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Commissaire aux morts étranges tome 3 sur 8
EAN : 9782330027735
378 pages
Actes Sud (05/02/2014)
3.69/5   171 notes
Résumé :
Hiver 1759. Alors que s’élèvent les fusées multicolores d’un splendide feu d’artifice donné par le roi à son bon peuple de Paris, un inconnu est assassiné dans une ruelle. C’est le troisième jeune homme retrouvé égorgé et la langue arrachée. Mais cette fois, la victime est russe.

Le commissaire aux morts étranges se charge de l’affaire dans une atmosphère aussi singulière que les meurtres dont il a la charge : les miracles se multiplient au cimetière ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (40) Voir plus Ajouter une critique
3,69

sur 171 notes
« Tuez qui vous voulez » est le troisième épisode de la série du commissaire aux morts étranges créé par Olivier Barde-Cabuçon.
Plongez avec moi en plein décembre 1759. A l'époque, ces hivers étaient bien plus rigoureux que les notre et d'ailleurs j'ai quasiment eu froid pendant tout le récit. Les seules exceptions notables ont été quand le chevalier Volnay ou le moine hérétique m'ont proposé de me réchauffer devant un bon petit feu de cheminée….
Les fêtes de Noel sont là, mais Volnay n'a pas vraiment l'esprit à cela. En effet, on vient de trouver pour la troisième fois, un homme égorgé au coin d'une rue. Les trois victimes ne semblaient pas se connaitre et trouver un lien entre elles semble plus que difficile.
Volnay, assisté de son père le moine (qui va se révéler un peu dissipé dans cet épisode ) va essayer de comprendre quel est le lien entre les victimes et les jansénistes. En effet, la victime numéro deux y était indirectement liée. Je n'avais jamais vraiment approfondi mes connaissances au sujet de cette mouvance, je connaissais juste leur opposition aux jésuites. Dans le livre, nous allons avoir affaireà une de leurs branches que je qualifierais d'extrémiste….
Cette histoire va faire la part belle à un personnage historique célèbre pour son ambiguïté : le chevalier d'Eon. Ce dernier, de retour d'une mission à Saint-Pétersbourg va être mêlé à cette intrigue…. Je trouve que l'auteur a bien réussi à faire ressortir le coté ambivalent et ambigu de ce chevalier d'Eon.
J'ai trouvé l'enquête un peu moins captivante que celles des deux tomes précédents… Un rien fouillis aussi, mais ceci n'est que mon ressenti.
Cela ne m'empêchera pas de lire la suite des aventures de Volnay, de sa pie et de son père…


Challenge A travers l'Histoire 2020
Challenge Mauvais Genres 2020
Challenge Séries 2020
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Après "Casanova et la femme sans visage" et "Messe noire", voici le troisième volet de la série "Les enquêtes du commissaire aux morts étranges".


Pour résumer
Hiver 1759. En cette veille de Noël, le roi Louis XV a décidé d'offrir à la population un magnifique feu d'artifice autour de la Seine. Mais le lieutenant général de police Sartine reste sur ses gardes : entre l'affaire des convulsionnaires, les luttes internes entre les services de police, les Affaires étrangères et le Secret du Roi, et la résurgence de la fête des Fous (inversion de l'ordre social), il a fort à faire, d'autant que la menace gronde dans les quartiers populaires de la capitale.
C'est dans ce contexte que sont successivement retrouvés morts trois hommes, assassinés selon le même modus operandi : gorge tranchée et langue arrachée. Aucun point commun ne semble relier ces trois morts.
Aidé de son père et de la belle Hélène, le chevalier de Volnay, commissaire aux morts étranges, va mener l'enquête. Mais, entre la fête des Fous qui approche et le rôle obscur du chevalier d'Éon, il faudra toute la ténacité et la sagacité du chevalier de Volnay pour arriver à démêler les fils de cette affaire et faire surgir la vérité.


