner, li disait : "Vous ne trouvez pas que tout a plus de goût ?" Et ensuite : "Pourquoi on n'irait pas marcher un peu pour respirer le bon air ?"Mon père serrait les dents , ma mère se tordait les mains.
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« Il ne m'a jamais dit qu'il m'aimait.
- Certaines personnes ne le disent jamais, réplique-t-elle. D'autres le disent à tout bout de champ et ne le pensent pas. »
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Author Melissa Bank is interviewed by former conference coordinator Deborah Pearl Siegel. A wonderful deep conversation about voice and why we write.
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