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4,2

sur 16270 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une jolie fable agréable à lire.
On traite ici avant tout de l'espèce humaine, de ses travers, d'un espoir éventuel mais vite déchanté.
La découverte de cette vie endormie souterraine rappelle l'histoire de l'Atlantide.
L'histoire d'Eléa et de Païkan n'est pas sans rappeler Roméo et Juliette.
L'humanité n'est pas prête pour la paix, l'homme reste et restera égoïste, pour le bien de tous certainement !!!
René Barjavel traite ici le sujet universel de la paix, de la guerre, de l'Homme ; sans grand espoir d'arriver à la paix au sein du Paradis.
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Se replonger dans une oeuvre lue il y a plusieurs décennies permet d'évaluer le temps qui passe : les années et l'expérience de la vie et de la lecture ont forgé un lecteur bien différent, et les oeuvres elles-mêmes subissent parfois les assauts de la désuétude. Obsolescence programmée par le principe même de la vie…

La Nuit des temps a été un roman culte de mon adolescence, au point qu'il m'en reste en mémoire des passages entiers presque intacts, même si j'avais oublié le coeur de l'histoire : l'expédition en antarctique, la découverte d'une structure mystérieuse sous la banquise et le réveil des restes d'une civilisation enfouie, et surtout l'histoire d'un amour idéal, mais voué à l'échec, entre deux êtres parfaits, prêts à tout pour ne pas se quitter.

Lorsque le roman est paru en 1968, le roman a été classé Science-fiction, et il ne me semble pas qu'à l'époque les romans jeunesse ou Young adult se distinguaient de l'ensemble des parutions. Or c'est ce qui m'a sauté aux yeux au cours de cette relecture. le thème général, l'aspect aventure scientifique et surtout la pudeur des scènes érotiques, destinerait de nos jours cet ouvrage aux rayons jeunesse.

Le scénario se prête bien à un état des lieux géopolitique à peine caricatural !

Cela veut dire aussi que la lectrice a aussi un peu changé ! le roman m'a un peu déçue, les méthodes d'exploration scientifique sont un peu désuètes et les personnages sont trop lisses et trop parfaits. Les codes ont également évolués en ce qui concerne le rôle des femmes : ainsi par exemple les bases où résident les expéditions étaient « si parfaites qu'on avait pu accepter la présence des femmes ». Et le politiquement correct n'était pas de mise en 1968 où la stigmatisation caricaturale des types humains ne posait pas de problème !

Je conseillerais volontiers ce roman à des ados, mais avec des explications sur le contexte et l'époque de la parution du roman.

381 pages Pocket 1988
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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La nuit des temps de René Barjavel est le livre le plus populaire de ma PAL et je pensais passer un bon moment... mais ce fut une lecture A-FFLI-GEANTE !

Tout d'abord, c'est de la SF qui a pris un sacré coup de vieux : par exemple, les médecins utilisent une machine électronique où ils glissent une carte perforée dans la fente pour obtenir un diagnostic (sans commentaire).
Le seul truc un peu moderne, c'est la traductrice électronique (une IA).

Ensuite, c'est d'un sexisme insupportable sans parler de tous les clichés racistes ! On se croirait dans Tintin au Congo : Les gentils blancs évolués qui contrôlent leur démographie face au péril bridé qui se reproduit à tire-larigot... sans oublier le peuple noir qui n'est même plus humain puisqu'il vient de Mars !

Je sais... Et je suis la première à dire qu'il faut tenir compte du contexte de l'époque où fut écrit le livre bla bla bla..  mais là, c'est tout un florilège de misogynie et de racisme qui nous est offert, et hélas sans ironie !

