AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les déracinés tome 3 sur 4
EAN : 9782266315418
384 pages
Pocket (08/04/2021)
4.03/5   586 notes
Résumé :
Jour après jour, Ruth se félicite d’avoir écouté sa petite voix intérieure : c’est en effet en République dominicaine, chez elle, qu’il lui fallait poser ses valises. Il lui suffit de regarder Gaya, sa fille. À la voir faire ses premiers pas et grandir aux côtés de ses cousines, elle se sent sereine, apaisée.
En retrouvant la terre de son enfance, elle retrouve aussi Almah, sa mère, son énergie et ses projets pour lesquels elle se démène sans compter. Petit à... >Voir plus
Que lire après Et la vie reprit son coursVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (69) Voir plus Ajouter une critique
4,03

sur 586 notes
Quand j'étais plus jeune, j'adorais me plonger dans de grandes sagas romanesques. J'ai lu quasiment tous les Jalna, découverts dans le grenier de ma grand-mère, les Henri Troyat ou les Maurice Denuzière. Cette habitude m'est un peu passée, ces lectures se révélant souvent chronophages.

J'ai un peu renoué avec cela ces derniers temps, que ce soit la saga des Cazalet ou celle-ci de Catherine Bardon. Et j'y retrouve ce qui fait le charme de ces grandes fresques romanesques : la vie d'une famille à travers plusieurs générations agrémentée de données historiques qui ajoutent à leur attrait.

Dans ce troisième tome des Déracinés, on retourne en République Dominicaine, même si l'histoire des États-Unis et d'Israël est bien présente grâce aux amis et membres de la famille qui y résident ou y font des séjours. le roman est comme dans le deuxième tome, centré sur Ruth, avec alternance de chapitres à la première et à la troisième personne, permettant à l'auteur d'approfondir ce que ressent Ruth. Celle-ci va se marier, avoir des enfants et vivre une vie que l'on pourrait qualifier de tranquille, bien à l'abri sur les terres familiales, même si quelques évènements viennent secouer ce monde protégé et privilégié. Son travail de journaliste passe au second plan.

J'ai aimé retrouver toute la tribu, les personnages déjà connus et les nouveaux arrivés. L'intérêt de ce type de saga, c'est d'avoir l'impression de faire partie de la famille, de vivre leur vie à leurs côtés.
L'histoire de la république Dominicaine est bien évoquée, sur ces années (de 1967 à 1979) ainsi que les événements marquants des États-Unis : assassinat de Martin Luther King, mouvement Hippie, interventionnisme dans tous les autres états américains, guerre du Vietnam, et d'Israël notamment les accords de camp David. Mais, ils sont relatés plutôt que vécus, et même la chape de plomb de la dictature dominicaine n'est pas très sensible dans la vie de tous les jours de Ruth et sa famille.
Je n'ai pas retrouvé dans ce tome le souffle qui portait le premier, et même si je l'ai préféré au second, je l'ai trouvé un peu fade, sans grandes surprises. Je pense que je lirai quand même le dernier pour savoir ce que devient chacun des membres de cette famille à laquelle je me suis attachée.

Merci à NetGalley et aux éditions Les Escales pour ce partage #Etlavierepritsoncours #NetGalleyFrance
Commenter  J’apprécie          6311
Ruth se marie

Le troisième volet de la saga dominicaine de Catherine Bardon couvre les années 1967-1979. L'occasion pour Ruth, la narratrice, de trouver l'amour et d'affronter de nouveaux défis. On la suit avec toujours autant de plaisir.