Un Paris du XVIIIe siècle extrêmement vivant
Olivier Barde-Cabuçon restitue avec talent et précision le Paris de ce milieu du XVIIIe siècle et l'on sent à travers son écriture et ses descriptions combien cette période lui est chère. Mais il ne se cantonne pas uniquement à des descriptions physiques – architecture, paysage, décor, métiers... –, il parvient également à nous retranscrire l'atmosphère, les comportements et l'état d'esprit qui régnaient alors dans la capitale.
Au gré de l'enquête de Volnay et de son père, on parcourt à leurs côtés différents quartiers de Paris, qu'ils soient populeux, artisanaux ou bien bourgeois : quartier du faubourg Saint-Antoine, bords de Seine, quartier de la rue Saint-Honoré, quartier du faubourg Saint-Jacques... C'est l'occasion d'y découvrir la vie au quotidien, mais aussi les grands sujets qui préoccupent ou passionnent les foules. Prostitution, pauvreté, mendicité, artisans, bourgeois, espionnage, mouches, police, Secret du roi, jansénisme, convulsionnaires, herboristerie, cabarets... voici quelques-uns des nombreux thèmes abordés dans ce roman.

"Ils s'engagèrent rue du Faubourg-Saint-Antoine, au milieu d'une nombreuse populace sillonnée par tous les corps de métiers ambulants. Ils regardaient à droite comme à gauche pour se garder d'être bousculés car le quartier était percé de cours, passages et impasses et les passants s'en écoulaient comme d'une gigantesque termitière. [...] Depuis, menuisiers, façonniers, ébénistes, vernisseurs, doreurs, tapisseurs et marquetiers s'étaient progressivement installés dans le quartier Saint-Antoine. De nombreux artisans de France et d'ailleurs les avaient rejoints avant que la verrerie ne s'installe à son tour. La manufacture de verre vénitien, devenue Compagnie de Saint-Gobain, s'était développée depuis son installation à la fin du siècle dernier grâce aux subventions royales. Le quartier avait attiré au fil du temps de nombreux ouvriers mais aussi des indigents. Une foule considérable grouillait maintenant dans ses rues, laborieuse mais turbulente. Artisans et ouvriers aux moeurs simples travaillaient directement pour une clientèle riche et aristocratique. Ils en mesuraient toute la morgue et l'inutilité, prenant conscience des différences de richesses, jalousant les clients pour lesquels ils travaillaient exclusivement. Aussi, le quartier avait gagné la réputation d'une humeur chatouilleuse, volatile et prompte à la révolte."


Des personnages intéressants
Les personnages, qu'ils soient au premier plan ou bien secondaires, sont tous très intéressants, car représentatifs de la société d'alors et décrits avec soin. Chacun d'eux possède sa propre histoire et son propre caractère. Et cette précision et cette incarnation nous permettent de nous attacher à eux.
Dans ce roman, on retrouve nos protagonistes habituels, mais ils gagnent tous ici en profondeur, on découvre de nouvelles facettes de leurs personnalités inconnues jusqu'alors : le chevalier de Volnay, ténébreux et rigide, commence à fendre l'armure face à l'Écureuil, jeune femme autrefois prostituée dont il est tombé amoureux et qu'il protège, même s'il reste très maladroit et peine à exprime ses sentiments. Quant à son père, le moine, il est toujours aussi caustique, truculent et en marge de la société, mais son humour se teinte d'une mélancolie inattendue et attendrissante. Heureusement, la belle et mystérieuse Hélène est là pour lui remonter le moral ! Toujours égal à lui-même, nous retrouvons le lieutenant général de police Sartine, mais on se rend compte qu'il n'est pas si puissant que cela et qu'il souffre de gros problèmes digestifs, ce qui le rend un peu plus humain !
Ainsi le duo d'hommes formé par le chevalier de Volnay et son père s'enrichit ici par ce duo de femmes, dont on pressent qu'il sera amené à monter en puissance lors du prochain tome.
À ces personnages s'ajoutent toute une galerie de personnages très riches, tous différents les uns des autres, nous permettant de découvrir d'autres milieux sociaux : les orphelins Séverin et Baptiste, le mystérieux et fantasque chevalier d'Éon (note pour l'éditeur : la rivière qui se trouve dans l'Yonne ne s'écrit pas Armençon mais Armançon, page 158, à moins qu'il ne s'agisse de l'ancienne écriture ?), des bourgeois, des prostituées, des artisans, des mouches, des apothicaires, des religieux pas très honnêtes, le duc de Choiseul, etc.
Tout cela donne un magistral tableau de la société parisienne au XVIIIe siècle.


