Déroutée par le début, l'intrigue prend vite une place importante dans ce roman policier atypique. Humour noir, absurdité, tout est dans le détournement, celui des noms, celui des codes. On rit on réfléchit on cherche puis finalement on se laisse emporter par le récit dans le récit, la réalité dans le roman et le roman dans la réalité. Mais le récit souffre de quelques longueurs dans le dernier chapitre qui aurait gagné en efficacité avec moins de blabla. Jusqu'à la dernière page, l'auteur nous gâte avec des situations grotesques mais si bien enrobées.
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