«Il y avait là deux continents, quatre pays, cinq langues, trois générations. Comme Wilhelm Rosenheck aurait été fier de cette belle et grande famille née de son exil et du sacrifice de sa terre natale.» À l'image de l'émotion qui étreint Ruth qui retrouve tous les membres de sa tribu à Sosúa à l'occasion de son mariage, le lecteur qui l'a suivie depuis Les déracinés à l'impression de faire partie de la noce. Pour un peu, il lèverait son verre avec eux, heureux de partager ce moment de bonheur. Car il sait ce qu'ils ont enduré depuis cet exil en République dominicaine dans les sombres années de l'Anschluss.
La belle histoire de ce troisième tome commence avec l'arrivée sur l'île d'Arturo, son ami pianiste installé à New York. le jeune homme est venu passer quelques jours auprès de sa famille – de riches industriels du tabac – et retrouver Ruth. Il était pourtant loin d'imaginer que son escapade au carnaval avec son frère Domingo aboutirait à un mariage. Faisant fi des conventions – inutile d'ajouter qu'elle nous avait habitué à ça – Ruth se laisse aller dans les bras de cet homme marié et plonge à corps perdu dans une «passion folle, impétueuse, exaltée, excessive même.»
Un tourbillon qui va tout balayer en quelques mois et trouver son apothéose dans ce mariage célébré en novembre 1967, quelques mois après la fin de la guerre des six jours que la branche des émigrés installés en Israël a vécu au plus près.
Car Catherine Bardon – comme dans les précédents épisodes – profite de cette chronique qui embrasse la période de 1967 à 1979, pour revenir sur les faits historiques marquants qui vont toucher de près la diaspora. On se souvient qu'après avoir joué L'Américaine (qui vient de paraître en poche chez Pocket), Ruth avait choisi de revenir en République dominicaine pour poursuivre l'oeuvre de son père et diriger le journal de Sosúa. Elle est donc aux premières loges pour commenter les soubresauts du monde, notamment quand ceux-ci touchent directement la communauté. Au choc de l'assassinat de Martin Luther King succéderont les images du premier homme sur la lune, puis celles terribles de cette guerre au Vietnam qui n'en finit pas.
Bien entendu, elle ne pourra laisser sous silence les accords de Camp David et cette photo chargée de tant d'espoirs rassemblant Jimmy Carter, Anouar El Sadate et Menahem Begin, espoir douché à peine une année plus tard par le sanglant attentat aux J.O. de Munich.
Aux bras de son mari, Ruth nous fait aussi partager son quotidien et nous raconte la vie sur ce bout de terre des Caraïbes et la chape de plomb imposée par le dictateur Balaguer. Je vous laisse notamment vous régaler des péripéties engendrées par la visite de Jacques Chirac en 1971 et la course à un objet de l'ethnie tainos à offrir à ce grand amateur d'arts premiers.
Et le roman dans tout ça? J'y viens, d'autant plus qu'il occupe la part prépondérante du livre, comme le titre le laisse du reste suggérer. Lizzie, l'amie d'enfance de Ruth, qui avait émigré aux États-Unis et avait rejoint le flower power en Californie, lui a fait la surprise d'être présente à son mariage. Mais derrière l'excentricité se cachait la gravité. C'est une personne malade qu'elle accueille chez elle et qu'elle entend aider. Et pour que la vie reprenne son cours paisible, il faut aussi que Gaya, la fille de Christopher, accepte son beau-père. Disons simplement qu'un voyage aux États-Unis servira à dénouer ce problème, avec une belle surprise à la clé.
Catherine Bardon se régale et nous régale. Elle est passée maître dans l'art de faire rebondir son récit, de mettre tour à tour les différents protagonistes au premier plan, de faire brusquement rejaillir le passé, comme par exemple quand un tableau de Max Kurzweil se retrouve dans une galerie de Tel-Aviv…
Et si un quatrième tome est déjà programmé, la romancière aimerait bien s'affranchir de sa famille dominicaine pour se lancer dans une autre histoire, totalement différente. En attendant, ne boudons pas notre plaisir !


Lien : https://collectiondelivres.w..
Commenter  J’apprécie          470
Et voici le tome 3 de la série ! nous retrouvons la famille Rosenheck dans son domaine de Sosua, avec le retour au bercail de Ruth, la fille d'Almah et Wil. L'escapade américaine est terminée et elle reprend la vie en famille dans son île, s'apercevant au passage, lors de son retour qu'elle avait eu en fait le mal du pays.