Trop d'intrigue tue l'intrigue
Point commun avec les deux précédents volumes de la série : l'humour, l'insolence, l'érudition et l'élégance du style. Malgré quelques longueurs, l'auteur alterne avec aisance les descriptions et les dialogues, toujours aussi savoureux et cocasses. Il faut dire qu'il est aidé en cela par des personnages étonnants et très différents les uns des autres. Ainsi, dès le début du roman, nous assistons à une scène mémorable au cours de laquelle le moine montre ses fesses à Sartine et qui, plus loin, lui fournit un remède contre les flatulences !
"Qui trop embrasse mal étreint", cette expression pourrait résumer mon avis sur ce policier historique. En effet, si l'auteur possède incontestablement l'art de conduire le récit, il n'en demeure pas moins qu'il ne parvient pas à maîtriser son intrigue, et cela pour la simple raison qu'il y en a trois ! Le fait de mêler trois enquêtes – les trois morts étranges, les convulsionnaires et la fête des Fous – permet de faire voyager le lecteur dans différents milieux et secteurs de la ville, mais cela complique beaucoup le récit au point que tout s'emmêle et qu'on ne sait plus bien quel est le fil directeur du roman. Pourtant, avec son style simple et direct, il déroule de manière fluide son récit, mais le roman ne se structure jamais en une véritable intrigue policière. À force de suivre plein de pistes à la fois, l'auteur s'éparpille, le lecteur est perdu, le récit devient un peu confus, le rythme en devient inégal et puis surtout, il n'y a aucun suspens, aucun rebondissement, car on ne sait même plus quelle est l'intrigue !
L'autre gros défaut de ce roman, à l'origine de ma déception, est que l'affaire est résolue sans que l'on ait eu accès à toutes les pensées et découvertes du chevalier de Volnay alors que le narrateur omniscient nous permettait en principe de le suivre et de connaître ses pensées en permanence. On se demande alors si on n'a pas sauté une page du roman, mais non, et on se sent un peu dupé, car il nous était bien impossible de deviner qui était le meurtrier et de connaître les mobiles de ces crimes. Au final, on ne peut pas s'empêcher de se dire : "Tout ça pour ça ?"
Lien : http://romans-historiques.bl..
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Je suis très loin d'aimer le XVIIIe siècle. La période de renaissance est une période que je n'ai jamais été tenté d'étudier, préférant le moyen âge ou l'âge des empires. Ainsi, lorsque les librairies Décitre m'ont offert très chaleureusement (et je les en remercie !) le livre « Tuez qui vous voulez » de Barde-Cabuçon en échange d'une critique, j'ai eu très peur de ne pas aimer.

De plus, il faut savoir que ce livre fait partie d'une série de livre des « enquêtes du commissaire aux morts étranges ». N'ayant pas lu les deux précédents livres, je n'en ai pas pour autant était perdu car mis à part quelques allusions aux deux précédentes enquêtes, nul besoin de les avoir lus dans le détail pour apprécier celle-ci.

