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Mathilde est journaliste et surtout la fidèle amie d'Alicia, une cheffe gastronome de grande renommée. Mathilde se rend au Maroc, décidée à écrire le roman d'Alicia.
C'est que Alicia est une femme au destin particulier. D'origine Marocaine, elle naît dans une famille où son père, la Bête, se montre souvent violent, auprès d'une mère, l'Homme, se montre indispensable dans cette famille vacillant entre haine et amour.
Mathilde s'attarde sur la vie particulière de la jeune femme marocaine, y incluant toute la lumière qu'il lui revient, Alicia tellement solaire, tellement proche du bien et du bon côté de la vie. Protégée des Dieux, elle tracera son destin entre les obstacles qui se mettront sur sa route. Elle cherchera l'amour, la vérité et un sens empreint de lumière à sa vie.
Mathilde l'écrit, la raconte et entre les interstices, elle se penche sur sa propre existence dans un lien insondable l'unissant à Alicia.

Ce roman est largement inspiré d'une histoire vraie où l'auteure belge rend un bien bel hommage à son amie.
Une jolie écriture non rébarbative, sans détour, sans longueur pour un roman qui range et dérange dans ses dix-sept valises les trésors du soleil brûlant.
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Les hasards de la vie ont mis en présence Mathilde et Alicia. Une amitié sincère est née entre ces deux femmes si différentes. La première a un métier qu'elle aime, un compagnon qui l'aime et sa vie est pleine de doutes. La seconde a connu une vie cahotique et pourtant elle possède une force vitale incroyable qui lui permet de voir la poésie et le beau en toute chose. Alicia est une belle âme, elle est solaire et rayonne sur les autres. Elle apaise Mathilde par sa simple présence. Lorsqu'Alicia disparait, Mathilde décide de lui rendre hommage en racontant son incroyable parcours. Plongeant au coeur d'un art de vivre oriental où l'imaginaire et la poésie jouent un rôle primordial, elle va trouver peu à peu des réponses à ses propres questionnements.

La technique narrative -une mise en abîme bien choisie- entrelace la vie et les pensées des deux femmes, rendant le récit dynamique. Pour évoquer les vérités enfouies, les relations familiales, l'espoir, la peur, l'amour… Isabelle Bary décline avec harmonie les notes justes d'une partition vitale mouvementée jusqu'au point d'orgue inattendu.

J'ai été rapidement embarquée par l'écriture fluide et sensuelle de l'auteure ainsi que dans l'intimité de ces deux femmes. C'est une belle ode à la vie, un roman intimiste qui nous parle de déracinement, d'identité, de douleur mais aussi de la force des femmes et de l'influence que chacun a sur sa propre existence. Apprendre à s'aimer soi-même, à aller à la rencontre de sa part d'ombre, c'est le premier pas vers une vie sereine. Alicia nous le laisse voir, elle dont la maxime est « Ce qui importe, ce n'est pas la vie qu'on a reçue mais la manière dont on la vit ! »

Inspirée d'une rencontre réellement vécue par Isabelle Bary, ce roman positif nous présente de beaux portraits de femmes et nous sort de préjugés dans lesquels nous sommes trop souvent enfermés.
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D'abord, je remercie chaleureusement Babelio pour son opération Masse Critique et les éditions Luce Wilquin qui m'ont toutes les deux permis de réaliser mon rêve de chroniquer ce roman. Je tiens à leur présenter mes excuses pour avoir attendu le dernier jour pour publier ma petite chronique, mais c'est un livre que je voulais déguster lentement, comme un fruit savoureux tombé d'un arbre au pied duquel je médite.

Tout commence il y a deux mois. En écoutant la radio, j'entends Isabelle Bary, que je ne connais absolument pas, présenter son dernier roman « Les dix-sept valises » dans une émission consacrée à l'optimisme et au bonheur. Mue d'une impulsion subite, j'ai décroché mon téléphone pour appeler l'émission afin de témoigner et quelle ne fut pas ma surprise de passer en direct ! Lorsque j'ai raccroché, je tremblais, stupéfaite de ma propre audace.

Et puis, il y a plus d'un mois, Masse Critique a mentionné ce roman dans la liste des livres possibles. J'ai évidemment sauté sur l'occasion et je l'ai reçu dix jours plus tard.

Dans ce récit, écrit à la première personne, la narratrice, Mathilde Lambert, est une jeune journaliste pour un hebdomadaire d'informations et de loisirs.

L'histoire débute le 4 septembre 2018, sur une plage où Mathilde cherche en vain une jeune femme, Alicia Zitouni. La veille, elle avait pris l'avion pour Essaouira afin de la rejoindre. Alicia est, comme elle l'explique, une très belle femme "anormalement solaire, du genre qui voit le beau partout et du coup, le beau le lui rend bien », d'origine mi-marocaine, mi-algérienne qui vit en Belgique. Elles se sont rencontrées par hasard un an plus tôt, dans les cuisines d'une auberge des Ardennes belges où Mathilde devait effectuer un reportage sur "la détresse de l'homme moderne".