On va suivre toute la famille et ses proches sur un dizaine d'années, de 1967 à octobre 1979, pour être plus précise. Ruth a grandi intérieurement (depuis l'Américaine) elle retrouve ses marques, la ferme, las promenades à cheval, le métier de journaliste auprès de Markus. Elle a laissé Arturo Soteras retourner aux USA, car il s'y sent mieux, plus accepté du fait de son homosexualité, qu'il est obligé de cacher à sa famille, catholique, ultra-conservatrice. Il poursuit sa carrière de pianiste. Et il peut compter sur Myriam, la soeur de Wil qui vit à New-York.

Ruth fait la connaissance du frère d'Arturo, Domingo, médecin promis à une belle carrière à Santiago, qui fait la fierté de ses parents. Cela ne plaît pas trop à Arturo, mais c'est le coup de foudre, Domingo va même lâcher sa carrière hospitalière pour s'occuper de l'association d'Almah, campagnes de vaccinations, soins des plus démunis.

Leur mariage sera l'occasion de revoir tous les proches éparpillés un peu partout, Svenka en Israël, Lizzie, l'amie d'enfance de Ruth qui est plongée dans le mouvement hippie, concerts, drogues, « peace and love » et d'autres encore…

On suit l'évolution de cette famille, et en parallèle tous les évènements qui se passent dans le monde durant cette dizaine d'années. Des guerres entre Israël et la Palestine, aux manifestations contre la guerre aux USA, les droits des minorités. On croise ainsi, Moshé Dayan, Golda Meir, mais aussi Jimmy Hendrix, Otis Redding, Janis Joplin, l'assassinat de Martin Luther King

On suit l'évolution de la situation politique en République dominicaine : Trujillo n'est plus là, mais un autre dictateur lui a succédé et la famille est toujours obligée de se méfier, dans ses échanges de courriers avec les USA comme avec Israël notamment. Les USA jouent toujours les arbitres du monde dans leur chasse au socialisme (cf. L'assassinat de Salvadore Allende au Chili pour mettre en place Pinochet entre autres….

Les traumatismes du passé sont toujours là, et Catherine Bardon évoque très bien la difficulté de vivre parfois des enfants de déportés, des exilés, avec le syndrome du survivant. Lizzie en est un exemple particulièrement émouvant et éprouvant pour la famille, les drogues, notamment le LSD ne faisant pas bon ménage avec la santé mentale.

Dans ce troisième opus, on va voit arriver quelqu'un que l'on a bien connu dans « Les déracinés » et le passé est quand même toujours là, tapi dans l'ombre pour le bien comme pour le mal.

J'ai beaucoup aimé ce roman, et j'ai eu un grand plaisir à retrouver notamment Almah sa force de caractère, sa liberté d'esprit, son opiniâtreté. Les autres personnages sont moins attachants, mais je dois reconnaître que Ruth a bien évolué ; je l'avais trouvé irritante immature dans « l'Américaine », mais il n'est pas évident de trouver sa place quand la personnalité des parents est aussi forte. C'est plus simple pour son frère, Frederick, qui a repris la ferme.

Ce roman est comparable par son intensité et ses références à l'Histoire au premier tome qui reste quand même mon préféré, mais c'est dans un mouchoir de poche. Comme dans les précédents, l'auteure fait un clin d'oeil à Stefan Zweig

Un immense merci à NetGalley et aux éditions Les Escales pour m'avoir permis de déguster ce roman en avant-première. J'ai décidé d'acheter tous les romans qui m'ont été proposés pendant le confinement, afin de les offrir, ce sera ma modeste participation.

#Etlavierepritsoncours #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
Commenter  J’apprécie          457
Cette saga en trois tomes captive pour la richesse des personnages qui l'habitent et pour la traversée historique qu'elle implique.