Et puis, il y a ces passages ou phrases qui m'ont laissées sans voix, par exemple :

"Brivaux était le fils d'un petit paysan montagnard de Haute-Savoie, le dernier de son village à continuer d'élever des vaches au lieu de traire les Parisiens entassés à dix par mètre carré de neige ou d'herbe pelée. le père Brivaux avait entouré son morceau de montagne de barbelés et de poteaux "Défense d'entrer", et dans cette prison vivait en liberté." (P21)

"Ils étaient onze, deux Noirs, deux Jaunes, quatre Blancs, et trois allant du café au lait à l'huile d'olive. Mais leurs onze sangs mêlés dans une coupe n'eussent fait qu'un seul sang rouge " (P38)

"- Je suis anglais, dit-il, et heureux de l'être. Je pense que je ne serais pas tout à fait un homme si je n'étais pas anglais." (P346)

Certains trucs m'ont quand même fait marrer car ils pourraient presque être prémonitoires :

Comme cette description qui rappelle un certain académicien bien connu :
"Il avait près de quatre-vingts ans, ce qui ne l'empêchait pas de passer chaque année quelques semaines à proximité de l'un ou l'autre pôle. Son visage couleur brique, casqué de cheveux courts d'un blanc éclatant, ses yeux bleu ciel, son sourire optimiste le rendaient idéalement photogénique à la télévision, qui ne manquait pas une occasion de l'interviewer, de préférence en gros plan." (P37)

Ou ceci :
"J'emportais aussi, sans m'en douter, le virus de la rougeole, qui allait faire le tour de la Terre sous le nom de rougeole australienne. Les labos pharmaceutiques ont fabriqués en toute hâte un nouveau vaccin. Ils ont gagné beaucoup d'argent." (P35/36)

Au final, j'ai trouvé l'histoire assez niaise et je m'y suis ennuyée, même si j'ai bien aimé la fin qui n'est pas mal du tout, je le reconnais :
"Et voilà ! Ils sont là ! Ils sont nous ! Ils ont repeuplé le monde, et ils sont aussi cons qu'avant, et prêts à faire de nouveau sauter la baraque. C'est pas beau, ça ? C'est l'homme !" (P343)

Pour moi, La nuit des temps ne rime pas avec intemporalité contrairement à d'autres livres de SF qui ont été écrits bien avant et qui n'ont, à mon avis, presque pas pris une ride comme Fondation d'Isaac Asimov ou Dune de Frank Herbert.
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La nuit des temps (1966) , un texte grandiloquent sans fausse modestie , qui tient du Romeo et Juliette , mais après la résurrection , et c'est aussi , comme il se doit , un récit bien dramatique et tragique , mais avec de belles promesses de la vie qui seront tenues , pour certaines , malgré tous les aléas .
Dans la nuit des temps (sourire) , une civilisation avancée à l'immense potentiel couvrait l'Antarctique alors libre de glace , de ses réalisations futuristes .
Des témoins seront sortis de la glace millénaire , pour le prouver et pour en parler et je ne compte pas spolier . … Donc : motus sur le contenue romanesque du roman .
C'est un roman très bien écrit qui est agréable à lire si on franchit le seuil de crédibilité qui concerne cette civilisation passée , très ancienne et aussi très anciennement détruite .
L'auteur pose tout cela comme une fiction émouvante qui génère une sincère empathie pour les personnages du roman du fait de leur consistance et du fait évidemment de l'aura engageante dégagée par le style brillant et faussement simple de l'auteur.
A l'époque l'auteur est dans du merveilleux scientifique , mais il est ironique noter que cette thématique est soulevée de nos jours par une vague de croyances complotistes analogues aux thèses majeures du roman . Ce qui vient démontrer tristement que le futur ne rime pas forcément avec le progrès.
Voici un texte écrit en 1966 qui nous parle d'une civilisation futuriste détruite par la guerre alors que le monde de l'auteur sort lui-même d'une guerre mondiale , terminée seulement 20 ans plus tôt , alors que la guerre froide , du vivant même de l'auteur a déjà été plusieurs fois , à deux doigts de détruire la planète entière , y compris tous ceux qui n'avaient rien demandé et qui souvent n'en surent rien de leur vivant .
Ce monde du passé sous la glace détruit par la guerre , résonne donc comme un avertissement très clair , dans le contexte de l'époque qui reste assez noire , malgré les importantes avancées civilisationnelles qui commencent déjà à changer le monde de manières importantes et dans une foule de registres sociétaux . Malgré d'immenses progrès dans ces années , elles demeures des années aussi risquées que prometteuses .Ce roman est un texte très agréable à lire , bien écrit , vivant et animé d'affects solides , sans la moindre once de ridicule . Certains lecteurs le trouveront cependant un peu désuet , sur le fond et sur la manière , et penseront que le fond romanesque malgré son caractère et ses propos en grande partie métaphoriques , ne parvient pas à être crédible et donc , qu'il se pose en frein pour adhérer au texte .

