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Critique de Binaiade
De quoi ça parle ?
En Lorraine, Karim Kemal, jeune maghrébin au look des années 50, est contraint de prendre la fuite après qu'il ait couché avec la femme d'un membre du parti d'extrême-droite, L'élan national français, nommé Raoul Faurissier. Celui-ci est bien décidé à retrouver l'amant de son épouse, avec l'aide de plusieurs compères, afin de l'abattre.
Karim, de son côté, entraîne dans sa fuite Alexandre, ado de 17 ans. Ils vont faire plusieurs rencontres au cours de leur périple, bonnes et mauvaises, en partance pour le sud.
Mais arriveront-ils à échapper à Faurissier et sa soif de vengeance ?
Mon avis :
Tout d'abord, je n'ai pas accroché aux illustrations de cette bande-dessinée en noir et blanc. Je n'aime pas particulièrement les traits des personnages, je les trouve même parfois très laids. Par exemple, Karim, censé représenter le beau gosse de l'histoire, est le sosie des frères Bognadov, c'est vous dire... Baru est plus doué pour dessiner des belles bagnoles que des humains.
Les personnages à présent. le duo que forme Karim et Alexandre m'est sympathique. le premier joue le rôle du grand frère protecteur, tandis qu'Alexandre aura celui du jeune disciple découvrant la vie et les femmes.
Faurissier quant à lui a une bonne tête de méchant et rentre parfaitement dans le rôle du facho fou de rage que sa femme l'ait trompé avec un arabe.
L'histoire quant à elle est bien rythmée, ponctuée de rebondissements et de rencontres. On suit leur fuite et la naissance d'une amitié aisément. Malheureusement pour moi ce livre ne restera pas dans les annales, trouvant l'histoire un peu simpliste.
En bref, une bande dessinée facile à lire, mais à ne pas laisser à la portée de tous, sur fond de road-trip à l'américaine, de mécanique et de belles plantes peu pudiques.
On the road again !
En Lorraine, Karim Kemal, jeune maghrébin au look des années 50, est contraint de prendre la fuite après qu'il ait couché avec la femme d'un membre du parti d'extrême-droite, L'élan national français, nommé Raoul Faurissier. Celui-ci est bien décidé à retrouver l'amant de son épouse, avec l'aide de plusieurs compères, afin de l'abattre.
Karim, de son côté, entraîne dans sa fuite Alexandre, ado de 17 ans. Ils vont faire plusieurs rencontres au cours de leur périple, bonnes et mauvaises, en partance pour le sud.
Mais arriveront-ils à échapper à Faurissier et sa soif de vengeance ?
Mon avis :
Tout d'abord, je n'ai pas accroché aux illustrations de cette bande-dessinée en noir et blanc. Je n'aime pas particulièrement les traits des personnages, je les trouve même parfois très laids. Par exemple, Karim, censé représenter le beau gosse de l'histoire, est le sosie des frères Bognadov, c'est vous dire... Baru est plus doué pour dessiner des belles bagnoles que des humains.
Les personnages à présent. le duo que forme Karim et Alexandre m'est sympathique. le premier joue le rôle du grand frère protecteur, tandis qu'Alexandre aura celui du jeune disciple découvrant la vie et les femmes.
Faurissier quant à lui a une bonne tête de méchant et rentre parfaitement dans le rôle du facho fou de rage que sa femme l'ait trompé avec un arabe.
L'histoire quant à elle est bien rythmée, ponctuée de rebondissements et de rencontres. On suit leur fuite et la naissance d'une amitié aisément. Malheureusement pour moi ce livre ne restera pas dans les annales, trouvant l'histoire un peu simpliste.
En bref, une bande dessinée facile à lire, mais à ne pas laisser à la portée de tous, sur fond de road-trip à l'américaine, de mécanique et de belles plantes peu pudiques.
On the road again !
