Nicolas Barreau/5
51 notes
Résumé :
Henri Bredin, étudiant en lettres un brin rêveur, est secrètement amoureux de Valérie, aussi pétillante qu'inaccessible. Lorsque cette dernière succombe au charme d'un bel italien de dix ans son aîné, Henri s'avoue vaincu et abandonne tout espoir de la séduire. Il est condamné à rester le meilleur ami qui prodigue des conseils de lecture. Pourtant, une découverte au détour d'un livre de poésie lui redonne espoir : la recette d'un élixir d'amour. L'étudiant n'est pas... >Voir plus
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Que lire après Menu d'amourVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (18)
Voir plus
Ajouter une critique
C'est un sympathique court roman qui est tout en finesse et très bien écrit.
Henri conjugue son amour pour Valérie à tous les temps.
Est ce réciproque ? Là est toute la question.
A noter la présence tranquille du chat de son colocataire.
En conclusion : il s'agit d'une lecture plaisante qui se lit bien au chaud sous un plaid ronronnant près du chat avec une tisane pas loin.
Henri conjugue son amour pour Valérie à tous les temps.
Est ce réciproque ? Là est toute la question.
A noter la présence tranquille du chat de son colocataire.
En conclusion : il s'agit d'une lecture plaisante qui se lit bien au chaud sous un plaid ronronnant près du chat avec une tisane pas loin.
Menu d'Amour est une sorte de préquel au Sourire des Femmes. le livre raconte les débuts de l'histoire d'amour des parents d'Aurélie et en particulier leur premier dîner où Henri prépare pour la première fois le "menu d'amour", repas qu'on retrouve dans le Sourire des Femmes.
C'est pas mal, mais c'est trop court pour être vraiment satisfaisant. En effet le roman, qui me semblait déjà très court avec ses 144 pages, est encore plus court que cela : l'histoire en elle-même ne fait que 100 pages (écrites en gros caractères, avec des pages blanches entre les chapitres...), le reste étant constitué de recettes qu'on aurait réclamées à l'auteur après son roman le Sourire des Femmes, dont l'héroïne, Aurélie, est cuisinière.
C'est pas mal, mais c'est trop court pour être vraiment satisfaisant. En effet le roman, qui me semblait déjà très court avec ses 144 pages, est encore plus court que cela : l'histoire en elle-même ne fait que 100 pages (écrites en gros caractères, avec des pages blanches entre les chapitres...), le reste étant constitué de recettes qu'on aurait réclamées à l'auteur après son roman le Sourire des Femmes, dont l'héroïne, Aurélie, est cuisinière.
Un petit conte extrêmement facile à lire qui met du baume au coeur ... Henri est un étudiant en lettres, un brin rêveur. il fait la connaissance de Valérie, une jeune femme blonde, pétillante et joyeuse, dont il tombe éperdument amoureux. Malheureusement pour lui, Valérie est aussi inaccessible et succombe au charme d'un bel Italien. Pourtant, un jour, alors qu'Henri se promène dans une bouquinerie, il tombe sur un livre qui ne le laisse pas insensible : un livre de recettes et pas n'importe quelle recette : celle d'un elixir d'amour ...
J'aime beaucoup les livres de Nicolas Barreau. Celui ci n'échappe pas à la règle. Il est plus court, plus simple, plus facile sans doute mais sympathique et joyeux. A lire surtout en période de confinement...
J'aime beaucoup les livres de Nicolas Barreau. Celui ci n'échappe pas à la règle. Il est plus court, plus simple, plus facile sans doute mais sympathique et joyeux. A lire surtout en période de confinement...
Nicolas Barreau, inconnu au bataillon.
Son livre (entre autres) m'a été offert par mon libraire suite à un achat conséquent.
Une centaine de pages fluides, amusantes sur un sujet maintes fois traîté: l'amoureux transi qui n'ose pas se déclarer et avouer sa flamme, alors qu'il semble que l'autre n'attend que cela.
N'ayant rien lu de l'auteur avant, et ne connaissant pas ce dernier, je me suis dit, en lisant les titres de ses autres ouvrages, un écrivain de "romans à l'eau de rose", et en l'état " à la recette de cuisine"?
Mais il semble que plusieurs de ses romans soient devenus des best-sellers internationaux, alors je remballe mes premières impressions et vais en essayer un deuxième.
Bon, je vais être honnête sur ce premier, je l'ai apprécié parce que je sortais des "Brumes de Capelans" de Norek ( noir, dur, sans concession, pas très optimiste) et qu'il me fallait un peu de "légéreté" littéraire. Donc , ce roman, à peine plus épais qu'une nouvelle, et qui se termine par des recettes de cuisine, est tombé à point nommé.
Et je l'ai ramassé....
Son livre (entre autres) m'a été offert par mon libraire suite à un achat conséquent.
Une centaine de pages fluides, amusantes sur un sujet maintes fois traîté: l'amoureux transi qui n'ose pas se déclarer et avouer sa flamme, alors qu'il semble que l'autre n'attend que cela.
N'ayant rien lu de l'auteur avant, et ne connaissant pas ce dernier, je me suis dit, en lisant les titres de ses autres ouvrages, un écrivain de "romans à l'eau de rose", et en l'état " à la recette de cuisine"?
