Mr Gwyn

Un roman vide et creux, qui semble être une imposture vu le nombre de critiques élogieuses qu'il remporte. Et pourtant, j'ai su apprécier et vraiment aimé Soie et Novecento pianiste.

Un roman qui nous fait découvrir la création littéraire. Un auteur qui décide d'arrêter d'écrire et de devenir un portraitiste, des portraits fait de mots. Ce sont uniquement les mots qui nous révèlent une histoire d'amour qui émane de ces pages !

Bon, deuxième livre de cet auteur et deuxième ennui incommensurable. Je n'accroche vraiment pas, ni au style ni à l'histoire. Je me suis profondément ennuyée et je n'avais qu'un but, arriver le plus vite possible au bout. Lorsque je vois les critiques dithyrambiques des autres lecteurs, je me dis que j'ai sûrement raté quelque chose, mais je ne sais pas quoi, tant pis pour moi.

Mr Gwyn est écrivain jusqu'à ce jour où il décide de ne plus écrire. Quand finalement il choisit de devenir copiste c'est pour copier les êtres : faire leur portrait en mots...
Idée alléchante, et j'avais tellement aimé Novecento pianiste...!
Mais ici la magie n'opère pas, je me suis ennuyée dans ces méandres de réflexions existentielles perpétuellement hésitantes, ces secrets, ces non-dits, ces grandes pensées qu'on est censé comprendre à demi-mot...
Dommage !

Bof, bof ... je n'ai pas du tout accroché à cette histoire de portraits. Un récit très linéaire qui manque de rythme.
C'est assez bien écrit mais pas vraiment prenant ...

je viens de terminer ce livre, que j'ai à plusieurs fois failli abandonner - je l'ai continué par curiosité en espérant une fin qui m'enthousiasme...... Mr Gwyn a decidé qu'il n'écrirait plus - Il n'aime plus les contraintes et surtout celles de l'écriture, au grand désespoir de son agent - Il ne sait pas comment il va occuper sa vie mais il a assez d'argent pour prendre le temps d'y réfléchir -Au bout de quelques mois il décide de devenir "copiste" - il loue un atelier où il va faire des portraits mais à sa façon - on suit ses jours autour de ce nouveau "travail" mais on ne sait rien de sa vie personnelle hors de cet atelier - c'est un univers bizarre auquel je n'ai pas accroché, je n'ai pas adhéré à l'univers de Mr Baricco, tant pis !

Décevant. C'est à se demander si, avec ce roman, Baricco n'est pas en panne d'imagination.