Mais c'est un beau roman à mon humble avis , pas de doute .
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A travers La nuit des temps, roman terriblement ancré dans les années soixante, Barjavel fait résonner un adage aussi vieux que l'humanité : l'homme est un loup pour l'homme ou comment les instincts de cet animal doué de raison ont le pouvoir de le conduire à sa perte.

Sous la glace de l'Antarctique, un corps expéditionnaire composés de scientifiques français exhume un trésor : les vestiges d'une civilisation engloutie jusque-là inconnue. Sous l'oeil des télévisions du monde entier, cette découverte suscite un enthousiasme et une solidarité inédits au sein des nations et de l'équipe de scientifiques internationale réunie pour étudier ce mystère. Parvenant à réanimer l'un des deux spécimens congelés de cette civilisation _ une femme appelée Eléa _ l'expédition découvre alors une société profondément vertueuse et merveilleuse, organisée selon la technologie la plus perfectionnée pour ressembler à ce qui apparaît pour tous comme une société parfaite mais vieille de plus de neuf cent mille ans !
En extirpant du cerveau d'Eléa sa mémoire, l'équipée ne découvre pas seulement son passé mais également l'existence d'une formule mystérieuse qui assurerait le bonheur de l'humanité, la fin de la misère, de la famine et de la maladie…le secret de la vie. Seulement cette perspective suscite le réveil des appétits de puissance et de pouvoir chez certains, la solidarité ne se révèle alors qu'éphémère …


Le passé de l'humanité chez Barjavel n'a rien de commun avec l'image de primates barbares traditionnellement rebattue. Normal il n'existe pas ; l'auteur décrit non seulement un monde reposant sur tous les mythes des sociétés antiques, mais également un monde bien raffiné face à un monde actuel bien laid, sauvage et frénétique. L'auteur n'a de cesse de rappeler cette divergence entre deux mondes en apparence étrangers l'un à l'autre mais au fil du récit si proches. Proches parce que ce mythe de paradis perdu a subi les mêmes fléaux que ceux qui attendent la société de l'époque. Derrière une vision radicale qui marque l'intensité dramatique, Barjavel décrit un passé qui ne serait alors que le reflet du présent.
Pour autant cette civilisation d'outre-temps n'avait rien d'un paradis perdu, on découvre peu à peu une société fermée rationalisée à l'extrême, où ne pouvait s'exprimer aucune colère, encore moins celle contestant le pouvoir politique… une société quelle que peu totalitaire.
En fait, on devine ce paradis perdu à travers les souvenirs lyriques d'Elea, unique rescapée de ce monde. Parce qu'elle éprouvait pour Païkan un amour fou, passionnel, sans concession, elle offre aux yeux du monde entier l'image d'une civilisation enchanteresse, merveilleuse. Cependant chacun de ces souvenirs douloureux éloigne progressivement Eléa du présent, de ces hommes qu'elle considère si arriérés, de cette civilisation contemporaine usée et dénuée de toute beauté.

