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3,65

sur 361 notes
73°Ce n est pas encore cette fois que je vais grossir mon score de 1° critique Bouh ! Snif ! .Non sérieusement , mon avis est mitigé sur ce bouquin , l histoire est bien construite , solide ,complexe , mais accouche d une souris anémique , le personnage principal est intelligent , rusé mais naïf et borné comme un coin . Amoureux certes mais maladroit et rongé par la jalousie et l envie . Pour les autres acteurs du drame la Pompadour et Monsieur XV prénom Louis jouent leurs partitions historiques parfaitement . le Comte de St Germain est érudit , secret mystérieux trop peut-être parfois s'en est lourdingue .Casanova doit , il me semble être le plus proche de la réalité , un peu caricatural , peut-être . le moine / père du héros à la fois protecteur et boute en train du livre sauve certaines longueurs . l'héroïne ( Chiara ) n a pas vraiment d épaisseur , elle est aussi malhabile que Volnay ( le héros ) pour exprimer ces sentiments , et l on se doute très vite qu' elle va tomber dans les bras du bel Italien tout auréolé de sa réputation de séducteur et amant fabuleux . Soyons juste les atermoiements du commissaire font qu ' il l a bien mérité . l'ambiance générale baignant dans le vice . l occultisme , l alchimie ( ah cette pierre philosophale et cet élixir d immortalité !!!), une odeur de fin d' un monde m a fait ( un peu ) penser à celle de Joseph Balsamo . Voilà je vais tout de même tenter un second pour avoir une opinion définitive .Ah ! J oubliais un petit clin d oeil a un pote à moi je cite : ( page 154) " un magistrat de l époque des Tang un certain Ti Jen -Chieh" ( ou Tsié) . Référence à Robert van Gulick et Frédéric Lenormand
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A Paris, le jeune chevalier de Volnay, devenu commissaire aux morts étranges, après s'être fait remarqué en déjouant l'attentat de Damiens contre Louis XV, arrive rapidement sur les lieux où l'on a découvert le corps d'une femme dont la peau du visage a été arrachée. le témoin de ce qui semble être une attaque, est le chevalier de Seingalt, alias Casanova. L'identification de la victime, une perruquière au service du roi, oriente d'abord l'enquête dans les activités sulfureuses du monarque, amateur de très jeunes femmes. Une hypothèse qui se renforce quand une deuxième jeune femme est retrouvée au Parc aux cerfs - un domaine proche de Versailles, bien connu pour abriter les turpitudes du souverain, la peau du visage également arrachée. Outre la piste de la suppression de maîtresses gênantes, se profilent également les tentatives de renversement du régime par la Confrèrie du Serpent, le parti dévôt qui veut la chute de la Pompadour et des recherches secrètes mais très convoitées, du comte de St Germain, qui cherche la pierre philosophale qui permet de changer le plomb en or...