Almah et Wihlem Rosenbeck, chassés par les nazis dans le premier opus vont s'enraciner en République Dominicaine. Ruth leur fille deviendra durant quelques années "L'Américaine" puis "La vie reprit son cours" à Sosüa, toute la tribu réunie.

On y découvre la vie de 1967 à 1979 d'une communauté sous la dictature, l'amitié indéfectible des femmes de cette famille pour leurs amis qui vivent sur d'autres continents, Arturo le musicien, fils d'un planteur de tabac, incompris de sa famille, l'amour qui frappe à nouveau à la porte de Ruth et sa fille.

Le lecteur traverse L Histoire sur une dizaine d'années, au détour des vies d'Almah, Ruth, Fréderick son frère, Arturo son ami devenu New-Yorkais, Domingo le médecin, Lizzie, Svenka. Il traverse les évènements depuis les années Flower-Power Américaines à celles d'Israël avec les accords de Camp David, en passant par la dictature de République Dominicaine depuis Trujilho et son remplaçant tout aussi terrible en coulisses, le tout en musque avec Janis Joplin, Jimmy Hendrix et Otis Redding.

J'ai beaucoup aimé ce volet de la vie de Ruth après les années américaines, retrouvé la solide et volontaire Almah et découvrir sa petite-fille dans ce nouvel environnement. Une saga riche, sans temps morts, qui rend L Histoire plus humaine.

Des trois volets, mon préféré reste "Les Déracinés" mais cette suite, qui voit grandir Ruth, a la même densité que le premier tome sorti en pocket.

Un roman captivant qui ne s'abandonne à regret qu'à l'épilogue. Une saga à emporter avec soi cet été sans nul doute !


Commenter  J’apprécie          230
Ruth qui cherchais à se construire au Etats-unis, qui cherchais un passé rêvé de ses parents, et de retour chez elle. Mais pas seul, avec sa fille, Gaya.
La république Dominicaine est le seul endroit où elle ne s'est jamais aussi bien sentie vivre.

Et la vie reprit son cours
Catherine Bardon est l'une des meilleures rencontre que j'ai pu faire avec un auteur. C'était il y a trois ans lors de saint Maure en poche, je voulais découvrir son premier roman les déracinés, et nous voilà aujourd'hui avec le dernier tome de sa trilogie.
Ce fut un réel plaisir de redécouvrir Ruth, Alma, Gaya ... oui redécouvrir car les personnages évoluent, grandissent et changent.
L'auteure nous fait évoluer de 1967 à 1979 au travers de l'assassinat de Luther king, l'évolution de la dictature de la république Dominicaine, de la politique américaine, de rencontre avec des personnages comme Janis Joplin... le passé et des personnages refond surface.
Ce roman est un voyage au travers du monde, au travers des cultures et des différentes politiques. L'auteur mais en avant la seconde génération issue de la Shoah, ainsi que leur mal de vivre, leur mal d'un passé caché par leurs parents encore meurtris.
Ce roman, cette trilogie est un condensé d'émotions.
Je la, le recommande mille fois.
Commenter  J’apprécie          230

Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Jérusalem, juillet 1967

Chère Almah,

Cette courte lettre pour te rassurer.
Une guerre de plus.
Il est donc écrit que nous ne vivrons jamais en paix. Nous aurions pu croire, après ce que nous avons traversé, particulièrement notre peuple, que le monde serait plus sage. Nous aurions tant aimé qu'il soit plus sage, comme nous aspirions si fort à la paix. Et nous allons de déception en déception. Plus que jamais je pense que la guerre est une fatalité et la paix une utopie.
Commenter  J’apprécie          00
J'aimais la beauté pure de la terre resplendissante, j'aimais cette lumière d'une limpidité sans pareille, j'aimais la puissance des couleurs crues, le jeu des formes aussi abondantes que tumultueuses, j'aimais l'air embaumant les multiples fragrances des tropiques, j'aimais ces paysages pleins de poésie enfantine…
En observant le spectacle de ce matin-là, je commençai à guérir d'un mal dont je ne savais même pas que j'avais souffert, le manque de mon île.
Commenter  J’apprécie          00
Plus tard Almah nous raconterait toute l'histoire. Cette histoire qui était comme un roman. Toute la vie de ma mère était comme un roman. Aucun personnage n'était secondaire, tous avaient un rôle décisif dans la toile de sa vie. Mais pour l'heure elle s'en tint à l'essentiel : elle avait retrouvé un vieil ami d'enfance à Jérusalem et elle l'avait épousé. Sans tambour ni trompette.
Commenter  J’apprécie          00
Je nous contemplais et je comprenais à quel point nous sommes constitués des êtres qui nous entourent. Ce fut un été magique, des semaines d'harmonie, une bulle de bonheur absolu suspendue dans nos vies, ce moment merveilleux de l'été qui précède les tempêtes de la saison des cyclones.
Commenter  J’apprécie          00
Je tirai sur les rênes, un coup sec, et j'arrêtai mon cheval. Je pris une profonde inspiration, relâchai tous les muscles de mon corps. La vue, les parfums, les sons, c'était une symphonie pour les sens. Un instant parfait dans les couleurs pâles du petit matin de l'hiver caraïbe.
Commenter  J’apprécie          00

Videos de Catherine Bardon (50) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Catherine Bardon
Attention !!! Nouvel horaire pour l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donne rendez-vous chaque samedi à 13h30 pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • Mémoires de Raymond Aron, Nicolas Baverez aux éditions Bouquins 9782221114025 • Patience dans l'azur : L'évolution cosmique de Hubert Reeves aux éditions Points 9782757841105 • Poussières d'étoiles de Hubert Reeves aux éditions Points https://www.lagriffenoire.com/poussieres-d-etoiles-reedition.html • Car un jour de vengeance de Alexandra Julhiet aux éditions Calmann-Lévy https://www.lagriffenoire.com/car-un-jour-de-vengeance-1.html • Une Fille de Province de Johanne Rigoulot aux éditions Les Avrils https://www.lagriffenoire.com/une-fille-de-province.html • Nous traverserons des orages de Anne-Laure Bondoux et Coline Peyrony aux éditions Gallimard Jeunesse https://www.lagriffenoire.com/nous-traverserons-des-orages.html • La Vie selon Chaval - Dessins choisis et présentés par Philippe Geluck de Chaval et Philippe Geluck aux éditions du Cherche Midi https://www.lagriffenoire.com/la-vie-selon-chaval.html • Les Gardiens du phare de Emma Stonex aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/les-gardiens-du-phare-1.html • Autobiographie d'une Courgette de Gilles Paris, Marie-Luce Raillard aux éditions Flammarion https://www.lagriffenoire.com/autobiographie-d-une-courgette-2.html • Les 7 vies de Mlle Belle Kaplan de Gilles Paris aux éditions Plon https://www.lagriffenoire.com/les-7-vies-de-mlle-belle-kaplan.html • La boîte à Berk de Julien Béziat aux éditions École des Loisirs https://www.lagriffenoire.com/la-boite-a-berk.html • Les crayons fêtent Halloween de Drew Daywalt, Oliver Jeffers aux éditions Kaléidoscope https://www.lagriffenoire.com/les-crayons-fetent-halloween.html • Gare aux fantômes, Palomino de Michaël Escoffier et Matthieu Maudet aux éditions École des Loisirs https://www.lagriffenoire.com/gare-aux-fantomes-palomino.html • À pied d'oeuvre de Franck Courtès aux éditions Gallimard https://www.lagriffenoire.com/a-pied-d-oeuvre.html • Harry Potter - le Guide Ultime de Collectif, Jean-François Ménard aux éditions Gallimard Jeunesse https://www.lagriffenoire.com/harry-potter-le-gu
+ Lire la suite
autres livres classés : république dominicaineVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (1286) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3009 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..