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Critique de Le_chien_critique


Des déviants bien dans la norme !

Livre ouvert. Esprit™ vidé. Premiers chapitres
Premier réflexe : Ouah, ça commence fort, voilà un auteur qui n'a pas peur de pendre son PumPénis™ pour un ButtPlug™
Deuxième réflexe : en plus, c'est trop tip top rigolo, style humour noir et ironie avec une pointe de cynisme comme j'aime. Un univers sombre caché sous la poilade.
Troisième réflexe : L'auteur a le sens de la formule. En plus, il ose chercher des références pointus comme je les aime : La petite maison dans la prairie, les noms des personnages. Sans oublier bien sûr notre Daniel Balavoine.
L'auteur semble avoir du talent, être inventif, original et ça m'énerve, j"e me lève de mon fauteuil, va vers la penderie, ouvre la porte coulissante, sort une boîte, ouvre la boîte, prend le patent 626TB25, l'enfonce au fond de ma gorge et presse la détente."

Livre ouvert. Esprit vidé. Milieu du roman
Premier réflexe : Moi qui n'aime pas lire des scènes de sexe dans les romans, voilà un auteur qui comprend que ces scènes doivent avoir une utilité dans l'intrigue. Ça passe sans problème
Deuxième réflexe : Toujours aussi mordant, pas de signes d'essoufflement en vue. Mon Temps de loisir va vite devenir débiteur avec ce roman, tandis que mon temps d'amour et d'amitié vont en pâtir.
Pas grave, il ne faudrait pas me confondre avec un lecteur qui en a quelque chose à foutre
Troisième réflexe : J'avais surtout peur de lire un essai déguisé sur la Vie, une resucée de philosophie pour montrer que c'est un auteur qui a des références. Bref, un truc chiant à lire. Mais du tout, on s'amuse et on peut y lire en même temps le sous texte acerbe et et critique de notre société, sans gêner la lecture. Une revisite du célébre Métro Boulot Dodo.
L'auteur a du talent, il est inventif, original et ça m'énerve, "je me lève de mon fauteuil, va vers la penderie, ouvre la porte coulissante, sort une boîte, ouvre la boîte, prend le patent 626TB25, l'enfonce au fond de ma gorge et presse la détente."

Livre fermé. Esprit™ vidé. Chapitres terminés
Premier réflexe : Voilà un roman drôle, dramatiquement drôle, furieusement drôle, ironiquement drôle. Une farce satirique pleine de mordant. N'allez pas croire que nous sommes en terre dystopique, car c'est surtout de notre présent dont il s'agit.
Deuxième réflexe : N'allait surtout pas croire que Jean Baret est un auteur qui en a quelque chose à foutre, déjà avec une trilogie qui peut se lire de manière complètement indépendante, dans le sens que l'on veut.
Troisième réflexe : 24 suicides, voilà qui force l'admiration ! Mais ne croyez pas que X23T800S13E616 est un citoyen qui en a quelque chose à foutre. Lui, ce qu'il aime, c'est la Vie, pas la Vie™. Alors, pour tromper son mal-être...
L'auteur est talentueux, inventif, original et ça m'énerve, "je me lève de mon fauteuil, va vers la penderie, ouvre la porte coulissante, sort une boîte, ouvre la boîte, prend le patent 626TB25, l'enfonce au fond de ma gorge", le repose, me connecte à la boutique en ligne du Bélial.
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