Première enquête de Volnay, jeune commissaire aux affaires étranges, Casanova et la femme sans visage nous plonge en 1759, une période qui voit Louis XV, depressif, se livrer à ses penchants sexuels lors de parties fines, organisées par la Marquise de Pompadour, une époque troublée par les mouvements politiques qui veulent remettre en cause la Monarchie et une enquête placée sous les auspices de Sartine mais dans laquelle se mêlent Casanova et le comte de Saint Germain, de quoi faire douter le jeune commissaire qui ne s'est plus à qui faire confiance...Heureusement, un moine défroqué, particulièrement futé et roublard ainsi qu'une pie bavarde, secondent efficacement le jeune chevalier de Volnay.
Une découverte avec cette première enquête pleine de rebondissements, dans laquelle Olivier Barde Cabuçon mêle très adroitement personnages historiques - Mme de Pompadour, Casanova, le comte de St Germain, et les personnages de fiction. Des personnages bien trempés, un contexte historique intéressant, permettent une immersion très vivante dans le Paris du XVIII siècle, autant dans les salons feutrés des courtisanes que dans les rues pavées et peu éclairées des quartiers mal famés.
Une première enquête qui soulève quelques secrets entourant le jeune chevalier et qui donne envie d'en connaître un peu plus sur ce commissaire aux morts étranges.
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Ce roman policier historique est le premier d'une série mettant en scène du temps de Louis XV le jeune chevalier de Volnay, propulsé « commissaire aux morts étranges » au Châtelet pour avoir sauvé la vie du roi, et son assistant, ce religieux dont nul ne dit le nom, jadis condamné par l'Église, qui procède dans son laboratoire à toutes sortes d'expériences, dont celles sur des cadavres pour en découvrir les causes de la mort.
Volnay prend en charge l'enquête liée au meurtre d'une jeune femme, manifestement de bonne origine, découverte dans une rue parisienne le visage totalement découpé. Son habillement et son apparence laissent à penser qu'il ne s'agit pas là d'une de ces courtisanes qui courent le client. le premier à l'avoir découverte n'est pas un inconnu, mais un noble vénitien, largement précédé par sa réputation de joueur, escroc, et coureur de femmes : Casanova, qui pour fuir s‘est renommé chevalier de Seingalt. Autant dire que pour le strict Volnay, épris de justice, ce bellâtre qui croit manipuler son monde, est horripilant… et suspect…
Après avoir récupéré sur le cadavre une lettre portant le sceau du roi, Volnay oriente ses investigations vers la cour. La présence autour de son enquête des forces qui s'opposent dans l'entourage du roi lui confirme qu'il se rapproche de la vérité. Tour à tour surgissent une délicieuse signorina, Chiara d'Ancilla, riche héritière, proche de la marquise de Pompadour, des sicaires agissant pour le parti dévot, qui souhaite la chute de la favorite, quelques exaltés issus d'une mystérieuse Confrérie, et le fameux comte de Saint-Germain, savant et alchimiste si proche des puissants… Beaucoup de monde s'intéresse à cette jeune morte, ou plutôt au courrier qu'elle détenait.

Olivier Barde-Cabuçon fait preuve d'une imagination trépidante, alliée à une grande maîtrise de la période. Son personnage s'inscrit dans la lignée des romans historiques. Un soupçon du Nicolas le Floch, lui aussi commissaire au Châtelet à cette période ; Sartine se montre d'ailleurs bien plus déplaisant ici que chez Jean-François Parot. Une (grosse) louche du Joseph Balzamo d'Alexandre Dumas, ésotérisme et alchimie compris.
Volnay est un jeune homme idéaliste, au coeur d'artichaut, n'osant avouer son penchant pour la sémillante Chiara, modèle d'éducation au temps de la science débutante. Tout le contraire d'un Casanova à la vie trépidante, multipliant les conquêtes, manipulateur et charmeur, et qui inévitablement veut lui aussi conquérir la belle italienne.
Le récit avance assez lentement, porté par un beau style. L'enquête policière se dilue dans un récit plus porté vers le contexte historique que vers la résolution d'un crime. Quelques longueurs viennent d'ailleurs par moments inquiéter le lecteur. Olivier Barde-Cabuçon contrôle t-il toujours son intrigue ? Quelques pages plus loin le rythme reprend cependant, les épées sortent de leurs fourreaux, les bon mots fusent. Barde-Cabuçon réussit par ce roman à imposer son personnage et son entourage à une époque où les philosophes font le creuset de la Révolution.
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Bon roman historique utilisant une intrigue policière et amoureuse avec une écriture très agréable et de qualité. En plein siècle de Louis XV l'histoire met en scène un “commissaire aux morts étranges” titre bien original qui colle bien avec le style du roman. Ce commissaire fréquente des personnalités de l'époque telles Casanova, la Pompadour, le comte de Saint-Germain, le lieutenant-criminel Sartine et nous allons tout au long de ce roman admirer les magnifiques costumes décrits avec précision, traverser les rues de Paris. Ce roman nous permet d'excellente façon de se familiariser avec le XVIII e siècle en utilisant une enquête sur des crimes et de mystérieuses lettres pouvant impliquer le roi.
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Cela faisait un petit moment que je lorgnais les "enquêtes du commissaire aux morts étranges", et j'ai fini par craquer. J'ai donc lu avec un grand plaisir ce "Casanova et la femme sans visage", a priori le premier volume des enquêtes du Chevalier Volnay, préposé aux morts bizarres sous Louis XV et la Marquise de Pompadour. Une femme est retrouvée morte, avec le visage dépecé. S'en suit une enquête qui va remonter jusqu'à l'entourage très proche du Roi.