Donc ici, l'auteur nous transporte durant quelques jours de fin décembre, au coeur d'un Paris du milieu 18e siècle. La prostitution bas son plein, la répression policière est à son apogée, les libertés sont bafouées, la religion est omniprésente et la fête des fous se profile à l'horizon ! On doit bien avouer que l'auteur a de la matière pour travailler ! Sans compter que ce livre est un polar et qui dit polar dit… meurtres ! Triple ici !

L'histoire ne se limite pas à une simple interrogation du type « Qui est le coupable ? ». Non ici, l'auteur nous balade entre conflits religieux, conflits politiques, conflits amoureux, conflits familiaux… Cette enquête nous balance dans tous les sens pour nous perdre et nous révéler un meurtrier que l'on ne soupçonnait même pas !

Mais l'histoire tire surtout sa richesse de ses personnages. Outre le commissaire aux morts étrangers, Volnay se son prénom, personnage très ténébreux, intelligent et sérieux, il y a mon chouchou… le moine, père du commissaire. Un homme en marge de la société, très contemporain dans sa façon de penser, à la réplique humoristique efficace et dont la jeunesse n'est pas à prouver ! Un duo de choc qui fait mouche et on sait tous que les duos dans les polars ont toujours était efficaces !

Enfin, l'auteur nous fait partager une passion pour cette époque. Il ne manque pas de glisser des anecdotes qui n'alourdissent pas pour autant le récit. D'autant plus que l'auteur à un style très direct et ne tourne ainsi jamais autour du pot. Une grande qualité qui fluidifie l'histoire.

En conclusion, c'est un bon polar qui m'a agréablement surpris au point de me pousser à lire les précédentes enquêtes du commissaire. Il plaira à tous les amateurs du genre et davantage aux amoureux d'histoire française !
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Moi qui est plutôt tendance a ne pas terminer les bouquins qui me déplaisent ( en plus vu , sans être très âgé je ne dois pas me perdre si je veux encore lire tout plein de choses ) .J ai été d une mansuétude rare avec le Commissaire aux morts étranges de M. Olivier Barde Cabuçon ( ouf rien que pour écrire les noms de la série et de l 'auteur vous prenez des crampes dans les doigts ! ) Bref ce 3° opus est aussi décevant que les deux premiers l''Enquête policière est épaisse comme du papier à cigarettes malgré une tentative de réanimation ratée dans les dernières pages la malade est morte d ennui . Et les personnages caricaturaux au possible , même si j ai bien compris que l auteur joue le contraste du fils austère et du père le moine , déluré , coureur de jupon à ce propos on nous signale qu il a 52 ans , pour mémoire l espérance de vie était a l époque de 25 ans , 30 ans en fin de siècle et 37 en 1810. C est donc un ridicule Casanova Mathusalem que nous sert l auteur , mais bon des goûts et des couleurs .....Pour les personnages secondaires c est dans la même veine un Sartine qui par ses "grosses " colères fait penser à celui de Nicolas le Floch .Les personnages féminins qui auraient sans doute mérités mieux évanescents et très évaporées .Dans cette aventure ( oui enfin j'exagère et me laisse emporter là !) pour épaissir le brouet on nous gratifie que quelques scènes d érotisme léger et de bonnes grosses expressions d époque bien vulgaires . Voilà je pense qu ' il est clair que mon bout de route avec le Chevalier de Volnay va s 'arrêter là .Mais ce n est que mon avis et ne prétends pas ( bien sûr ) au goût universel
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N°817 – Octobre 2014.

TUEZ QUI VOUS VOULEZOlivier Barde-Cabuçon. Actes sud (Actes noirs).