Mais il semble que plusieurs de ses romans soient devenus des best-sellers internationaux, alors je remballe mes premières impressions et vais en essayer un deuxième.
Bon, je vais être honnête sur ce premier, je l'ai apprécié parce que je sortais des "Brumes de Capelans" de Norek ( noir, dur, sans concession, pas très optimiste) et qu'il me fallait un peu de "légéreté" littéraire. Donc , ce roman, à peine plus épais qu'une nouvelle, et qui se termine par des recettes de cuisine, est tombé à point nommé.
Et je l'ai ramassé....
La première question qui me vient à l'esprit est : qu'est ce que j'ai lu? Un livre? un article?
Moins de cent pages ça c'est sûr.
Une petite romance rigolote, sous fond d'un menu d'amour...
Trop rapide pour moi, l'histoire est plate, sans détails, rien pour m'accrocher
Moins de cent pages ça c'est sûr.
Une petite romance rigolote, sous fond d'un menu d'amour...
Trop rapide pour moi, l'histoire est plate, sans détails, rien pour m'accrocher
Citations et extraits (16)
Voir plus
Ajouter une citation
À en croire les calculs de Georges, nous connaissions, cette année-là, un des hivers les plus sombres depuis la guerre. L’obscurité avait pris ses quartiers dans les rues de Paris et chacun désirait ardemment le retour de la lumière, comme un jeune homme se languit des bras de sa bien-aimée. Au cinéma, on donnait Les Parapluies de Cherbourg, les Beatles avaient chanté She loves you à l’Olympia, et j’étais tombé éperdument amoureux d’une jeune fille, aussi inaccessible pour moi que la lune.
« Quand on part, il y a toujours un moment où il faut rentrer », me lançait toujours mon père – qui avait perdu la vie dans les derniers jours de la guerre d’Algérie, tué par un coup de feu tiré accidentellement par un camarade – quand, adolescent en colère, je m’en allais en claquant la porte. Ce jour-là, je repensai à ses paroles, si justes. Comment revenir, après toutes ces semaines d’absence ? Je voulais à tout prix retrouver Valérie, rouvrir la porte que j’avais claquée derrière moi.
J’étais en train de fouiller le contenu de la boîte en bois lorsqu’un petit livre usé, à la reliure en cuir rouge sang-de-bœuf, attira mon attention. Difficile de déchiffrer les lettres dorées pâlies sur la couverture. Les Élixirs de la Mort et de l’Amour… Je me mis à tourner avec curiosité les pages jaunies de cet opuscule, qui proposait effectivement des préparations permettant, à coup sûr, de se débarrasser définitivement d’individus gênants. C’était en réalité une retranscription des « recettes » d’un célèbre empoisonneur italien, qui avait manifestement été un homme très demandé à la cour du roi Henri IV quand il s’agissait de saupoudrer des chemises de nuit en dentelle blanche comme neige d’une poudre invisible afin de défigurer pour toujours d’influentes maîtresses, ou encore de faire boire à des princes avides de pouvoir un exquis breuvage qui leur donnerait une forte fièvre et les ferait plonger dans une démence éternelle.
J’ignorais le sens exact qu’elle donnait à ce gentil, je ne savais pas si le mot voulait juste dire « gentil » ou signifiait bien davantage, mais peu importe, mon cœur débordait d’amour, de toute façon.Il faisait maintenant noir dehors ; l’instant aurait pu être décisif, seulement je le laissai s’échapper, comme il nous arrive souvent dans la vie de laisser passer une occasion, sans nous en apercevoir sur le moment. Par la suite, nous ne devions plus renouer qu’une fois avec l’intimité de ce fameux après-midi, une intimité favorisée par la mort d’un cocker anglais.Après un printemps bien trop froid, qui avait fait ses adieux en nous gratifiant d’une dernière averse torrentielle, l’été avait enfin pris ses quartiers à Paris.
Quiconque a été éperdument amoureux, au moins une fois dans sa vie, sait qu’on se met alors à obéir aux idées les plus singulières quand on s’imagine pouvoir atteindre l’objectif ultime. Certains mangent des photos de l’être aimé, d’autres sortent par une nuit de pleine lune et vont enterrer, à un croisement, une mèche de cheveux qu’ils se sont secrètement procurée. En comparaison, s’en remettre à un « menu d’amour » n’était pas si aberrant que cela… Après tout, il existait des épices et des aliments reconnus pour leurs effets aphrodisiaques, comme les pépins de grenade, les asperges, le safran ou le curry.
Videos de Nicolas Barreau (7)
Voir plusAjouter une vidéo
Eines Abends in Paris von Nicolas Barreau
Les plus populaires : Roman d'amour
Voir plus
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Nicolas Barreau (10)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Les Amants de la Littérature
Grâce à Shakespeare, ils sont certainement les plus célèbres, les plus appréciés et les plus ancrés dans les mémoires depuis des siècles...
Hercule Poirot & Miss Marple
Pyrame & Thisbé
Roméo & Juliette
Sherlock Holmes & John Watson
10 questions
5263 lecteurs ont répondu
Thèmes :
amants
, amour
, littératureCréer un quiz sur ce livre5263 lecteurs ont répondu