Affaire sensible. Très sensible. Racontée avec sensibilité. Quelques personnages italiens plus ou moins recommandables, dont Casanova.

Bien écrit, c'est un grand plaisir. Je ne vais pas manquer de me plonger dans les épisodes suivants pour voir si cela gagne en qualité ou pas. Je suis tenté.

Une très bonne découverte.
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Quand on parle de romans policiers au temps des Lumières, tout le monde pense aux enquêtes de Nicolas le Floch ; of course. Certes, ce personnage est la référence dans le sous-genre du polar historique et Jean-François Parot, sans conteste d'une érudition fascinante sur ce Paris du XVIIIe siècle, pris entre aspirations philosophiques (cantonnées à un cercle restreint n'exagérons rien) et respect de l'absolutisme de droit divin (en majorité). Mais chers lecteurs, sachez que sieur Parot n'est pas le seul sur le marché et qu'un petit nouveau est en train de lui voler la vedette, je cite : Olivier Barde-Cabuçon et son commissaire aux morts étranges, Volnay.

Déjà, commissaire aux morts étranges, perso j'adhère au concept. Electron libre, concurrent non avoué de Sartine, lieutenant criminel du Châtelet, Volnay a acquis le privilège de gérer les enquêtes les plus sordides et hors du commun grâce au roi Louis XV qu'il a sauvé d'une mort certaine lors du fameux attentat de Damiens. le truc de Volnay s'apparente presque aux expert Las Vegas, à savoir la recherche minutieuse d'indices et faire parler les morts par l'intermédiaire de l'autopsie (triturer des corps dans un pays catholique au XVIIIe siècle est encore considéré comme de la sorcellerie d'où le côté super original de notre enquêteur). Austère, peu amène, rigoureux, limite ascète (son seul compagnon est une pie), Volnay n'aime pas trop le pouvoir royal, ce qui se révèle un brin embêtant vu qu'il en dépend directement. Un antisocial qui dénote et dérange, bon point !

Le 1e volet des enquêtes de monsieur Volnay porte sur la mort étrange d'une courtisane/fille de joie à qui on n'a ni plus ni moins que dépecé le visage (et bon appétit bien sûr !). Les pérégrinations de notre commissaire l'amèneront à côtoyer Casanova, libertin vieillissant mais encore vaillant, la Pompadour qui intrigue pour rester au sommet, la franc-maçonnerie, les grenouilles de bénitier réfractaires aux Lumières et quelques mystérieux personnages. Aidé d'un moine défroqué au passé douteux et sulfureux, Volnay devra résoudre une enquête tout en jouant habilement avec les faux-semblants et les ronds de jambe propres au monde de Versailles.