Nous sommes en 1759 et Paris est perturbé par d'étranges assassinats qui vont occuper le Chevalier de Volnay, commissaire au Châtelet et « aux morts étranges ». Les trois victimes, de jeunes hommes, sont égorgées et on leur arrache la langue, un bien curieux modus operandi, d'autant que chacun d'eux était porteur d'un mystérieux breuvage.
Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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Citations et extraits (57) Voir plus Ajouter une citation
Enfouie au fond d'elle-même, elle charriait depuis des siècles une tristesse pesante et infinie , l'idée qu'on avait volé son enfance, sa vie et que ce monde se résumait à un immense champ de désolation où prospéraient temporairement quelques-uns et où la plupart souffraient indéfiniment.
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- Je n’ai aucune envie de voir les convulsionnaires recommencer leurs sauts et cabrioles autour de la tombe du diacre Pâris à Saint-Médard ! J’ai relu les notes de mon prédécesseur de l’époque. Le cimetière était devenu un théâtre où s’agitait en tout sens une foule de furieux. L’avocat Pinault se mettait à quatre pattes et aboyait comme un chien pendant des heures ! Quant aux femmes, assises sur les genoux des hommes, elles éprouvaient les secousses les plus violentes ! Vous voyez ce que je veux dire ?
Le moine sourit poliment mais seulement des lèvres.
- Non, décidément, gronda Sartine. Je n’ai nul désir de les voir se rouler sur les tombes, crier et hurler comme des possédées ! Savez-vous que des femmes s’allongeaient par terre jusqu’à ce que leurs talons touchent leurs épaules ? Comprenez-vous ce qui attirait les curieux ?
- Moui, fit le moine, on en revient toujours là ! Mais quand même, je me pose bien des questions sur ces présences féminines si importantes dans ce type d’événements …
- C’est que les femmes sont plus souples que les hommes, expliqua Sartine qui n’avait pas compris le sens de la remarque du moine. Elles excellent aux jeux de souplesse, vous n’entendez pas ?
- Si, je vous entends mais je vous écoute le moins possible ! dit le moine en lui tournant le dos.
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Sartine s'étrangla.
- Avez-vous vu ce que faisais votre père?
- Euh, non...
- Il vient de me montrer son cul!
[...] Sartine fulminait. Il n'en revenait pas de ce manque de respect. La vision des fesses du moine le hanterait longtemps!
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- La fête des fous étaient un exutoire, reprit le moine d'un air attendri. Le peuple vivait dans un monde dur et régi par les contraintes sociales. Avec cette fête, le pouvoir et l'Eglise relâchaient la pression une fois l'an. Réintroduire la chair dans la maison de Dieu constituait un formidable moyen de transgresser l'ordre social. Une journée de folie et ensuite tout rentrait dans l'ordre jusqu'à l'année suivante. Seulement voilà, se sont mis à penser certains : et si, au lendemain, tout ne rentrait pas dans l'ordre ?
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Un groupe de jeunes gens passait en chantant et dansant. Certains portaient des masques et les filles du groupe prenaient des poses aguicheuses pour faire rougir les bourgeois. Volnay s'étrangla soudain. Au milieu d'eux, gai et exubérant, son père, en tenue de moine, s'égosillait au bras de deux jeunes donzelles qu'il faisait rire aux éclats.
- Mais... balbutia Sartine, on dirait que c'est votre père ! Que fait-il donc ?
De son côté, une partie du groupe s'était aperçue de l'attention qu'on lui portait. Une fille dit quelque chose à ses compagnons. Ils rirent et, se retournant vers Sartine et le guet, le moine releva sa bure et leur montra ses fesses.
Sartine s'étrangla.
- Avez-vous vu ce que faisait votre père ?
- Euh, non...
- Il vient de me montrer son cul !
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Vidéo de Olivier Barde-Cabuçon
Lyon, 1760. de retour du Caire et entouré de sa compagne égyptienne, l'envoûtante Yasmina, et de son père, le fameux moine hérétique, le chevalier de Volnay se retrouve confronté à une série de morts mystérieuses. Chaque victime a été immolée par les flammes… Olivier Barde-Cabuçon nous en parle !
le nouveau roman d'Olivier Barde-Cabuçon est en librairie ! https://www.actes-sud.fr/les-sept-vies-du-moine #actesnoirs #polar
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