Depuis, Alicia a connu une carrière fulgurante dans le monde de la gastronomie belge et est devenue une cheffe réputée que toute la presse cherche à interviewer. Mais Alicia n'aime pas la célébrité et a choisi de donner l'exclusivité de son interview à Mathilde qui l'a donc rejointe au Maroc. Malheureusement, Alice disparaît sur la plage. Vraisemblablement noyée. Après trois jours de deuil, Mathilde se ressaisit : "Il est temps de continuer à vivre ».

Dans une très jolie mise en abyme, Mathilde décide alors de raconter l'histoire d'Alice. Mais pas de la manière que souhaite l'hebdomadaire qui l'emploie. Elle veut que ce soit un roman. Aussi, elle plaque son boulot pour deux mois, s'installe au Maroc, dans l'appartement qu'Alice avait loué et choisit de se mettre dans sa peau pour la raconter.

Car l'histoire d'Alice, c'est tout sauf un conte de fée. Dès sa plus tendre enfance, elle a été confrontée au désamour de presque tous ses proches, au rejet, à la pauvreté, la saleté, soumise à la violence physique et aux brimades… Comment, se demande Mathilde (qui a tout pour être heureuse mais ne l'est pas), Alice est-elle parvenue traverser toutes ces épreuves avec tant de joie de vivre, de bonheur et de charisme ?

Je ne pourrai pas vous le raconter au moment où j'écris ces lignes car j'en suis là dans ma lecture, mais vous l'avez compris depuis longtemps, je suis sous le charme de ce roman qu'on pourrait qualifier de « feel-good » s'il n'avait pas cette qualité d'écriture et cette profondeur de réflexion qui le rend particulier.

Dès les premières lignes, j'ai été captivée par ma lecture. @Isabelle Bary a un style que je qualifierai de simple et directe, sans fioriture, mais d'une écriture si délicate et pudique qu'elle en devient fluide et poétique. Des phrases courtes. Un sujet, un verbe, un complément. Rarement de phrases subordonnées. Le rythme est rapide, soutenu. Les chapitres sont courts et nous entrainent dans le récit. Je me suis laissée happée par l'histoire avec plaisir. Ce n'est pas tous les jours que j'ai l'occasion de lire une histoire -parfois difficile mais hautement positive, voire optimiste- de cette qualité.

C'est un livre qui fait du bien tout en donnant à réfléchir sur nous-mêmes et notre manière d'aborder la vie et le monde. Qu'on a envie de déguster mais que l'on a du mal à arrêter quand on a commencé.

Bref, je suis fan de ce roman. Inconditionnellement. Lisez-le, dévorez-le, savourez-le. Faites ce que vous voulez, mais laissez-moi le terminer tranquillement sous ma couette !



Lien : http://grainsdesab.net/2018/..
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Quel bonheur de retrouver la plume d'Isabelle Bary pour son septième roman.

C'est au départ d'une rencontre en 2016 que petit à petit est né ce roman nous raconte Isabelle Bary.

Ce qui importe ce n'est pas que la vie qu'on a reçue mais la manière dont on la vit.

Une très jolie phrase qui résume bien que la vie est peut-être ce que l'on décide qu'elle soit.

Mathilde Lambert est journaliste, sa vie a changé lorsqu'elle a croisé Alicia Zitouni, une grande cheffe internationale d'origine marocaine. Elle se rend à Essaouira pour la revoir mais Alicia a disparu, elle se serait noyée lors de son bain de mer quotidien.

Mathilde décide d'écrire un roman rendant hommage à Alicia et racontant sa vie, son parcours. Elle s'installe donc à Essaouira avec Zahra qui veille sur elle.

Alicia a eu un destin hors du commun, elle en a bravé des sorts de la vie. D'origine marocaine avec un père algérien, elle a connu le déracinement, la violence, la pauvreté, le décrochage scolaire, elle a fait de mauvais choix mais a toujours abordé la vie avec force, vitalité et optimisme, cherchant toujours à mettre en avant le beau côté des choses pour devenir la grande cheffe internationale qu'elle est devenue.

On assiste donc à la naissance du roman dans le roman. L'écriture, son processus, ce besoin d'écrire et de petit à petit s'abandonner, se révéler. En écrivant, Mathilde va peu à peu comprendre qu'il y a différentes façons d'affronter l'existence, on peut subir, être fermé au changement ou au contraire lâcher prise, vivre une autre vie imaginaire.