J'ai été happée par la restitution fidèle (j'ose l'espérer) de ce Paris des Lumières bien plus obscur qu'on ne le croit, de ce siècle d'idées nouvelles centrées sur la science et la place de l'homme en tant qu'être libre et pensant. Et cerise sur le cheesecake, outre l'intrigue, intéressante (cela reste un roman policier, il faut quand même maintenir le suspense), nous apprenons pas mal de choses sur cette époque. En ce qui me concerne, j'aime ressortir plus cultivée de mes lectures (histoire de briller lors des repas du midi avec les collègues ;)). 1e tome mais croyez-moi pas le dernier ! Allez hop, le 2e tome est déjà sur ma liste !
Lien : http://www.livreetcompagnie...
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J'ai toujours aimé les romans historiques, et ayant reçu ce livre à l'occasion d'une offre spéciale de Babel Noir, j'avoue que ce dernier attisait ma curiosité depuis un petit moment.
Déjà la couverture, très réussie selon moi, ainsi que le titre : Casanova et la femme sans visage, Une enquête du commissaire aux morts étranges....Intrigant n'est ce pas ? Je connaissais déjà Nicholas le Floch, aussi j'étais assez curieuse de découvrir un nouveau héros de cette période de l'histoire...
Donc voila, je me suis lancée et j'en ressors avec une impression plus que favorable : les descriptions du Paris du 18eme siècle sont très réussies et il faut dire que l'histoire est fort bien racontée.
Meme si le chevalier de Volnay, commissaire aux morts étranges, n'attire pas forcément trop la sympathie au premier abord ( un peu distant le garçon il faut le dire ), on ne peut s'empêcher d'apprécier son compagnon, le fantasque moine qui semble avoir un passé des plus ...hmmm....intéressants. Je n'ai d'ailleurs pas pu m'empêcher de me le représenter sous les traits de Guillaume de Baskerville, alias Sean Connery.....
Je ne dévoilerais rien de l'intrigue, et je ne rajouterais qu'une chose : l'auteur a réussi à mêler des personnages qui font bien partie de l'histoire avec un grand H avec d'autres de fictions. Casanova, le comte de saint-Germain et la marquise de Pompadour pour ne citer qu'eux.
J'avoue d'ailleurs avoir été intriguée par Saint-Germain et ce livre m'a donné envie de mener ma petite enquête sur le net sur une personnalité, ma foi, fort curieuse....

3.5/5 en réalité

Challenge ABC 2015/2016
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Passionné par l'art, l'Histoire - le XVIIIème siècle en particulier - et les intrigues policières, Olivier Barde-Cabuçon a mélangé tous ces éléments pour créer sa série d'enquêtes du commissaire aux morts étranges.

Casanova et la femme sans visage en est le premier tome et se déroule en l'an de grâce 1759, sous le règne luxurieux de Louis XV. Un beau soir de printemps, le corps d'une jeune femme est retrouvé, le visage arraché. Qui a pu se rendre coupable d'une telle barbarie? Et pour quels motifs? C'est ce que va devoir découvrir le fameux (et jeune) commissaire aux morts étranges, chevalier de Volnay, secondé par un moine des plus singulier, excommunié mais versé dans les sciences. A eux deux ils forment les prémices de la police scientifique et de la criminologie.

Ayant découvert le cadavre en voulant raccompagner une de ses conquêtes, le chevalier autoproclamé de Seingalt, plus connu sous le nom de Giacomo Casanova, entre en scène dès le début du roman et va s'imposer tout au long de l'enquête, au grand déplaisir de Volnay qui n'apprécie pas vraiment le libertin Vénitien. Ses anecdotes sur sa propre vie - principalement des "secrets" d'alcôve - et sa philosophie très libre en font un riche atout au roman.

J'ai trouvé que ce premier opus était meilleur en tant que roman historique que pour son intrigue policière. Olivier Barde-Cabuçon met toute sa connaissance de l'époque au service du cadre contextuel de son livre. On y rencontre les grands de ce monde, à commencer par le roi lui-même, présenté comme un homme libidineux amateur de tendrons et de chair fraîche, et sa Favorite, la marquise de Pompadour. Siècle des Lumières oblige, la mode est aux découvertes scientifiques et à la lecture des philosophes, en dépit des dangers de la censure. Qui dit Lumières dit également ombres et le siècle dit éclairé reste malgré tout attaché à l'occulte, la divination, les recherches alchimiques, etc. le moine et Casanova, à plusieurs reprises, ne manquent pas de se gausser de la crédulité d'une bonne partie de l'aristocratie qui se veut pourtant savante mais se laisse duper aisément contre la promesse d'un élixir de jeunesse ou d'une crème redonnant toute sa magnificence à une beauté fanée par les années. A noter que de ce point de vue, le XXIème siècle répond toujours à ces aspirations, il suffit de dénombrer les publicités diverses en la matière.

