Crains le pire

Il m'arrive parfois, en tant que lecteur, d'adopter un comportement masochiste. Je ne sais par quelle alchimie dont je vous épargne les 50 nuances d'analyse possible, je lis plusieurs livres d'auteurs dont je suis systématiquement déçu.
Suis je le seul spécimen?

C'est donc ce phénomène qui m'a conduit à lire mon troisième Linwood Barclay
Pourtant le sujet était sensé me prendre aux tripes: un père recherche sa fille de 17 ans qui disparait subitement
J'ai eu cette joie immense d'avoir une fille de cet âge, de lui avoir donner une permission de sortie jusqu'à 23 heures et d'avoir vécu jusqu'à 23h07, heure de son arrivée, une histoire d'horreur qui faisait ressembler Stephen King à Walt Disney.
Mais, décidément, Barclay n'a pas la fibre du roman noir: il confond action et tension, rebondissements et suspens.
Tout est trés vite prévisible dans ce livre, surtout la fin.
Cependant, il a du talent comme le montre une scène d'action trés intense dans une concession automobile.

Il faudra sans doute que j'en lise un quatrième pour esperer que ce talent s'étalera sur tout le livre

Mais, ce n'est que mon humble avis

Un titre menaçant, écrit en lettres de sang, qui retentit comme un avertissement ; une paire d'escarpins rouge vif (tiens donc ! ) abandonnés sur un ponton en bois clair dont les lignes et les couleurs s'estompent et se fondent dans un plan d'eau que l'on discerne à peine.
Bref, une première de couverture percutante et empreinte de mystère qui bouscule quelque peu le lecteur et l'incite à échafauder des hypothèses sur le polar glacial qui semble l'attendre.
Cette tension ne dure guère hélas ! Une fois le cadre posé et quelques passages mis à part, l'intrigue traîne en longueur, se révèle peu palpitante et a plutôt eu des effets soporifiques sur ma personne.

Le quotidien de Tim Blake, vendeur de voitures d'occasion, divorcé, est des plus ordinaires qui soit jusqu'au jour où Sydney, sa fille de 17 ans, ne rentre pas de l'hôtel où elle travaille pour l'été. Tim connaît dès lors les affres auxquelles sont confrontés les parents dont l'enfant a disparu. Une multitude de questions sans réponse et un intense sentiment de culpabilité.
Dévasté, il remue néanmoins ciel et terre pour retrouver Sydney. Mais ne s'improvise pas enquêteur qui veut et bien qu'il fasse preuve d'une grande détermination, ses démarches, souvent hasardeuses et maladroites, le précipitent fréquemment dans des situations fort délicates. À la décharge du pauvre homme, il faut dire qu'il fait des découvertes relativement consternantes et déstabilisantes sur sa fille et que la police qui, dans un premier temps, envisage l'éventualité d'une fugue, loin de lui venir en aide, finit par se montrer soupçonneuse à son égard.

Crains le pire est mon premier Linwood Barclay et je ne suis absolument pas séduite. L'ensemble manque singulièrement de mordant à mon goût. le style s'avère particulièrement plat, les rebondissements introduits de façon peu habile et moyennement exploités et les émotions des personnages insuffisamment explorées. Peut-être n'ai-je pas fait le bon choix pour faire connaissance avec l'écrivain ? À voir si la lecture d'autres ouvrages de l'auteur m'amènera à nuancer mon opinion...

Après avoir lu "cette nuit là du même auteur, je suis un peut déçu de celui là.. Beaucoup moins de suspense, se qui donné un coté plat à l'histoire... J'ai faillit abandonnée, mais j'ai réussis à terminer le livre. Je ne recommande pas à cette lecture. Linwood barclay en a des meilleurs !

c'est comme un film d'action trépidante, et qu'à la fin il y a le dénouement, on comprend qui fait quoi et il s'arrête là comme ça, sans la suite, bref pour moi, il est inachevé!

Les première pages nous mettent dans l'ambiance.
La fille de Tim Blake, 17 ans a disparu.
Ce matin là, elle était censée partir au travail. Un petit job d'été.
En faisant des recherches, son père apprend qu'elle n'a jamais travaillé à cet hôtel.
L'histoire est accrocheuse. On se dit que nous allons aller de rebondissements en rebondissements, de pistes en fausse pistes...oui...mais non.
Enfin si, au début du roman et à la fin.
Parce qu'au milieu, je me suis un peu ennuyée.
Un "peu" parce que l'écriture est fluide, agréable et le père est touchant.
J'ai donc apprécié sans accrocher!

Sydney, jeune fille de 17 ans disparaît du jour au lendemain. Ses parents sont divorcés et se lancent à la recherche de leur fille. Tim son père, vendeur dans une concession automobile va tout tenter pour la retrouver, même si les renseignements qu'il obtient semblent vouloir dire que finalement il ne connaissait pas sa fille si bien que ça. Mensonges, trahisons, secrets, l'histoire s'étire un peu trop, j'ai cru ne pas en voir la fin.

Bof pas très bien écrit et longuet

Un thriller peu profond qui n'a pas réussi à m'emporter avec lui dans l'inquiétude grandissante d'un père pour sa fille adolescente!

Un roman qui se lit bien mais que je risque quand même d'oublier assez vite.



Sydney, 17 ans vit chez son père l'été car elle travaille dans un petit hotel pas trop loin. Un soir elle ne revient pas à la maison. Fugue? Enlèvement? Meurtre? Au bout de quelques jours on retrouve la voiture de Syd avec des traces de sang. Sans réel progrès de la police, le père décide de prendre les choses en mains. Il lance un site internet et reçoit un message. Quelqu'un aurait aperçu Syd à Seattle, photo à l'appui. Il s'y rend.. mais cette personne n'existe pas. de retour chez lui sa maison a été mise à sac. Qu'y cherchait-on? A partir de là c'est l'escalade...



Je n'ai pas trop aimé certains aspects d l'histoire: le père qui fait cavalier seul, la fin qui nous laisse sur notre faim et (attention spoiler) la découverte d'une seconde fille suite à un don de sperme .



Par contre on ne peut que comprendre le désarroi d'un père avec la disparition de sa fille, et ce que l'on peut être amené à faire pour retrouver son enfant coûte que coûte.



Un avis mitigé donc.
Lien : http://www.mrsblovesbooks.ca..

fear the worst