Elle va alors écouter les croyances racontées par Zahra, les Djins, les tarots, comprendre peu à peu le sixième sens de son amie. Pouvoir lâcher prise, arrêter de diriger son existence peut tout changer. Ecrire deviendra un acte d'amour.

La plume est vive, dynamique, elle alterne avec le moment présent, sa perception du monde, celle qui peut changer la vie et en italique le roman, la vie d'Alicia, ses manques, ses forces, sa joie.

Une écriture souple, agréable parsemée de moments d'émotions intenses.

Le manque du père, l'amour, la relation père-fille sont abordés. Un roman qui compte plusieurs strates de lecture, à lire je pense sous différents angles.

J'ai passé un agréable moment.


Ma note 8.5/10
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Dès le départ, j'ai aimé le ton direct, sans artifice et naturel de l'écriture d'Isabelle Bary. Et d'emblée, je me suis attachée aux personnages de Mathilde et d'Alicia.

A travers l'écriture de son roman et au fil de ses investigations sur la vie d'Alicia, Mathilde prend de plein fouet la confrontation entre les pensées occidentale et orientale. Et, peu à peu, elle va s'ouvrir à la culture marocaine, à une autre philosophie de vie peuplée de djinns, de sorcières et de pensées magiques où l'avenir s'envisage à travers les cartes du tarot. On suit en direct le travail d'écriture de Mathilde mais aussi ses propres questionnements .

Une belle écriture, douce, délicate et sans jugement. Un roman sur la question de l'identité, Alicia ne se sentant ni tout à fait belge ni tout à fait marocaine.

Une très belle histoire, qui célèbre la diversité des cultures, l'amitié et l'amour.
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Les dix-sept valises raconte l'histoire d'une rencontre, entre Alicia Zitouni, cheffe cuisinière à succès, d'origine marocaine, à l'enfance des plus chaotiques, entre violence et trahisons, et Mathilde Lambert, qui va écrire un roman inspirée de la vie de son amie.
Elles se complètent parfaitement, mais Alicia disparait, et Mathilde, en tentant de reconstruire sa biographie, va s'interroger sur elle-même et sur son rapport à l'Autre et à la Vie. L'écriture la révèle peu à peu.

Entre Belgique et Maroc, c'est un roman qui donne à réfléchir, sur la façon dont on regarde la vie et dont on fait face à ses difficultés.

J'ai beaucoup apprécié toute la partie du roman qui relate l'enfance de la petite Alicia, et comment elle a réussi à prendre son destin en main et à se sortir de ce milieu familial toxique.
Alicia ne s'est jamais laissée abattre, elle a toujours rebondi, et toujours en positif, faire du bien aux autres, par sa cuisine, par son sourire, par sa chaleur, sa façon de voir le verre à moitié plein et non à moitié vide... de saisir le beau...

Je comprenais qu'à défaut de pouvoir changer le monde, le voir autrement est parfois la seule issue.

En revanche, l'écriture ne m'a pas vraiment séduite, le rythme des dialogues, les pensées plus ou moins philosophiques, je suis restée un peu en dehors et pourtant je sais que le personnage d'Alicia la solaire va m'accompagner longtemps! Et ça , c'est une vraie réussite !
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Mathilde Lambert, journaliste, rejoint au Maroc son amie Alice Zitouni, cheffe talentueuse en vogue dans l'intention d'écrire un article à son propos.
Alice disparaît mystérieusement au large de la crique où elle a l'habitude de se baigner chaque matin. Les recherches restent vaines.
Ce n'est plus un article que Mathilde va écrire mais un roman. Elle va se glisser dans la peau de son amie au point d'occuper la chambre d'Alice pour écrire. Avec l'aide de Zahra, physicienne venue écrire sa thèse chez ses grands-parents , elle va pénétrer le monde des croyances et de l'imaginaire marocain. de découverte en découverte, elle comprend mieux pourquoi Alice était rayonnante malgré le poids de certaines étapes de sa vie. C'est une des facettes de la personnalité d'Alice que Mathilde ne connaissait pas. Elle aussi en sortira transformée.
Nous, lecteurs, nous assistons à l'écriture du roman dans le roman. le livre alterne les chapitres du séjour de Mathilde à Essaouira et ceux consacrés à l'écriture du roman.
C'est un très bel ouvrage empreint de beaucoup d'émotions qui ne tombe cependant pas dans le pathétique. L'écriture est fluide et dynamique. On y découvre des thèmes très variés : métissage, identité, bonheur/malheur, paternité/maternité, amour, et surtout manière d'affronter la Vie.
Merci à Babelio de m'avoir permis, grâce à l'opération Masse Critique, de découvrir ce beau livre. J'avais lu le « Secret de Léa » de la même auteure et j'avais moins aimé ! Merci aussi aux Editions Luce Wilquin, maison d'édition belge francophone de très grande qualité.
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Mathilde, une journaliste pour un magazine belge, rejoint au Maroc son amie Alicia Zitouni, qu'elle a rencontrée un an plus tôt lors d'un reportage. Ces deux-là ont accroché tout de suite malgré leurs différences : Mathilde est une petite bourgeoise cartésienne coincée par la loi du marché professionnel, tandis qu'Alicia est une cheffe cuisinière lumineuse au passé chaotique, mais qui voit le beau partout. le prétexte de ces retrouvailles est la notoriété grandissante d'Alicia, qui accepte un article sur elle, uniquement s'il est rédigé par son amie Mathilde, car la machine médiatique la broie un peu trop à son goût. Besoin de bienveillance oblige…