En tant que personnage, Volnay représente la droiture et l'intégrité. Pas simple pour lui de naviguer dans la faune versaillaise et parisienne où intrigues et complots pullulent, où la justice dépend plus souvent des bonnes accointances que de la vérité. Par sa rigidité parfois excessive, Volnay s'attire moult ennuis. Son assistant moine, lui, est beaucoup plus souple de caractère quoique d'une grande rigueur intellectuelle. Ses sarcasmes et remarques ironiques offrent un pendant complémentaire au commissaire.

Casanova et la femme sans visage réjouira les amateurs de bonne trame historique. J'ai pris beaucoup de plaisir à me plonger dans ce XVIIIème siècle clair-obscur. J'espère que les tomes suivants continueront à m'enchanter par leur qualité.
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Un roman policier passionnant qui fait évidemment penser à Nicolas le Floch mais contrairement à lui, qui se réjouit de servir le roi, le commissaire Volnay, chargé des morts étranges, exècre la monarchie et rêve de république !
Son assistant, le moine, est en fait un homme accusé d'hérésie qui doit maintenant faire profil bas.
Et ce sont bien ces deux hommes qui sont chargés par Sartine et par le roi de découvrir le meurtrier d'une jeune femme que l'on a retrouvé sans visage, écorchée vive.
Une enquête bien ficelée, un style élégant et une plongée très agréable au siècle des Lumières certes, mais un siècle où règne l'alchimie, la sorcellerie, les prédictions de l'avenir ou encore les sociétés secrètes !
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Cette lecture est naît d'une déception , celle de l'exposition Casanova à la B.N.F, je n'y ai pas pris plaisir. Si nous n'avions pas avec ma soeur, de temps en temps écouté sournoisement les visites guidées, nous qui ne les avions pas payées, nous n'aurions rien savourer de Casanova. En sortant, librairie (normal) puis café (nous sommes des filles…) et Véro me fait la surprise d'un cadeau « Casanova et la femme sans visage ».
Le voici mon Casanova, qui préfère sa liberté, à toute fortune ou amour contractuel. Dans un polar historique!
La rencontre ne s'est pas faite de suite car moi qui suis une lectrice assidue des aventures de Nicolas le Floch (Jean-François Parrot) , je fus décontenancée de me retrouver dans le même univers, un cadavre mystérieux sous le règne Louis xv , avec Sartine dans les parages. Sauf que le commissaire aux morts étranges n'est pas Nicolas, aimant son roi, servant son règne , mais Volnay, jeune mais sombre, chevaux longs couleur corbeau, désapprouvant ce roi volage , sans moral, ni conscience.
Une fois ce trouble passé, quel bon moment. L'intrigue est légère mais l'auteur nous décrit une galerie de personnages forts sympathiques. En premier un trio incompatible , Volnay, le héros taciturne, Casanova (témoin du premier crime), séducteur et roublard et Chiara, la belle aristocrate indispensable à toute série naissante. Et puis l'acolyte du commissaire, le moine défroqué et légiste, la Marquise de Pompadour et le Comte de Saint Germain. Tout ce petit monde évoluant au milieu des intrigues de cour , des Dévots, de la Confrérie des Serpents et des Francs-maçons.
Bref , je lirais avec envie la suite des aventures.

Et puis décidemment les pages de ce roman édité par Actes sud sont d'une douceur délicieuse, qui rajoute au plaisir de tourner les pages .
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