(...) on ne laissera aucune circonstance de la vie, pas même la plus pénible, voler aux âmes plus d'un bref moment d'égarement. L'infélicité vole du temps à la joie et c'est dans la joie qu'on forge la prospérité.
Exact. Il n'y a pas de livres.
Pourquoi?
Chacun dans la Famille se fie entièrement aux choses, aux personnes et à soi même. Nul ne voit la nécessité de recourir à des palliatifs.
Je crains de ne pas vous suivre.
Tout est déjà dans la vie, si l'on prend la peine de l'écouter, et les livres nous distraient inutilement de cette tâche, à laquelle se tous se consacrent avec une sollicitude telle, dans cette maison, qu'un homme plongé dans la lecture ne manquerait pas d'apparaître en ces lieux comme un déserteur.