Ces « cinquante portraits de ses illustres contemporains » me ravissent à chaque fois que je les contemple .D'abord par la beauté intrinsèque de ces clichés posés en noir et blanc . Ensuite , parce qu'ils donnent corps et même « âme » à des personnages statufiés et désincarnés par leur célébrité. Mes préférés : Courbet le rêveur,
Offenbach le malicieux et la sublime
Sarah Bernhardt.