Incontestablement le sentiment amoureux, soutenu par une écriture quelque peu féminine tant elle est intuitive et résolument portée par les émotions, accapare presque tout le récit. L'auteur a fait le choix de privilégier cette parenthèse enchantée.
On retient de cette histoire un amour inachevé qui donne force au récit, à défaut de projections scientifiques futuristes. La science se révélant impuissante face aux émotions.
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En Antarctique, des chercheurs captent soudain la fréquence d'un émetteur... vieux de 900 000 ans ! En creusant, ils tombent sur une cellule protectrice renfermant un homme et une femme, tous deux nus, et tous deux semblant dormir. Ils sont entourés d'étranges objets et semblent parler une langue totalement inconnue. Ils seraient les derniers représentants d'une civilisation aujourd'hui disparue.
J'ai vraiment apprécié ma lecture. C'est le deuxième Barjavel que je lis, après "Une rose au paradis" que j'avais également bien aimé. L'idée de base est très intéressante, originale. L'auteur a vraiment inventé une société complètement différente de la nôtre. le destin de ces personnages, particulièrement d'Eléa, est très touchant. La fin est absolument magnifique : il y a un vrai effet de surprise (du moins pour ma part), cette fin est parfaite. Tout s'accélère dans les dernières pages, les époques se confondent. Je dirais qu'au delà de la science fiction, c'est avant tout une histoire d'amour, une histoire d'humanité. Barjavel nous livre une vision pessimiste d'un monde qui, par delà les époques, ne cesse de se détruire, d'un genre humain ne cessant de se déchirer. Cependant, l'amour est omniprésent, l'oeuvre nous livre aussi l'humanité dans ce qu'elle a de meilleur : la passion, le savoir... Certaines descriptions, des corps par exemple, sont splendides.
J'ai donc vraiment aimé cette oeuvre. Mais je dois avouer avoir le même sentiment que celui j'ai eu après "Une rose au paradis" ; je ne peux que noter la très grande qualité des livres mais ce n'est pas le genre de lectures que je préfère. Si vous aimez la science-fiction (mais une SF très subtile, humaine et pleine de beauté), je ne peux que vous conseiller de découvrir ou de re-découvrir Barjavel.
Lien : http://lantredemesreves.blog..
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J'ai envie depuis quelques temps de tenter la lecture de genre littéraire qui sorte de ma zone de confort et la science fiction en fait partie, je voulais donc partir vers un livre ou un auteur très connu, il se trouve que suite à une conversation sur un tatouage on m'a recommandé la lecture de la Nuit des temps de Barjavel, il ne m'en fallait pas plus pour m'y plonger.

J'ai d'abord été un petit peu déstabilisée au début n'ayant vraiment pas l'habitude de ce genre de récit et puis la magie à opérer, l'envie d'en savoir plus faisant que les pages ont défilées rapidement.

J'ai aimé suivre ces personnages qui composent cette expédition, ce mystérieux signal capté au centre de la terre, cette découverte qui va en découlé.

Il est très difficile d'en dire plus sur ce récit sans "spolier" des événements, j'ai d'ailleurs été déçu d'avoir lu certaines critiques car elles évoquaient beaucoup certains aspects du récit qui apparaissent en fin de lecture.

Je lis habituellement de la lecture plutôt contemporaine et plutôt des policiers et des polars et j'ai été vraiment emporté par ce récit qui date des années 60 et qui est dans le domaine de la science fiction et je lirai avec plaisir d'autres livres de l'auteur.
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Fin des années 60. En pleine Guerre Froide.
Antarctique.
Terre Adélie.

Du plus profond des glaces remonte un signal qui laisse supposer une présence à 1000 mètres sous la surface. Quelque chose ou quelqu'un attendrait depuis 900.000 ans. S'il y a un être vivant à l'origine du phénomène, il patienterait depuis la Préhistoire. Si c'est un homme on aurait affaire à un Homo Erectus, depuis peu bipède.
Même si notre ancêtre se dresse enfin, évolution considérable, peut t'il communiquer par-delà les millénaires avec ses combientièmes arrières-[...]-petits-enfants d'un très lointain futur ?