Les deux amies ont à peine le temps de se retrouver qu'Alicia disparaît mystérieusement lors d'une baignade en mer. On ne retrouve pas son corps, la thèse de l'accident est privilégiée. Hantée par la perte mystérieuse de son amie, Mathilde prend conscience qu'elle a besoin d'écrire un roman sur Alicia. Un premier roman qu'elle rêve d'écrire. Un roman sur la vie de son amie pour lui dire adieu. Poussée par sa patronne qui l'exhorte à écrire une biographie avec des détails croustillants pour faire le buzz, Mathilde résiste. Elle veut se mettre dans la peau de son amie, écrire en « je », sentir comme elle, laisser son coeur palpiter comme le sien, se laisser bercer par sa croyance aux signes, au mystère, même si elle sent que ce projet ne la laissera pas indemne (« Mais j'ignorais, au fond, […] pourquoi j'écrivais ce livre, je savais cependant que j'en avais besoin. Que j'étais, en ce moment précis, incapable de toute autre chose. »).
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Envie d'une pause dans ce monde où tout va trop vite ? Dans lequel on a tendance à ne voir que du négatif ? A ne plus rêver ? Ce roman convient parfaitement. C'est une vraie leçon d'optimisme originale en dressant le portrait d'une femme peu gâtée par la vie.C'est triste sans être mélodramatique, c'est cruel sans tomber dans le voyeurisme, c'est réaliste sans être trop rationnel. le destin d'Alicia se même en douceur à celui de Mathilde et l'auteure parvient à réaliser une excellente mise en abyme. isabelle Bary s'inspire d'une histoire réelle et elle rend ainsi un vibrant hommage à la personne concernée. C'est aussi un plaidoyer pour l'écriture, pour le métier d'écrivain qui permet aux lecteurs de s'évader, d'imaginer, d'éprouver une quantité d'émotions.
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C'est une histoire d'amitié, un bel hommage à une femme, également, que je viens ici de terminer. Alicia Zitouni, née d'un père algérien et d'une mère marocaine, a grandi à Bruxelles. Au moment où nous la rencontrons, elle est devenue une cheffe accomplie et vient d'inviter son amie Mathilde, journaliste, à l'interviewer à Essaouira où elle vit désormais. Les circonstances feront bientôt que Mathilde, à la place d'un entretien, écrira un roman à la première personne, en se glissant dans la peau de son amie… et quel roman…

Si j'étais un peu dubitative en débutant ce roman, j'ai rapidement été entraînée par l'écriture d'Isabelle Bary et cette personnalité solaire qu'est celle d'Alicia (qui s'appelle ainsi parce qu'à l'époque à laquelle elle est née, l'administration communale bruxelloise qui avait accueilli son père au moment de la déclaration de naissance avait refusé le prénom d'Alisha – Protégée de Dieu). L'histoire est construite de façon à ce qu'en alternance, nous ayons le point de vue de Mathilde et le roman qu'elle écrit et qui se dessine au fur et à mesure des pages (ces pages sont en italique). Et nous sentons, au fil du temps, que ce qu'écrit Mathilde la soigne, la fait avancer vers une meilleure compréhension d'elle-même.

Isabelle Bary explique s'être inspirée d'une histoire vraie pour écrire ce roman. Comme elle l'explique au début du livre, « Je l'ai écoutée des heures durant, prenant note, parfois pas, afin de laisser mon imaginaire travestir les images et les mots. Une fiction, en moi, prenait forme. » Mathilde, Alicia, les histoires se confondent, s'inventent dans le jeu de l'écriture, et nous parlent du fait que, même si on ne choisit pas sa vie, on peut choisir comment on l'appréhende. Par petits chapitres emplis de densité, j'ai été absorbée par la vie d'Alicia, faite de violence et de précarité, mais aussi de recherche du beau dans les plus petites choses, de non-jugement et de l'envie de continuer à avancer, toujours, quelles que soient les circonstances.

En résumé, la rencontre d'une belle femme, et une naissance… ou une renaissance ?
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