Alors quoi ? A t'on affaire à une civilisation extra-terrestre ?

La vérité est tout autre.
Elle pourrait modifier les fondements de notre société ... si ce n'est que Barjavel nous réserve bien des surprises.

Les scientifiques découvrent deux sphères d'hibernation, un couple nu, à morphologie humaine et des objets aux fonctions incompréhensibles. Ces derniers sont les marqueurs d'une civilisation plus évoluée que la notre.

Il est décidé de sortir la femme de son hibernation...
Son nom est Elea, nous dit t'elle.
Elle va tout nous raconter en direct sur les chaînes TV à l'affût:
_Son monde d'antan perdu à jamais, les fondements de sa civilisation oubliée, les ultimes soubresauts de celle-ci avant son anéantissement.
_Mais aussi et peut-être surtout le Grand Amour de sa vie. Son nom est Païkan...mais il n'occupe pas la sphère voisine.

Elea et Goban, dans leurs sphères de survie, sont Nouvelle Eve et Nouvel Adam, les ultimes rescapés d'une humanité oubliée, les derniers espoirs de renaissance d'un monde disparu il y a tant et tant de siècles.

Mais les choses ne se passeront pas comme prévues, car il y a l'Amour... et Lui, quand il se mêle des Grandes Affaires des Hommes, ces derniers comptent alors pour si peu. Et il y a nous, les humains du XXème siècle, qui ne devraient pas être là et vont devoir comprendre, assimiler, accepter et réagir.

« Eléa : je suis à Païkan, Païkan : je suis à Eléa. »

La suite appartient au roman.

"La nuit des temps" est un roman par défaut.
En 1965 ce n'est qu'un scénario commandé par le réalisateur André Cayatte. Une superproduction cinématographique qui faute de financement ne verra jamais le jour. Confronté à l'échec, Barjavel retravaille alors le scénario et le métamorphose en roman.
Certaines scènes très visuelles du livre, comme celle de la fuite d'étage en étage au sein des sous-sols de Gondawa, témoignent de ce rendez-vous raté avec le cinéma.
Le roman est édité en 1968. Il obtiendra un succès populaire immédiat (Prix des Libraires en 1969). Il aura le destin pédagogique que l'on sait en devenant matière première à réflexions scolaires. Il recevra le privilège d'appartenir au club très fermé des ouvrages SF estampillés "littérature générale". Il ne paraitra pas en collection dédiée malgré son profil SF type.

La suite sur mon blog
Lien : https://laconvergenceparalle..
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Petit questionnement autour de la SF aujourd'hui.
Je n'en lis guère ces derniers temps et je peine à trouver mon chemin malgré l'aide collective des Babeliotes.
Qu'ai-je envie de lire, quel auteur, quel style, quel sous-genre?

Alors je regarde en arrière et j'en viens à Barjavel.
Plus de 40 ans déjà !
J'ai évidemment tout oublié de "La nuit des temps" mais je me souviens parfaitement de son impact sur le jeune et fougueux lecteur de SF que j'étais.

Néophyte, sans doute aussi un peu borné, je naviguais en SF anglo-saxonne quasi exclusivement quand, acculé par la disette, je finis par lire Barjavel.

Il fut pour moi le premier auteur Français à relever le gant de façon convaincante et m'encouragea à m'ouvrir à la SF française et francophone.

Merci monsieur Barjavel.






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C'est beau d'aimer et de ne faire qu'un.
Un amour si grandiose qu'il arrache tout ce qui vous entoure comme une tornade.
Un livre que j'avais envie de lire depuis longtemps. Vu les nombreuses critiques que j'avais découvertes sur cet ouvrage.
J'aurais dû m'abstenir, les romans d'amour et de sciences-fictions ne sont pas faits pour moi.

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...
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